En mer, commencez par repérer le balisage et assurez-vous d'avoir mis à jour vos cartes de navigation. Respectez la vitesse limitée et ne forcez pas la priorité. Respectez également les bateaux de plus gros tonnage et serrez à droite, en route opposée.
Il est préférable de ne pas trimer en positif, car la carène étant plus plate dans sa moitié arrière elle frappe sèchement l'eau. Si, au contraire, on fait « travailler l'étrave », la coque se maintient plus à plat et assouplit les chocs grâce au V plus marqué des formes avant.
En mer et face à une vague se dirigeant vers votre bateau, il faut se dire que l'on a 2 choix: battre en arrière le plus rapidement possible (on braque et on met la gomme !) ou affronter la vague TOUJOURS de face !
La boussole
Cet instrument est composé d'une aiguille aimantée qui se dirige tout le temps vers le Nord, dans un cadre où il y a des points cardinaux qui sont inscrits : Nord, Sud, Est, Ouest. En navigation, elle peut servir à déterminer la position présente de l'utilisateur ou bien indiquer une marche à suivre.
En outre, pour naviguer, dès lors que la motorisation du bateau dépasse 4.5kw, il faut disposer d'un permis côtier (jusqu'à 6 miles des côtes) ou d'un permis hauturier (pas de limitation de distance). Contrairement au permis option « côtière », le permis hauturier permet de naviguer aussi bien de jour que de nuit.
Avant de partir naviguer, que ce soit pour une longue durée ou non, au préalable, le repos est essentiel. Privilégiez une bonne nuit de sommeil plutôt qu'une nuit courte pour limiter les risques. La fatigue et le stress sont des facteurs qui vont amplifier le mal de mer.
Choisissez si possible une cabine au centre du bateau, car il bouge moins à son centre de gravité. Lorsqu'on se trouve à l'avant ou à l'arrière d'un long navire, le mouvement ascensionnel est très sensible et prédispose au mal de mer.
L'AIS permet de suivre en temps réel les navires à portée VHF. C'est un système de sécurité pour éviter les collisions entre navires. Les unités qui émettent en AIS envoient leur position, mais aussi des informations comme leur cap et leur vitesse (entre autres).
En navigation, faire le point signifie déterminer la position instantanée du navire ou de l'aéronef (ou plus généralement, d'un mobile). En navigation maritime, à proximité de la côte, on peut utiliser des méthodes de triangulation optique - en se basant sur des amers - ou radar.
On retrouve ces écoles sur tous les départements comme freesailing, l'association des Glénans ou le centre de voile de la Macif. La Fédération Française de Voile recense aussi les centres nautiques qui proposent des cours à bord de voiliers habitables pour apprendre à naviguer, se perfectionner et devenir autonome.
A savoir qu'il vaut mieux surfer à marée basse quand les vagues sont petites (50cm), il y aura moins d'eau et les vagues se formeront plus facilement. N'hesitez pas à vous référer à la couleur des indicateurs. Plus ils sont foncés plus le vent est fort ou la houle est grosse, et donc réservé aux surfeurs confirmés.
Dans presque tous les cas, un bateau se renverse parce que le vent est trop fort. Généralement, cela prend la forme d'une rafale qui dépasse le lest. Ainsi, un bateau peut naviguer par gros temps et sembler aller bien, mais une rafale soudaine le fait chavirer.
En règle générale, la navigation s'effectue au milieu du chenal. Les croisements se font comme sur la route en serrant sur sa droite. Le bateau remontant doit la priorité au bateau descendant. Le dépassement ne s'accomplit que si cette manœuvre ne présente pas de danger.
Avant de larguer les amarres, procurez-vous quelques objets qui vous rendront plus facilement visible, audible et localisable : un vêtement avec des bandes réfléchissantes pour chaque membre de l'équipage, une balise de détresse et un sifflet, sans oublier l'incontournable miroir de poche.
Remorquer soi même son bateau
Pour que l'annexe soit bien positionnée, utilisez une pointe et une garde. L'idée est que l'annexe reste toujours bien collée au voilier. Afin de faciliter les manœuvres, placez l'annexe le plus en arrière possible du voilier. En ayant fait ceci, le convoi avancera sans problème.
un dispositif de repérage et d'assistance pour personne tombée à l'eau (type « bouée fer à cheval » ou « bouée couronne ») trois fusées rouges à main. un compas magnétique étanche (conforme aux normes ISO pertinentes) ou un système de positionnement satellitaire (GPS) étanche faisant fonction de compas.
Plus le bleu est foncé, moins il y a d'eau, Le vert montre l'estran (bande de côte couverte à marée haute et découverte à marée basse), Le bistre, indique la terre (toujours émergée), Le rose signale les phares des entrées de ports, les câbles sous marins ou les zones réglementées.
Le cap est un angle entre la direction du Nord qui est son origine et l'axe du bateau dans le sens des aiguilles d'une montre. Si le compas de route indique 90°, le cap est égal à 90°, l'axe du bateau fait un angle droit avec la direction du Nord. Si il est égal à 180°, cap au Sud, nous nous éloignons du Nord.
Tenez la boussole horizontalement devant vous, en prenant garde que la flèche de direction soit pointée vers l'avant. Vous finirez alors par atteindre votre destination en suivant toujours la flèche de direction. Tournez sur vous-même jusqu'à ce que l'aiguille magnétique s'aligne avec la flèche d'orientation.
Quand les deux bateaux à moteurs se font face, les deux doivent s'écarter en tribord. Le bateau à droite est privilégié (priorité à droite). Le bateau qui n'a pas le privilège doit s'écarter. Le bateau de tête est privilégié, le bateau rattrapant doit s'écarter suffisamment pour ne pas gêner le bateau de tête.
Lorsque deux navires à moteur se croisent la règle de priorité à droite s'applique (comme dans le code de la route). Le bateau vert est prioritaire. Le bateau rouge doit laisser la priorité à droite et passer derrière le bateau vert.
La boussole et les compas
Sur terre comme en mer, la boussole fait partie des incontournables pour se diriger. L'aiguille de cet outil pointe toujours le Nord, c'est à l'utilisateur lui-même de s'orienter par rapport à cette direction. En complément de cet instrument, il faut avoir recours à un compas de barre.
Et les chaussures sur un bateau? Enlevez vos chaussures pour éliminer les bactéries Mais la plupart des substances présentes sur vos semelles le sont et risquent de contaminer votre intérieur.
Oui ! Au bout de quelques jours en mer, le cerveau s'habitue : c'est la période d'amarinage. À l'inverse, lors du retour à terre, le cerveau a besoin de se réaccoutumer à ce nouvel équilibre. Les sensations sont alors les mêmes que lorsqu'on a le mal de mer...
Dans l'oreille interne, il existe des microcristaux qui sont agglomérés sur un support ciliaire, des petits cils. Il arrive que ces cristaux se détachent après des chocs. On ressent alors des vertiges ».