Obésité, diabète de type 2, problèmes cardio-vasculaires, hypertension, insuffisance rénale, sédentarité, ostéoporose sont autant de maladies provoquées par ce type de nourriture. La malbouffe peut également entrainer des troubles du sommeil, et dans certains cas, des dépressions.
Pourquoi on aime tant la malbouffe
Tout d'abord, il y a la sensation de manger l'aliment. Ceci comprend son goût (salé, sucré, savoureux, etc.), son odeur et comment vous le sentez dans votre bouche. Cette dernière qualité - connue comme "orosensation" - peut se révéler particulièrement importante.
Quand on mange plus de sucre et d'hydrates de carbone simples – ceux du pain blanc, des pâtisseries et des pâtes –, on se réveille plus souvent pendant la nuit. Mieux vaut manger des hydrates de carbone complexes et des fibres pour dormir profondément. «Les hydrates de carbone complexes stabilisent la glycémie.
Si vous le pouvez, faites 5 à 20 minutes de sieste chaque jour. La sieste rééquilibre le système nerveux et calme le stress. Pratiquez la relaxation. Quelques séances de sophrologie peuvent vous aider à alléger votre fatigue mentale.
Dans tous les cas, se coucher à des heures régulières et laisser le stress hors du lit sont la clé pour un sommeil de qualité. Et si tu es tout de même fatiguée, une sieste de 20 minutes en journée, idéalement entre midi et 15 h, pourrait bien te requinquer.
Nous consommons des aliments parce qu'ils fournissent l'énergie qui permet à notre corps de demeurer en vie. En plus de donner de l'énergie, les aliments apportent également tous les éléments nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de notre corps.
« Le manque de sommeil altère la production d'hormones régulatrices de l'appétit en augmentant la production de ghréline, une hormone liée à la sensation de faim et en diminuant le taux de leptine, associée au sentiment de satiété », expliquait il y a quelques temps la nutritionniste Isabelle Mallet dans un article du ...
L'envie de nourriture réconfortante en période de pandémie
Elle explique que certains aliments tels que ceux qui contiennent des glucides ont le pouvoir d'élever les niveaux de sérotonine, qu'elle décrit comme un neurotransmetteur du bien-être, qui nous calme [et] apaise l'anxiété .
Fraises, framboises, myrtilles, cassis… tous les fruits rouges sont riches en vitamine C qui lutte contre la fatigue. On peut les manger frais (en respectant les saisons, c'est encore mieux) avec un peu de fromage blanc par exemple.
Les sucres contenus dans les aliments sucrés et raffinés (soda, barres chocolatées, céréales raffinées, viennoiseries…) sont de faux pourvoyeurs d'énergie. Bien sûr, sur le moment, ils vous boostent mais gare à l'effet boomerang !
Après un repas, vous sentez un inconfort au niveau de l'abdomen; Vous terminez souvent ou toujours vos assiettes; Suite à un repas, vous ne pourriez pas aller vous entraîner car vous vous sentez un peu trop lourd(e); Il vous arrive régulièrement d'être affamé(e) avant un repas (et donc de manger rapidement et trop);
La boulimie est un TCA caractérisé par une consommation excessive ou compulsive de nourriture (hyperphagie) associée à des comportements de purge (tentative d'éliminer la nourriture ingurgitée, le plus souvent par vomissements provoqués). La boulimie affecte principalement les femmes (environ 90 % des cas).
L'hyperphagie, que l'on appelle aussi hyperphagie boulimique est un trouble alimentaire caractérisé par une surconsommation d'aliments. Il ne s'agit pas d'un besoin métabolique ou énergétique mais d'un trouble issu d'une atteinte psychologique et/ou psychique.
La première explique que nous puisons notre énergie dans nos réserves internes. Tout au long de la journée, nous utilisons un stock limité d'énergie mentale : la volonté. Plus on puise dans ces réserves, plus on ressent de la fatigue. Cette hypothèse est appelée « l'épuisement de l'égo ».
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
- La dépression peut bien sûr avoir pour signe la tristesse, et aussi les troubles du sommeil et la fatigue. - L'anxiété chronique elle aussi. - Les problèmes de glande thyroïdes également. - Une anémie importante peut aussi fatiguer beaucoup et entraîner un mal être.
Les causes de la fatigue nerveuse ou psychique sont extrêmement nombreuses et souvent difficiles à mettre en évidence. Elle est souvent la conséquence de circonstances socio-environnementales éprouvantes (vie familiale, travail, surmenage intellectuel et physique, stress...).
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.