En dehors des chevaux et des « petons », on pourra utiliser une voiture, chariot, chars branlants voire une litière. Ces modes de transport à roue ne sont guère pratiques et surtout franchement inconfortables car l'état des routes laisse à désirer. Au XI et XII siècles, le réseau routier est tout bonnement lamentable.
Les voyages se limitaient à quelques dizaines de km. Ceux de plus longue distance se faisaient à pied ou à dos d'équidés, mule, âne, cheval. Un marchand qui doit traîner sa carriole pour aller d'une ville à l'autre « fait du 30 km/jour ».
Les chevaliers du Moyen Âge sont des soldats suffisamment riches pour posséder un cheval, une épée et une armure. Ils sont aux ordres d'un seigneur qui les loge. En contrepartie, ils le suivent dans ses expéditions militaires.
Pour s'y rendre, les pèlerins parcourent des milliers de kilomètres, le plus souvent à pied, ou en bateau. Pour faciliter leur chemin de croix, d'anciens pèlerins publient des guides de voyages pour les aiguiller. On découvre même les «voyages organisés», qui pouvaient réunir plusieurs milliers de candidats au départ.
Échecs, dés, chasse, tournois : nombre d'entre eux étaient axés sur la stratégie ou le hasard, et n'étaient pas toujours vus d'un très bon œil par l'Église. Deux principales catégories de loisirs étaient pratiquées au Moyen-Âge.
Les trois ordres de la société médiévale
Elle est divisée en trois ordres : bellatores (ceux qui combattent) : les nobles (princes, seigneurs, chevaliers) ; oratores (ceux qui prient) : les hommes d'Église ; laboratores (ceux qui travaillent) : les paysans (80 à 90 % de la population).
Ils vivaient dans des maisons construites en pierre ou en torchis, et recouvertes d'un toit de chaume. Celles-ci étaient situées dans des villages à proximité du château de leur seigneur. Leurs habitations avaient une pièce unique, avec un sol en terre battue. Sans confort, elles étaient mal éclairées et mal isolées.
Toutefois, l'intérieur de l'Afrique intéresse aussi les voyageurs du Moyen Âge, avec pour origine centrale mais légendaire, la Lettre du Prêtre Jean. Cette dernière, censée avoir été envoyée en 1160 au pape Alexandre III, à Frédéric Barberousse et à Manuel Comnène, est l'un des textes les plus lus au Moyen Âge.
Merci Au Moyen Âge, merci signifiait “grâce, pitié” de là les expressions : Crier, demander merci – le chevalier vaincu reconnaissait sa défaite et implorait la pitié du vainqueur.
En effet, pour devenir chevalier, un homme doit répondre à certaines exigences : fidélité à la parole donnée, défense des faibles, générosité envers tous et s'engager au respect d'un code de l'honneur.
Du portage humain à la roue
Le moyen de transport terrestre le plus ancien est sans doute le portage humain. Par la suite, l'Homme a aussi utilisé les ani- maux pour l'aider. Le bœuf, domestiqué dès le Vème millénaire av.
En 1662, Blaise Pascal invente les transports en commun urbains. Il obtient de Louis XIV le privilège de fonder une entreprise de carrosses publics pour l'exploitation de cinq "routes" (lignes). Quatre d'entre elles passent ou ont leur terminus au Luxembourg, l'une d'elles est circulaire et dite du "tour de Paris".
Parmi les moyens de transport les plus anciens dont l'existence est établie archéologiquement, on trouve au Néolithique des pirogues monoxyles (à partir de 5000 av. J. -C.) et de simples charrettes à roues pleines (fin du IVe millénaire.).
L'amour courtois ou fin'amor d'après l'occitan, est une expression désignant au Moyen Âge la façon d'aimer avec courtoisie, respect et honnêteté, sa ou son partenaire, dans le but commun d'atteindre la joie (joï en occitan) et le bonheur.
— Dame, Nostre Seigneur vous ait en sa garde. — Sire, Dieu vous doint bon jour. — Sire, bon jour aiez vous et bonne vie. — Sire, bon matin vous doint Dieux.
Au Moyen Age, hoc se réduit à o et le pronom sujet latin est remplacé par son équivalent français, en tout cas au nord de la Loire (grosso modo). On dit selon les cas o je, o il, o nos, o vos, etc. Et ce jusqu'au XIIe siècle, où "o il" finit par l'emporter dans toutes les situations.
Rédigée de manière claire et accessible, la fiche de lecture propose d'abord un résumé intégral du récit, puis s'intéresse aux personnages principaux : «Messire Marco Polo, sage et noble citoyen de Venise», ainsi que le Grand Kubilaï Kahn.
L'ouvrage rencontre un grand succès dès sa parution et encore plus dans la seconde moitié du XVe siècle où il suscite la curiosité et la convoitise des Européens. Marco Polo est un jeune marchand vénitien qui, à l'occasion d'un voyage en Chine avec son père et son oncle, se met au service de l'empereur, le grand Khan.
La vie des paysans est difficile : le travail est dur et les récoltes peu abondantes. Les outils sont rudimentaires : fléau, faucille… Il y a de nombreuses famines… Les paysans ont une vie frugale et meurent jeunes.
On distingue deux catégories de paysans dans l'Europe médiévale : les serfs, qui sont assujettis au pouvoir d'un seigneur sur ses terres, et les vilains, qui sont libres, mais doivent néanmoins s'acquitter de certains impôts auprès du seigneur.
Au XIIIe, l'Etat royal se met en place. Philippe Auguste fixe le pouvoir à Paris et nomme des baillis et des sénéchaux pour le représenter dans le domaine. -Les rois imposent leurs décisions aux habitants du royaume par des ordonnances. -Ils modernisent l'armée et assure protection et extension du domaine royal.
Le Moyen Âge, lui, fait entrer dans l'histoire l'Europe telle que nous la connaissons aujourd'hui. Dans cette Europe émiettée en nombreux États, la seule unité est la religion chrétienne. Carte de l'Europe au XIIIe siècle, divisée en nombreux royaumes, duchés, principautés, etc.
La société médiévale est divisée en trois ordres : les prêtres, les chevaliers et les paysans. Chaque ordre a des droits et des devoirs vis-à-vis des deux autres. Les prêtres protègent par leurs prières les paysans et les chevaliers. Ils ont pour mission de les élever jusqu'à Dieu.