En entendant des histoires à haute voix, l'enfant fait peu à peu le lien avec ce qui est écrit. Si vous en avez la possibilité, vous pouvez lire à haute voix un livre avec votre enfant, en répétant l'exercice régulièrement, et utiliser les illustrations pour permettre la compréhension d'un mot ou d'une histoire.
Lire mot pour mot, en tenant compte de la ponctuation qui est très importante pour la compréhension du texte. Ne pas mettre d'effet dans sa voix, pour ne pas influencer l'enfant dans son interprétation. Ne pas poser de questions à l'enfant pendant la lecture (cela nuit à l'écoute et donc à la compréhension).
En lisant une histoire avec leur enfant, les parents vont discuter avec lui des actions, des intentions et des émotions des personnages. Ils vont l'aider à s'interroger sur l'implicite du texte, en l'incitant à remplir les blancs laissés par l'auteur.
Faire remettre en ordre les dessins produits afin d'illustrer et de raconter toute l'histoire. Faire comprendre plus finement l'histoire en mettant en évidence les ruses du Petit Poucet et quelques valeurs morales de l'histoire. Raconter le conte avec une marionnette amnésique.
La littérature de jeunesse regorge de contes traditionnels et de récits riches et variés. La lecture d'histoires en classe permet aux enfants de les découvrir et ainsi de partager un patrimoine culturel.
Votre enfant doit pouvoir identifier et manipuler les syllabes puis, rapidement, les sons tout seuls. En effet la conscience des sons de la langue, la capacité de les repérer et de les manipuler, est un prédicteur de réussite de l'apprentissage de la lecture.
On peut concevoir deux manières de faire découvrir l'album aux élèves La lecture offerte. L'enseignant lit l'album dans sa totalité en montrant les illustrations mais sans commentaires. Confronter d'emblée l'enfant à la situation d'écoute dans toute sa complexité. Mettre en évidence la continuité d'un texte.
Blanche-Neige et les 77 nains (Blanche-Neige a de quoi être débordée avec 77 nains !) Le bonnet du Petit Chaperon rouge (Jasmine adore son bonnet, mais le loup veut lui piquer !) Le Petit Chaperon Rouge (conte modernisé et raconté avec humour… en alexandrins !)
Le conte est un récit issu de la tradition orale. Il n'a pas d'auteur connu. Il a une dimension patrimoniale. et donc invraisemblable, d'ailleurs on dit bien : « Paroles de conteur, paroles de menteur. »
- Organiser les ateliers dans des lieux calmes, conviviaux et permettant de faciliter la parole des auditeurs et de respecter la confidentialité des échanges. - Privilégier les petits groupes d'auditeurs (10 personnes maximum). - Programmer la durée totale de l'atelier (lecture + débat) et informer à l'avance.
Commencez votre narration par une interpellation de votre public ou par un geste qui attire son attention. Posez-lui une question, même si elle n'est que rhétorique elle amène une conclusion, un retournement ou le contexte de l'histoire que vous vous apprêtez à raconter.
10 conseils pour raconter une histoire
Identifier et clarifier l'objectif de l'histoire. Construire une trame narrative en conséquence. Déterminer les rôles marqués et marquants. Fixer les points d'entrée et de sortie de chaque rôle dans l'histoire.
Le conte commence généralement par une formule d'ouverture : « il était une fois », « il y a bien longtemps », etc. Mais rien ne vous empêche de vous distinguer et de trouver votre propre ton en débutant votre récit par une tournure encore jamais vue.
18 contes traditionnels indispensables réunis en un seul et même recueil superbement illustré.La belle au bois dormant, le bonhomme de pain d'épice, Boucle d'or et les trois ours, Cendrillon, le chat botté, Jack et le haricot magique, le loup et les sept chevreaux, les lutins et le cordonnier, les musiciens de la ville ...
Quelques exemples d'activités sensorielles à mettre en place en maternelle : La vue : jeux de carte avec forme, “où est Charlie ?”, etc. L'ouïe : faire reconnaître des cris d'animaux, écouter des chansons, etc. Le goût : faire reconnaître le sucré du salé, etc.
LA MISE EN PROJET
En maternelle, avoir un projet qui relie plusieurs champs disciplinaires donne du sens et de la cohérence aux activités de la classe. Avoir un projet crée une motivation, donne du sens et donc un but.
La méthode Narramus travaille sur les représentations mentales qu'un enfant (de la maternelle au cours préparatoire) peut se faire d'une histoire avant d'en avoir vu une seule image.
Le langage d'évocation fait référence à une particularité du langage. C'est un langage précis et construit qui permet à quelqu'un qui n'aurait pas vu ou assisté à la situation de la comprendre. De ce fait, il est important de cibler un destinataire.
Un enfant pioche dans le sac une photo d'une partie du corps. Le meneur du jeu lui demande alors « Qu'est-ce que c'est ? » L'enfant répond : « C'est (… ) ». Le meneur pose la question « Pourquoi as-tu ? (…) » L'enfant répond : « J'ai (…)