Toute personne s'estimant victime de discrimination peut saisir le Défenseur des droits de sa situation personnelle, que l'auteur présumé de la discrimination soit une personne privée (un individu) ou morale (une association, une entreprise…).
La première est d'encourager la diversité. Les écoles devraient encourager les élèves à s'ouvrir aux cultures différentes et à accepter la différence. La deuxième mesure est de promouvoir l'éducation. L'éducation est la clé pour faire tomber les préjugés et les stéréotypes.
La discrimination a des conséquences graves pour la société : consolidation des préjugés, recul de l'état de droit, perte de confiance dans la justice, perte de crédibilité des institutions et des politiques publiques, légitimation de la violence au sein des organisations et du travail.
– Accepter les différences. – Confronter ses jugements à ceux d'autrui dans une discussion ou un débat argumenté et réglé. – Développer les aptitudes au discernement et à la réflexion critique. – Respecter autrui : avoir conscience de sa responsabilité individuelle.
Voici les critères dont l'usage sélectif est a priori prohibé par le droit pénal : origine, sexe, situation de famille, grossesse, apparence physique, patronyme, état de santé, handicap, caractéristiques génétiques, mœurs, orientation sexuelle, identité sexuelle, âge, opinions politiques, activités syndicales, et « ...
Pour réduire les inégalités, commençons par faire respecter l'égalité des droits. Luttons pour plus de justice à l'école et dans l'entreprise. Modernisons les services publics. Redistribuons mieux, en réformant la protection sociale et les impôts.
La discrimination n'est pas un phénomène récent et demeure difficile à combattre malgré, ces dernières années, l'adoption de lois de plus en plus répressives contre les auteurs de faits discriminatoires et la création de la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Égalité (HALDE) en décembre 2004.
Les inégalités dans l'éducation se forment selon deux logiques distinctes. Tout d'abord, les enfants d'origine sociale aisée ont des résultats scolaires plus élevés que leurs homologues moins favorisés. Deuxièmement, à résultats scolaires donnés, ils choisissent plus fréquemment des études plus longues.
Sortir du conflit :
Faire attention à la manière de communiquer, en prenant conscience de l'interrelation. Regarder l'interlocuteur, être attentif à son attitude, ne pas conclure trop vite. Ecouter, laisser répéter, prendre en considération ce que dit l'autre. Utiliser la méta communication.
Ainsi, un élève dans cette situation scolaire a deux fois plus de chances de s'inscrire dans une classe préparatoire aux grandes écoles, filière la plus prestigieuse et réputée offrir les meilleurs débouchés, si son père est cadre supérieur ou enseignant que s'il est ouvrier.
Respect des droits et libertés, promotion de l'égalité, etc. Une réponse systématique à chacun des faits de violence commis dans l'enceinte scolaire doit être apportée pour préserver l'École de toute forme de violence et apporter un soutien sans faille aux professeurs.
Toutes les formes de discrimination sont le fruit de préjugés fondés sur une conception de l'identité et reposent sur le besoin de s'identifier à un certain groupe. Cela peut entraîner des divisions, de la haine, voire la déshumanisation d'autres personnes en raison de leur identité différente.
Le handicap reste, pour la sixième année consécutive, le premier motif de discriminations, devant l'origine et l'état de santé. Principaux obstacles pour les 12 millions de Français concernés ? L'emploi et les biens et services privés (litige commercial, assurance, banque, consommation, transport...).
Selon l'article 225-1 du code pénal, une discrimination se définit par toute distinction opérée entre les personnes physiques (ou morales) à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur état de santé, de leur état de grossesse, de leur ...
Les parents interrogés sur les raisons de la déscolarisation de leurs filles invoquent souvent des questions d'argent (frais de scolarité et coûts de renoncement), les mariages et grossesses précoces, des apprentissages insuffisants à l'école et une perte d'intérêt pour les études.
Le fait que les humains ne sont pas doués pour penser est l'une des principales raisons pour lesquelles les élèves n'aiment pas l'école. La deuxième raison de leur aversion pour l'école est la fragile curiosité des humains. Nous sommes nés curieux, avec le désir d'explorer un monde inconnu.
Les difficultés scolaires peuvent avoir de nombreuses causes : une intelligence trop limitée, un trouble d'apprentissage, un manque de confiance en soi, une indisponibilité d'origine psychologique, un manque de motivation.
L'État a un rôle majeur dans la lutte contre les inégalités. Il peut lutter contre les discriminations, moduler ses prélèvements obligatoires pour plus de justice sociale et surtout par la mise en place d'une sécurité sociale collective qui crée un lien de solidarité entre tous les individus.
Les inégalités réduisent l'efficacité de l'aide au développement. L'idée que les inégalités ont un impact négatif sur le développement des pays, parce que sources de tensions, de ralentissement de la croissance et de mal-être des populations, est aujourd'hui largement partagée.
Au sens du droit du travail sont considérés comme des discriminations les éléments basés sur l'origine ; le sexe ; les mœurs ; les activités syndicales ; le nom de famille ; le handicap, l'âge ou encore l'orientation sexuelle, etc. >
Tout élève a droit au respect de son intégrité physique et de sa liberté de conscience. Il a également droit au respect de son travail et de ses biens. Il dispose de la liberté d'exprimer son opinion à l'intérieur des établissements scolaires. Il en use dans un esprit de tolérance et de respect d'autrui.
Dès le plus jeune âge, les résultats des élèves sont liés en partie au milieu social de leurs parents. Les écarts se creusent au fil de la scolarité car le système scolaire français cherche davantage l'excellence d'une minorité de très bons élèves qu'à tirer vers le haut les enfants en difficulté.