Laissez ce qui est en vous sortir et libérez ces émotions contrariées, sans vous juger. Faites de votre méditation un moment d'acceptation totale : de vos difficultés, vos doutes, vos peurs. Vous avez le droit. Vous êtes humain.
La tendance à juger à l'excès tient au fait d'avoir été soi-même une cible. Il s'agit donc de retrouver comment, à quelle fréquence et pourquoi des jugements vous ont été imposés. En identifiant ces blessures du passé, on prendra conscience des raisons qui incitent, au présent, à en infliger à soi-même et aux autres.
Acceptez et respectez le comportement des autres. Ils n'ont surement pas les mêmes objectifs de vie que vous. Vous ne pouvez pas vous mettre à la place de l'autre, vous ne connaissez pas tout son parcours de vie. Au lieu de critiquer une personne, essayez d'en apprendre davantage sur elle, montrez-vous empathique.
3) Juger, c'est enfermer les autres dans des cases et diminuer notre propre ouverture d'esprit. Le jugement est une sentence qui confine la personne qui la reçoit dans une réalité qui n'est pas la sienne (les enfants qui subissent des jugements ou des étiquettes vont caler leur comportement sur eux).
On juge tellement que de vouloir arrêter de juger c'est presque comme essayer d'arrêter de respirer. Néanmoins, il est possible de moins juger en arrêtant de s'identifier à ses propres jugements. Regardez votre juge intérieur juger tout et tout le monde mais regardez le comme un spectacle.
Cultiver la conscience de soi
Mais si on veut être à son meilleur niveau et moins sensible au regard d'autrui, il est nécessaire de renforcer et d'approfondir la connaissance de soi. Commencez donc par élaborer une devise personnelle : un mot ou une phrase qui exprime vos convictions et vos valeurs fondamentales.
Jugeant : Définition simple et facile du dictionnaire.
Posez votre main sur votre cœur, sous le nombril, ou sur n'importe quelle autre partie du corps où vous ressentez l'inquiétude. C'est une façon d'apporter un signal de bienveillance au cerveau. Le toucher est également un sens qui aide à réduire la rumination mentale et les pensées négatives.
impartiale. impartiaux. Qui fait preuve de justice, d'équité, qui ne prend aucun parti dans son jugement et observe une stricte objectivité.
Les personnes qui jugent les autres : – Généralement, elles détestent une grande partie de leur vie. C'est pourquoi, elles tentent d'intoxiquer la vie des autres, dans la mesure du possible. – Elles ne sont pas satisfaites de ce qu'elles font et elles prennent très mal le fait que quelqu'un soit satisfait.
Nos jugements justes sur les autres peuvent leur fournir des conseils dont ils ont besoin et, dans certains cas, peuvent nous protéger, nous et notre famille. Nous devons toujours juger avec sollicitude et compassion. Autant que possible, nous devons juger les situations des gens plutôt que les personnes elles-mêmes.
Quand critiquer permet de s'adapter au monde
En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde. Selon elle, on critique les autres de manière à conforter la posture que l'on a prise, une posture "sécuritaire" adoptée en fonction de l'environnement dans lequel on se trouve.
Avoir jugé quelqu'un, quelque chose,
s'être fait sur eux une opinion défavorable et définitive.
Indépendamment du fait que vous attirez réellement les regards, il est probable que votre sentiment que tout le monde vous regarde soit dû à une perception subjective erronée. Ceci est courant chez les personnes souffrant de phobie sociale ou celles qui souffrent d'une extrême timidité.
Demandez-vous si la personne défend vos intérêts et veut vous aider ou bien elle veut simplement vous insulter. Par exemple, un excellent camarade peut dire « ces derniers temps, vous avez l'air d'être dans les nuages et vous n'êtes pas comme d'habitude ». Vous pouvez donner de l'importance à un tel jugement.
Définition. La blemmophobie n'est pas une simple timidité, mais une peur viscérale du regard d'autrui sur le corps.
La Sainte Ecriture est formelle là-dessus : on ne doit pas juger son prochain (Mt 7,1-5 ; Jc 4,11-12) car le jugement appartient à Dieu, qui scrute les cœurs et les reins et qui connaît parfaitement le cœur de l'homme. Mais il semble que l'homme ne peut s'abstenir de se juger et surtout de juger son semblable.
Le non-jugement est une attitude bienveillante qui offre la liberté à son interlocuteur d'exprimer une idée, fut-elle farfelue de prime abord, sans le juger.
Selon le christianisme
Le Jugement dernier pour les chrétiens est le jour où les humains seront jugés selon leurs actes et paroles. Il est à distinguer du jugement particulier de l'âme après la mort. En effet, les actions d'une âme ne s'arrêtent pas nécessairement au moment de la mort physique.