Inspirez lentement par le nez durant 4 secondes. Votre ventre se gonfle d'air. Retenez votre respiration durant 7 secondes en vous tenant bien droit. Expirez lentement par la bouche durant 8 secondes.
Pour améliorer la circulation de l'air, laissez les fenêtres et les portes ouvertes, utilisez un ventilateur d'extraction et pensez à ajouter un système de filtration à votre système de chauffage, de ventilation ou de climatisation.
Balayez votre corps de la tête au pied et prenez conscience des parties du corps détendues. ► Prenez ensuite conscience de votre respiration. ► Adoptez une respiration ventrale : vous inspirez par le nez, en laissant les poumons se remplir et le ventre se gonfler.
Nettoyez et aérez votre chambre
Bien nettoyer votre chambre est la première mesure que vous devez entreprendre (si ce n'est pas déjà fait !) pour mieux respirer la nuit. Poussières, acariens, poils d'animaux... sont autant de causes d'allergies qui peuvent être à l'origine de votre nez bouché la nuit.
Les moisissures : premier signe d'une maison mal ventilée
Lorsqu'une maison est mal ventilée, la vapeur d'eau ne s'évacue pas correctement puisque l'air se renouvelle peu. Or, rien que le fait de respirer crée entre 1 et 5 litres de vapeur d'eau par personne et par jour, selon les activités pratiquées.
Comment savoir si l'air est trop sec ? Pour connaître le taux d'humidité d'une chambre, la solution la plus fiable est d'utiliser un hygromètre. Cet appareil permet de mesurer précisément le niveau d'humidité dans l'air.
En orientant votre ventilateur ainsi, il évacue l'air chaud de votre intérieur et le remplace par un air plus frais.
Faites des exercices de respiration profonde tous les jours
Avec des exercices réguliers de respiration profonde, vous pouvez facilement renforcer vos poumons. Il peut également aider à éliminer les toxines qui peuvent s'être accumulées dans les poumons.
Pour favoriser la ventilation naturelle traversante dans votre logement, l'idéal consiste à placer vos ouvertures en opposition. Ainsi, le vent fait entrer l'air frais et sain de l'extérieur pour créer une pression et un phénomène inverse de dépression chasse l'air chaud et pollué à l'opposé.
Ouvrir ses fenêtres : un geste élémentaire
Ce geste simple du quotidien peut être répété plusieurs fois par jour, par exemple au lever et avant le coucher. Et ce, été comme hiver. Ouvrir les fenêtres permet d'évacuer l'air intérieur et de faire entrer un air nouveau dans le logement.
Qu'il fasse beau, ou froid, pluvieux ou caniculaire, ouvrez toutes vos fenêtres dix à quinze minutes par jour, ou mieux encore doublez la dose en le faisant matin et soir. C'est évidemment le meilleur moyen de renouveler l'air intérieur et d'exfiltrer tous les polluants aériens qui y circulent.
Placer un bol d'eau chaude sur un meuble ou une bassine d'eau près d'un radiateur permet par exemple d'humidifier l'air ambiant par évaporation. Il est également conseillé d'aérer la chambre au moins 5 minutes par jour afin de laisser entrer l'humidité en provenance de l'extérieur.
Investir dans un humidificateur est sans aucun doute l'un des meilleurs moyens de combattre l'air sec. Si vous avez mesuré le taux d'humidité d'une chambre et constaté que vous devez l'augmenter, un appareil comme le purificateur et humidificateur 2-en-1 Series 3000i est ultra-efficace.
L'hygrométrie étant l'une des caractéristiques principales d'un air vicié, lorsque votre logement ne présente pas de fuites, de remontées capillaires d'humidité ou encore d'infiltrations, il peut être suffisant d'assécher l'air de la pièce pour le rendre plus respirable.
Si votre logement est particulièrement humide, vous pouvez investir dans un déshumidificateur ou une VMC (ventilation mécanique contrôlée) qui se charge d'extraire l'air de la pièce et d'en faire rentrer de l'extérieur. La présence d'une VMC est d'ailleurs obligatoire dans les logements récents.
La plupart des personnes qui le contractent développent une forme asymptomatique ou légère de la maladie, avec des symptômes relativement légers ressemblant à ceux d'une bronchite : fièvre, gêne respiratoire, mal de gorge et toux fréquente.
Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
En traitement de fond de l'asthme, les corticoïdes inhalés et la cortisone sont privilégiés. En diminuant l'inflammation des bronches, la toux est calmée et l'essoufflement est diminué.