La dégradation des sols dans le monde est principalement due aux activités humaines : agriculture intensive, irrigation, déforestation, surpâturage, pollutions industrielles.
la mise en culture de prairies et de forêts, le labour et la moindre restitution des résidus de culture (pailles…) qui diminuent la biodiversité et les matières organiques contenues dans les sols.
Le compactage du sol, l'appauvrissement du sol en matière organique, la dégradation de la structure du sol, un mauvais drainage interne, des problèmes de salinisation et d'acidification du sol sont d'autres causes de détérioration du sol qui en accélèrent l'érosion.
En aménageant le territoire, l'homme modifie son environnement naturel : il détruit parfois des milieux de vie. Cependant, il prend peu à peu conscience des dangers qu'il fait courir à la planète et commence à restaurer des milieux qu'il a transformés.
Un des moteurs naturels de dégradation des sols réside dans les cycles répétés d'humidification-dessiccation. Ces cycles ont pour conséquence de modifier la structure du sol, le rendant entre autres plus compact, ce qui réduit sa capacité de rétention de l'eau, diminue son aération et accélère son érosion.
Causes de la dégradation de l'environnement
Les types de pollutions les plus connus et étudiés sont la pollution du sol, la pollution atmosphérique, hydrique et acoustique, mais il y en a d'autres moins connus comme la pollution lumineuse, visuelle, thermique, électromagnétique, radioactive ou génétique.
Les gaz à effet de serre, dus à la combustion du pétrole, du gaz et du charbon qui servent entre autre à produire de l'électricité et de la chaleur participent à la pollution de la planète et sont la principale cause du réchauffement climatique actuel.
L'utilisation d'engins motorisés très lourds détruit la structure du sol. Les engrais et les pesticides non naturels polluent l'eau et le sol. La généralisation de la monoculture appauvrit la biodiversité. La pêche intensive décime les poissons et transforme certaines zones maritimes en désert écologique.
L'homme en polluant, modifie localement le peuplement des milieux, pollution par rejet des usines dans les fleuves et rivières, pollution par l'emploi de pesticides et d'engrais, pollution urbaine.
L'érosion rend les sols vulnérables à la perte de la couche arable fertile. Ce phénomène, associé à la perte des nutriments des sols, constitue une menace pour la production agricole, la sécurité alimentaire et l'environnement, principalement les ressources en eau.
limiter le lessivage et augmenter la biodiversité par la couverture des sols, valoriser l'eau de profondeur et limiter les apports d'eau par irrigation, limiter les apports en fertilisants minéraux en améliorant le fonctionnement racinaire, limiter au maximum le recours aux intrants non renouvelables et chimiques.
Un fontis est un effondrement du sol en surface, causé par la déliquescence souterraine progressive des terrains porteurs.
Pour assurer sa survie et améliorer sa qualité de vie, l'Homme détruit les ressources naturelles par le déboisement, le défrichement, la construction des routes et des barrages hydro- électriques, les feux de brousse et la réalisation de nouvelles plantations.
L'activité humaine est à l'origine de la détérioration de l'environnement, par l'épuisement des ressources (comme l'air, l'eau et le sol), la destruction des écosystèmes, destruction des habitats, l'extinction de la faune, et la pollution.
1- L'Homme détruit l'environnement par le déboisement. 2- Le braconnage est une action de destruction de l'environnement. 3- L'Homme surexploite l'environnement par la pêche intensive. 4- La pêche intensive a pour conséquence la raréfaction des ressources halieutiques.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Les écosystèmes souffrent surtout de la pêche à grande échelle, de l'utilisation d'eau douce et de l'agriculture. Plus… 1.2 Les écosystèmes dépendent de cycles naturels fondamentaux tels que la circulation continue de l'eau, du carbone et d'autres éléments nutritifs.
En raison de la surpêche, de la déforestation, de la destruction des habitats, de la pollution et d'autres facteurs, un plus grand nombre de plantes et d'animaux sont en voie d'extinction. Même la moindre perturbation d'un écosystème peut avoir un effet domino qui nous affecte tous.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Gestion des déchets, industrie et situation transfrontalière
Les pratiques agricoles sont loin d'être la seule source de pollution des terres et des sols. Les déchets mal gérés, aussi bien municipaux qu'industriels, sont responsables de plus d'un tiers des contaminations locales, suivis par les activités industrielles.
Parmi les sources de pollution diffuses, on compte certaines activités agricoles (épandage des engrais et des produits phytosanitaires), les rejets des chauffages individuels et collectifs, des incinérateurs, des moyens de transport terrestre et aériens fonctionnant aux énergies fossiles.
Les facteurs d'érosion sont : le climat, la pente, les propriétés physico-chimiques des roches, la couverture végétale (son abondance, sa nature) et l'action de l'homme (pratiques agricoles, urbanisation...)
Un des changements observables est la dégradation de l'environnement, c'est-à-dire la pollution de l'eau, de l'air, des milieux naturels, etc. Elle est due à de multiples causes, les plus importantes étant l'augmentation de la population, l'augmentation des activités industrielles et la surconsommation.
La dégradation peut être de trois formes : physique chimique ou biologique.