La maladie de Parkinson se manifeste par différents signes non moteurs tels que la fatigue, les douleurs et les troubles intestinaux.
La vitamine D provient principalement des produits laitiers enrichis. La lumière provenant du soleil est également une source de vitamine D. Les personnes ayant de la difficulté à assurer un apport suffisant en calcium et en vitamine D auront à prendre des suppléments.
Les exercices en aérobie à haute intensité, comme par exemple 60 minutes de travail intense sur une bicyclette ou un tapis roulant, peuvent également avoir des effets importants sur le métabolisme, et favoriser les performances cognitives, ainsi que l'absorption et l'utilisation de médicaments comme la L-DOPA.
Faire des activités à deux ou en famille (jeux, lecture, …) ou des sorties (activités, voyages, …) pour passer des moments agréables. Cela permet également de lutter contre l'isolement du malade, dû à l'évolution du handicap et aux changements de caractère.
La maladie de Parkinson fait-elle mal ? La douleur constitue une plainte fréquente dans la maladie de Parkinson (MP) quel que soit le stade de la maladie, parfois avant même que celle-ci ne soit diagnostiquée. En effet, la douleur représente le symptôme initial chez 15% des malades.
« La duodopathérapie est le dernier recours thérapeutique. Ce traitement consiste à installer une sonde duodénale qui diffusera ensuite un gel pour rétablir une stimulation dopaminergique permettant d'améliorer l'autonomie des patients parkinsoniens et de stabiliser les complications motrices. »
La prêle, l'ortie et le bambou pour re-minéraliser le corps ; La Rhodiole, plante adaptogène, et le Mucuna pruriens pour favoriser la production de dopamine par le cerveau et ainsi soutenir l'action de l'organisme.
Le jeu thérapeutique “Toap Run” a été créé à l'attention des patients atteints de la maladie de Parkinson, avec des troubles de l'équilibre et de la marche. Dans ce jeu interactif, le patient est un petit animal qui doit récolter des pièces mises sur son chemin, tout en évitant les obstacles.
Faire attention à son alimentation
Un premier conseil sera de privilégier les aliments riches en tyrosine, un acide aminé qui stimule la production de dopamine. On en trouve dans les bananes, le chocolat, les avocats, les graines de sésame et de citrouilles, les amandes, ou encore les œufs et les fromages.
La rééducation physique et orthophonique
La rééducation est un complément essentiel du traitement de la maladie de Parkinson. Ces traitements permettent d'améliorer la qualité de vie des malades sans toutefois arrêter l'évolution de la maladie.
L'odorat et le goût faiblissent, l'appétit disparaît – parfois en raison du vieillissement, parfois à cause d'un effet secondaire médicamenteux. La capacité gastrique réduite avec l'âge, l'activité accrue des hormones de satiété et les éventuels problèmes de déglutition et de mastication jouent également un rôle.
EN CAS DE DOUTE, IL EST INDISPENSABLE DE DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Des réactions d'hypersensibilité peuvent survenir chez les personnes sensibles. Le traitement par MODOPAR peut provoquer une somnolence et des épisodes d'endormissement soudain.
Les plantes à action calmante et adaptogène qui accompagnent le syndrome dépressif : le griffonia, la rhodiole et le ginseng. Le griffonia ou griffonia simplicifolia est surtout utilisé en cas de comportements compulsifs et obsessionnels, et notamment dans les troubles du comportement alimentaire et l'anorexie.
Parmi les différentes techniques de massage observées, on retrouve le massage Suédois classique, le massage traditionnel Japonais (Amma), le massage Thaïlandais et la thérapie neuromusculaire.
Une carence en vitamine D peut donner lieu à une diminution de la force musculaire, et à des douleurs, des crampes et des tremblements musculaires. Par ailleurs, une carence en vitamine D peut également diminuer votre niveau d'énergie, ce qui provoque une apathie, et donc une diminution de la force musculaire.
Ce médicament est un antiparkinsonien qui appartient à la famille des dopaminergiques. Il contient de la lévodopa (ou L-dopa) qui se transforme en dopamine dans l'organisme. Il vise ainsi à combler le déficit en dopamine dans certaines zones du cerveau, caractéristique de la maladie de Parkinson.
Les troubles du comportement
Le jeu pathologique (jouer de manière frénétique et très souvent à des jeux d'argent : casino, grattage, loto, tiercé…) L'hypersexualité (augmentation importante de la libido) Les achats compulsifs (ne répondant à aucun besoin, sans limites budgétaires) La générosité excessive.
En fonction de son âge, le malade de Parkinson peut recevoir l'une des deux aides suivantes, qui assurent un niveau minimum de ressources : l'allocation aux adultes handicapés (AAH), si le taux d'incapacité du malade est de 80 %, ou de 50 à 79 %, s'il n'est pas en mesure de travailler.
Ces parkinsoniens ont une espérance de vie d'un peu plus d'une dizaine d'années (13 à 14 ans). Le traitement à la dopamine permet d'obtenir un résultat plus que satisfaisant dans le prolongement de l'espérance de vie des patients. Certains ont atteint une durée de vie supérieure à la moyenne globale.
Quels sont les mécanismes en cause dans la maladie ? La maladie de Parkinson est due à la disparition progressive de certains neurones dans le cerveau, les neurones dopaminergiques (producteurs de dopamine).