Lorsque le voilier est face au vent, il ne peut pas avancer ; on dit alors qu'il est vent debout. Il doit s'écarter d'environ 45° de l'axe du vent pour pouvoir progresser à l'aide de ses voiles. On met le bateau vent debout quand on veut descendre la grand voile.
On parle d'allures de près lorsque le vent vient de l'avant du bateau. Ces allures sont le près serré, le près bon plein et le petit largue jusqu'au travers. Si une voile n'est pas totalement gonflée, elle n'est pas totalement propulsive. A l'inverse, une voile trop bordée perd aussi de sa puissance.
La plupart des marins s'accordent à dire qu'une vitesse de vent d'environ 10 nœuds est la meilleure pour la navigation, en moyenne.
La poussée vélique permet au voilier de s'avancer contre le vent. La force de dérive se présente lorsque la dérive et le gouvernail forment une force qu'on appelle « Antidérive ». Cette force empêche le voilier de découler. Lorsqu'un voilier avance contre le vent, son déplacement se fait à l'encontre de l'eau de mer.
Avant, les bateaux ne pouvaient avancer qu'en se laissant pousser par le vent arrière. De ce fait, ils ne se déplaçaient que dans le sens des vents dominants, ce qui limitait leur autonomie. Aujourd'hui, les voiliers modernes peuvent remonter contre le vent et donc aller où ils le souhaitent.
Ce qu'il faut retenir (les maths et la physique seront abordés dans d'autres articles): Une voile fonctionne comme une aile d'avion : plus l'air circulant sur la voile va vite, plus la « force aérodynamique » sur la voile augmente, et donc sa « composante propulsive » qui fait avancer le bateau.
Léger (0 à 9 km/h) Modéré (10 à 40 km/h) Fort/venteux (41 à 60 km/h) Très fort/coups de vent (61 à 90 km/h)
Pour naviguer à bord d'une embarcation dont le moteur dépasse les six cheveux, sans restriction de vitesse, il faut disposer d'un permis : de plaisance option « côtière » : jusqu'à six miles marins (1 mile = 1,852 km) d'un abri, de plaisance extension « hauturière » : sans limitation de distance.
Sur la carte de frontologie et de champ de pression, il conviendra ainsi de repérer les centres d'action (évolutions des anticyclones, dépressions), les zones de vent fort et de vent calme, ainsi que les perturbations. La situation de bordure anticyclonique observée en été, est favorable à la navigation.
Sujet du message: Re: Voile pour 12 noeuds ? Avec la SL71, la voile idéale sera une 7,8m²/8m². avec ça, c'est planing à partir de 13~14 pour 83Kg.
Positionnez le bateau en diagonale par rapport au vent et aux vagues, laissez-le dériver sous le vent et tournez le gouvernail au vent. Bien entendu, il est impératif d'avoir beaucoup de place pour naviguer. Les marins trouvent que cette méthode est un moyen confortable de traverser une tempête.
Quant à la voile, puisque vos sorties se font toujours avec une intensité de vent ne dépassant pas 20-25 nœuds, je vous conseillerais de commencer avec une voile de 6-7 mètres carrés (toujours freeride, ou allround), et une sur 5 – 5,5 mètres carrés (poids du cavalier toujours …
Au vent arrière :
Pour plus de stabilité, poser le tangon pour ouvrir en grand la voile d'avant. Ne regardez plus les penons de la voile d'avant, ils retombent car la « trainée » remplace la « portance » et les penons ne sont plus de bons indicateurs d'écoulements.
Préférez des génois suffisamment larges sur enrouleurs pour couvrir un large domaine d'utilisation : petits vents et brises portantes. Au moins une voile doit également être envisagée pour la navigation au portant (un spi ou un gennaker). Trois voiles, au moins, peuvent donc suffire.
Sous un voilier se trouve le plan anti-dérive. Il est constitué par la quille (ou la dérive) et le (ou les) safran. Ces appendices créent un frein dans l'eau qui limite le glissement du bateau sur l'eau. Ils créent une force anti-dérive.
Pour déterminer la position du bateau, tracer une route et calculer une distance sur la carte marine, on utilise une règle Cras. La règle Cras possède une règle dont l'unité est le centimètre et une règle en milles nautiques (dont une à l'échelle 1/100000 et une à l'échelle 1/50000).
Catégorie A : Haute mer
Ces bateaux sont souvent dédiés aux longs voyages et capables de naviguer jusqu'à force 9 — vent établi à 47 nœuds avec des rafales à 61 nœuds — et dans des vagues d'une hauteur significative supérieure à 4 m et d'une hauteur maximale de 10 m.
La boussole
Cet instrument est composé d'une aiguille aimantée qui se dirige tout le temps vers le Nord, dans un cadre où il y a des points cardinaux qui sont inscrits : Nord, Sud, Est, Ouest. En navigation, elle peut servir à déterminer la position présente de l'utilisateur ou bien indiquer une marche à suivre.
Un vent est estimé violent donc dangereux lorsque sa vitesse atteint 80 km/h en vent moyen et 100 km/h en rafale à l'intérieur des terres. Mais ce seuil varie selon les régions, il est par exemple plus élevé pour les régions littorales ou la région sud-est.
En général, Environnement et Changement climatique Canada émet un avertissement de vent lorsqu'il y a un vent soutenu de 70 km/h ou plus, ou des rafales pouvant atteindre 90 km/h ou plus (remarque : il existe certaines variations régionales en ce qui concerne les avertissements de vent).
Cela serait dû à la modification de la pression atmosphérique, qui, de manière insidieuse, modifie notre pression artérielle. C'est également le cas lorsque l'on grimpe en montagne, où la pression est différente, ce que l'on traduit par la fatigue due au grand air.
S'il est vrai que l'on ne peut pas inventer du vent quand il n'y en a pas, les navigateurs arrivent à exploiter avec un grand talent le moindre petit vent pour faire avancer leur embarcation. Ils peuvent même aller plus vite que le vent. Les plus rapides vont même deux fois plus vite.
Les voiles devront être bordées, et être près de l'axe du bateau, comme sur le schéma. On navigue perpendiculairement en vent, c'est une allure rapide, la préférée des débutants. Ce principe est tout simple, le voilier garde sa direction sans dériver ou presque , et le vent force donc le voilier à avancer.
Le barreur actionne la roue du bateau pour faire tourner le bateau et l'éloigner du vent. Il faut aussi choquer la voile (action de l'équipier) c'est-à-dire relâcher l'écoute pour relacher la voile. On éloigne la voile de l'axe du bateau. Abattre c'est diriger le bateau vers une allure de vent arrière.