L'instauration des programmes de formation-emploi, la reconversion professionnelle, la création des microprojets de développement sont des solutions à la problématique du chômage au Burundi. C'est du moins l'avis du Directeur Général de l'Office Burundais de l'Emploi et de la Main d'œuvre (OBEM).
Pour réduire le chômage classique, on peut diminuer le coût salarial, c'est-à-dire le coût du travail pour les entreprises (en faisant accepter une diminution de salaire aux chômeurs volontaires, ou en diminuant les cotisations sociales patronales).
Globalement, on peut distinguer 3 majeures causes du chômage : Un marché du travail insuffisamment flexible et un coût du travail trop élevé Une demande et une activité économique insuffisantes. Une offre et une demande de travail en inadéquation.
Des craintes ont été exprimées à l'effet que le chômage chez les jeunes entraînerait une radicalisation de leurs attitudes envers la société. Selon cette hypothèse, les jeunes ne pouvant trouver du travail ressentiraient une frustration leur faisant rejeter le blâme de leur situation sur la société.
Les facteurs sous-jacents à l'origine du chômage sont liés au faible développement du secteur privé, au ralentissement ou à la quasi inexistence des recrutements dans la fonction publique, à l'inadéquation des profils de formation, à l'absence d'une Politique Nationale de l'Emploi et à la mauvaise connaissance du ...
Augmentation de la productivité et résilience aux changements climatiques. Le développement de l'agriculture est l'un des leviers les plus puissants sur lequel il faut agir pour lutter contre la pauvreté, pour enfin nourrir les douze millions de la population burundaise.
De plus la destruction d'emploi peut nuire à l'activité économique étant donné que les individus n'ont plus de revenus suffisant pour consommer comme auparavant cela fait baisser la production et peut donc entrainer une destruction d'emploi, ainsi cela entraîne un cycle s'en fin.
La perte de pouvoir d'achat
La première conséquence du chômage est la perte du pouvoir d'achat et l'endettement des ménages. En se retrouvant au chômage, le salarié perd 25 % de son revenu, qui décroît en fonction de sa durée. En fin de droit, le chômeur ne perçoit plus que le RSA (revenue de solidarité active).
Le chômage a un impact social majeur. Il augmente le risque de séparation et d'isolement social, il impacte l'avenir scolaire des enfants (Insee, 2004), il retarde la venue d'un premier enfant (INED, 2011). Non seulement ces conséquences sont ignorées mais « une certaine fatigue de la compassion » s'exprime.
La lutte contre le chômage classique : réduire le coût du travail. Les politiques de lutte contre le chômage classique consistent en la diminution des coûts du travail, afin d'inciter les entreprises à embaucher davantage. Ces politiques sont utilisées notamment pour l'emploi des travailleurs peu qualifiés.
Le chômage représente l'ensemble des personnes de 15 ans et plus, privées d'emploi et en recherchant un.
La façon la plus efficace d'aider est la formation de partenariats et le travail commun pour fournir une solution holistique au problème. Il a remarqué que le chômage est un défi mondial, puisque partout les jeunes sont virtuellement délaissés.
Il faut alors ici adapter les solutions néo-classiques qui préconisent une baisse du coût du travail (baisse des cotisations sociales, des salaires, flexibilisation, etc.) ; une offre supérieure à la demande de biens et de services : on est alors en présence de chômage keynésien.
Introduction : Le chômage constitue aujourd'hui l'un des principaux indicateurs de la santé économique d'un pays. Il détermine, dans la majorité des pays, la nature des politiques de l'emploi mises en œuvre et témoigne des mutations de notre société.
Alfred Marshall (1842-1924), Professeur à l'Université de Cambridge, perçoit la dimension nouvelle du chômage moderne dès les années 1880 et formule ce qui peut être considéré comme la première analyse du chômage en 1903, dans laquelle il distingue deux types de chômage.
Parce que l'assurance chômage porte sur la perte d'emploi, elle possède un premier avantage évident : elle limite les conséquences financières d'une perte d'emploi sur votre budget et sur l'équilibre de vos finances. Si vous venez à perdre votre travail, vos revenus vont logiquement baisser.
Le chômage fragilise physiquement. En effet, cette situation entraîne bien souvent l'absence de rythme régulier, la baisse d'activité physique et une alimentation moins saine. Ces changements peuvent être source de problèmes physiques et avoir de lourdes répercussions sur la santé.
Le chômage est la situation d'une personne, d'une entreprise, d'un secteur entier de l'activité économique caractérisée par le manque de travail. Les causes d'absence d'emploi pour la population active sont nombreuses : entrée dans la vie active, licenciement, démission volontaire ou réorientation professionnelle.
les insuffisances de l'enseignement professionnel, trop difficile d'accès pour les jeunes non qualifiés; la faiblesse de l'accompagnement vers l'emploi des jeunes les moins qualifiés. Pour trouver un emploi ou une formation, un jeune sans qualification a besoin d'être financé, suivi et conseillé de façon intensive.
Les causes du chômage
Ex. : procédure de licenciement, législation trop stricte des contrats de travail. Ces rigidités du marché du travail en empêchent les ajustements nécessaires entre offre et demande de travail, ce qui va engendrer un déséquilibre économique générateur de chômage.
Le gouvernement a mis en place des stratégies et programmes pour développer ce secteur. Il s'agit du Programme National de Sécurité Alimentaire (PNSA), Plan National d'Investissement Agricole (PNIA), et aux Stratégies Agricoles Nationales (SAN).
Nous avons évoqué les causes historiques de la pauvreté au Burundi telles que la colonisation, la guerre…, les causes sociopolitiques comme les exclusions et les discriminations dans les écoles fondées sur les origines ethniques et régionales, etc.
Ainsi, le Burundi arrivait en tête des pays les plus démunis, avec un PIB par habitant de 269 dollars américains. Il était suivi du Sud Soudan et de la Somalie. Seul trois pays de cette liste sont hors d'Afrique : Afghanistan, Tadjikistan, Yemen .