Les deux parties se mettent d'accord sur le principe d'une solution à deux États : « les Palestiniens ont proposé un échange de territoires correspondant à environ 2 % de la superficie de la Cisjordanie. Les Israéliens ont, quant à eux, proposé un échange de l'ordre de 6 %.” [14].
Plusieurs résolutions concernant la situation au Proche-Orient ont été adoptées au Conseil de sécurité. Parmi les plus importantes, on compte la résolution 242, adoptée après le conflit israélo-arabe de 1967 ou la résolution 338, adoptée après celui de 1973.
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L'extension du territoire du pays et l'installation de colons juifs en Cisjordanie, partiellement occupée et administrée militairement par Israël à partir de 1967, avive les oppositions. Face à cette situation, la résistance palestinienne crée deux mouvements politiques : le Fatah, puis le Hamas.
Après trois réunions d'urgence sur le conflit israélo-palestinien, le Conseil de sécurité de l'ONU n'est toujours pas parvenu à un accord commun, en raison du blocage d'un pays : les Etats-Unis.
Des colons israéliens ont commis des actes de violence en toute impunité. Il y a eu 118 attaques de colons contre des Palestinien·ne·s en 2021, contre 84 en 2020. Le 17 août, des colons ont jeté des pierres sur six garçons palestiniens qui pique-niquaient à Silat al Daher, un village proche de Djénine, en Cisjordanie.
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros. Depuis les années 1990, les États-Unis ont donné en assistance 5 milliards de dollars aux Palestiniens et 5,6 milliards à l'UNRWA depuis 1950.
En 2020, Israël normalise ses relations diplomatiques avec au moins 5 pays : les Émirats arabes unis et Bahreïn lors des « Accords d'Abraham » (15 septembre), le Soudan (23 octobre), le Maroc (10 décembre) et le Bhoutan (12 décembre).
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
Premier fournisseur : les États-Unis dont l'incommensurable aide militaire est inscrite dans des accords solides. Suit l'Union européenne qui reste une source d'approvisionnement secondaire – avec la France en numéro un et la Belgique en quatrième place – mais dont la signification politique ne peut être éludée.
IMI ou Israel Military Industries Ltd (Industries militaires israéliennes) est un fabricant d'armes israélien concevant des armes réputées et populaires dans le monde, au nombre desquelles figurent les armes légères Uzi, Galil ou Desert Eagle.
Les États-Unis sont le plus grand fournisseur d'armement à Israël. Selon l'U.S. Congressional Research Service, entre 1998 et 2005, les États-Unis ont fourni la quasi-totalité de l'approvisionnement de l'État juif pour des contrats portant sur plus de 9,5 milliards de dollars.
Le 29 novembre 2012 , l'État de Palestine est reconnu comme État observateur non-membre de l'ONU. En 2017, l'État de Palestine est reconnu par 136 États (70,5 % des 193 États membres que compte l'Organisation des Nations unies).
Le conflit inclut une forte dimension religieuse, en raison de l'importance des territoires disputés, notamment Jérusalem, pour les trois religions monothéistes, et du fait de la caractérisation d'Israël comme État juif, à majorité juive et face à des Palestiniens majoritairement musulmans.
Son statut d'Etat est seulement décidé par l'ONU en 1948 en même temps que la création de l'Etat d'Israël, mais c'est un statut qui est éphémère puisque dès le lendemain de cette déclaration de l'ONU, une guerre israélo-arabe débouche sur la perte pour l'état Palestinien de l'ensemble de son territoire.
Les relations entre les États-Unis et Israël sont un facteur important dans la politique étrangère du gouvernement des États-Unis au Moyen-Orient depuis 1948. Les États-Unis maintiennent avec Israël une relation de proximité et de soutien via une aide financière annuelle et des accords militaires.
L'Algérie a longtemps soutenu l'Organisation de libération de la Palestine depuis les années 1970 et les présidents algériens Houari Boumédiène et Chadli Bendjedid ont à la fois organisé et accueilli Yasser Arafat. L'Algérie a également fourni des armes et un entraînement pour les militants palestiniens.
Le gouvernement marocain a accepté la communauté juive sur son territoire même après la création de l'État d'Israël en 1948, facilitant les liens diplomatiques entre les deux États. Certaines villes marocaines possèdent des mellahs (quartiers juifs), notamment celle de Marrakech.
La France a reconnu l'Etat d'Israël le 20 mai 1949 mais ne reconnait pas à ce jour l'Etat de Palestine. Pourtant, le 2 décembre 2014, l'Assemblée Nationale a adopté une résolution demandant au Gouvernement français de reconnaitre l'Etat de Palestine par 339 voix contre 151.
La France officielle ne reconnait pas la Palestine comme état pour la simple raison qu'historiquement parlant le moyen orient a toujours être habitait par les juifs. A cette raison, ajoutez le fait qu'elle sait bien qu'Israël et une puissance nucléaire qu'il ne faut pas contrarier .
À l'heure actuelle, 32 états membres de l'Organisation des Nations Unies ne reconnaissent pas l'État d'Israël : 18 des 22 membres de la Ligue arabe : l'Algérie, le Bahreïn, les Comores, Djibouti, l'Irak, le Koweït, le Liban, la Libye, le Maroc, Oman, le Qatar, l'Arabie Saoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie, la ...
Les Nations unies représentent le rêve d'un système de relations entre États fondées sur la notion de sécurité collective. L'OTAN, créée deux années après l'ONU, en raison de la Guerre froide, repose sur la notion plus pragmatique de défense collective.
Ainsi, pour l'ancien ministre français Jean-Pierre Chevènement, la reconnaissance du Kosovo « est une triple faute » : faute contre l'histoire, le pays n'ayant jamais été indépendant, faute contre le droit, la guerre déclenchée en 1999 par l'Otan ayant ignoré les principes du droit international, et faute contre l' ...
Par ailleurs, l'Union a signé en 2016 un accord de stabilisation et d'association avec le Kosovo. Le pays n'est pas membre de l'ONU, mais il est reconnu par le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale.