Il est essentiel de motiver les enfants. Pour cela, il faut leur montrer que l'effort paie ; il faut aussi les aider à en tirer une satisfaction personnelle. Cherchez la cause des échecs. Chaque cas est unique, chaque personne a ses propres particularités, son propre environnement et ses propres motivations.
Par exemple, vous pouvez commencer par du soutien scolaire, puis un suivi psychologique, ou l'inverse. C'est très important également de redonner confiance à votre enfant sur ses autres compétences et ne pas s'acharner sur ce qui est compliqué pour lui.
Parmi les causes d'ordre scolaire de l'échec de l'enfant, on cite : la surcharge des classes, une orientation inexistante ou inadéquate, l'obligation faite aux élèves de travailler au même rythme, l'insuffisante formation psycho-pédagogique des enseignants, les méthodes didactiques et les programmes encyclopédiques, ...
Encouragez des attitudes qui rejettent la violence et encouragent une résolution non violente des conflits. Avec l'aide de vos élèves, établissez des règles de comportement au sein de la classe. Découvrez les compétences de résolution des conflits et de gestion de la colère, et enseignez-les à vos élèves.
Plusieurs facteurs sociaux sont considérés comme responsables de la violence en milieu scolaire : la crise économique, le chômage, la banalisation de la violence par la télévision. Mais aussi le cinéma, la littérature, les zones défavorisées qui connaissent une montée de la violence, le manque de communication verbale.
L'essentiel étant de ne pas le culpabiliser, car un échec scolaire est signe d'une souffrance. Si le dialogue est parfois difficile, les parents doivent garder à l'esprit qu'il est primordial de le rassurer. Faites-lui savoir que vous êtes là pour le soutenir et qu'il peut vous faire confiance.
Cette inquiétude peut devenir paralysante quand l'estime de soi du jeune est trop basse, et provoquer des comportements d'évitement. L'adolescent se met lui-même en échec en ne travaillant pas. Ainsi, il pourra dire que son échec est la faute de son manque de travail, pas de son manque de talent.
Pourtant, l'échec n'est vraiment pas la raison N. 1 pour laquelle les gens échouent. Les vraies raisons sont la peur et l'inaction. La peur de l'échec, d'avoir l'air stupide, de la perte, du regard des autres.
Dans un monde en perpétuel changement, où l'épanouissement personnel est devenu le nouveau graal, chacun aspire à se construire une vie heureuse, tant sur le plan personnel que professionnel. Or, ce chemin est souvent semé d'embûches. Tout le monde connaît des échecs dans sa vie.
La peur de l'échec peut se caractériser par : une faible estime de soi et l'idée que l'on n'y arrivera pas ; un perfectionnisme de la réussite et de la façon d'y accéder ; un auto-sabotage pour éviter de tenter à nouveau sa chance ; un confort à ne pas s'impliquer dans de nouveaux projets à risque.
Les conséquences d'une telle dévalorisation sont nettes au niveau affectif : cela provoque des sentiments de menace et d'insécurité. L'échec est également source de comportements significatifs. Il favorise les comportements de tricherie, ou antisocial.
Mircea Ştefan (2006) définit l'échec scolaire comme l'incapacité des élèves « de faire face aux exigences de l'école, d'acquérir les compétences prévues par les programmes scolaires, de s'adapter à la vie scolaire, de répondre aux tests d'évaluation ».
-L'échec scolaire est une des préoccupations essentielles du ministère de l'éducation nationale car il a des conséquences économiques et sociales. La lutte contre l'échec scolaire ne saurait être qu'une action de longue haleine, et en profondeur dont les résultats ne peuvent être immédiatement appréciés.
Changer la pédagogie
L'objectif d'acquisition par tous les élèves du socle commun de connaissances, de compétences et de culture à l'issue de la scolarité obligatoire réclame le renforcement de la priorité donnée à l'école primaire, et la poursuite de l'effort en cours dans l'éducation prioritaire.
Certains enfants, en opposition au maître, refusent de lui faire plaisir, ne travaillent donc pas. D'autres trouvent trop difficiles les consignes passées et s'enferment dans du refus.
utiliser un agenda plutôt qu'un cahier de texte . limiter les quantités à lire et à apprendre . communiquer sur les aménagements avec l'élève et sa famille . communiquer sur les méthodes avec les parents (procédure de la division…)
Posez vos limites et soyez clair : demandez-lui sans détour si son souhait est que vous n'interveniez plus ou si, au contraire il a besoin d'aide, voire de soutien extérieur, pour remonter la pente. Mettez-le au pied du mur. Il n'est pas question de ne plus l'accompagner, mais de le mettre face à ses responsabilités.
S'engager à promouvoir une école sans violence
En tant que délégué de classe, il s'engage à sensibiliser ses camarades à travers les différentes activités qui seront menées dans son établissement.
Réalisation d'actions de plaidoyer auprès des autorités nationales et internationales. Et participation à des coalitions de lutte contre les violences faites aux enfants. Organisation des rencontres régionales des partenaires avec la mise en place des formations sur les stratégies INSPIRE.