En ce sens, il ne faut absolument pas chercher à supprimer entièrement la peur à moto ! Il est préférable de conserver des sources d'inquiétudes justifiées qui servent votre sécurité, tout en trouvant le juste milieu pour que votre plaisir de la moto ne soit pas impacté par des biais psychologiques.
Tournez d'abord dans un sens, puis dans l'autre. Régime constant, d'abord ralenti de première, puis un peu plus rapide. Jamais de freinage ni d'accélération, sauf en cas de perte d'équilibre, un petit coup de gaz pour revenir en ligne.
Se faire accompagner par un proche de confiance en cas de peur de conduire seul, afin de reprendre de l'assurance et contrôler ses anxiétés. Faire des exercices de respiration et de relaxation, précieux alliés pour apprendre à gérer son stress dans différentes situations, en particulier au volant.
Pour se sentir à l'aise sur sa moto, il est important d'être souple, détendu. Ce n'est possible que si on se sent en confiance, donc en équilibre, notamment à basse vitesse. Quelques exercices pour vous entraîner à sentir et maîtriser l'équilibre de votre moto à allure lente.
Une seconde solution possible est de pratiquer un sport ou des techniques de relaxation avant de prendre le volant. Le conducteur, reposé et libéré de ses soucis, pourra alors prendre la route bien plus en confiance.
Plusieurs éléments peuvent expliquer la peur de conduire : Le manque de confiance en soi qui entraîne une peur de faire une erreur de conduite ou une peur de créer un accident de la route. Si on a peur même en étant passager, cela peut provenir d'un manque de confiance envers les autres.
On appelle "amaxophobie" la peur de conduire. Une phobie bien spécifique, qui se traduit généralement par des crises d'angoisse à l'idée de devoir prendre le volant, et dont les causes sont multiples.
Un phénomène naturel. La peur à moto est un phénomène tout à fait naturel, que tous les motards connaîtront à un moment ou à un autre de leur vie à deux roues. Généralement, l'appréhension est plus présente chez les jeunes motards qui n'ont pas encore accumulé beaucoup de kilomètres.
D'abord avec le guidon droit, puis guidon braqué, puis guidon braqué de l'autre côté : au moins deux tours à chaque fois, dans chaque sens. N'oubliez pas de commencer par vous déplacer très lentement, doucement, pour bien ressentir les variations de l'équilibre de la moto.
S'aider du repose-pied
Le réflexe naturel du motard, habitué à monter et descendre par la gauche de sa moto, sera donc de poser le pied gauche sur le repose-pied gauche, les deux mains sur le guidon, avec le guidon droit ou braqué vers la droite, en position d'accueil.
Bon nombre d'activités sportives ont un effet bénéfique sur le stress : natation, tir, yoga, tai chi, équitation, sports nautiques, etc. Le sport déclenche dans l'organisme la production d'hormones appelées endorphines.
Se décontracter et respirer pour maîtriser le trac
Bien respirer peut vous aider à maîtriser votre trac. Pour vous relaxer, rien de mieux que de prendre une grande respiration avant de se lancer et de se laisser le temps de réfléchir.
Dans la vitesse, cette sensation de pouvoir s'accentue car plus on va vite, plus les neurones travaillent et le cerveau aime être occupé tant qu'il n'est pas dépassé. On a alors un sentiment de domination, de réaliser quelque chose de fort et cela produit des endorphines, qui correspondent à un plaisir réel.
Sur la route, laissez au moins 2 secondes entre vous et le véhicule qui vous précède. Sur autoroute, maintenez une distance au moins égale à deux lignes blanches de la bande d'arrêt d'urgence. Redoublez de vigilance la nuit.
Arrêter son véhicule
relâcher l'accélérateur et positionner son pied droit au-dessus du frein. freiner tout doucement au début avec le pied pied droit et compléter en douceur le freinage. débrayer à fond du pied gauche juste avant de terminer le freinage.
Plusieurs vitesses, ou toutes, sont dures
C'est le cas des synchros et des éléments de tringlerie. Ainsi, si une ou toutes les vitesses passent mal, c'est certainement une usure des synchros ou d'une tringlerie. L'autre cause ayant un impact sur l'ensemble des vitesses est l'embrayage et/ou le volant moteur.
Un scooter accélère vite et mieux que les automobiles au démarrage. On atteint donc vite les limites en ville et il faut veiller à ne pas dépasser les 50 km/h. Sur route, freiner ou ralentir à l'entrée des virages, surtout sans visibilité, quitte à réaccélérer dès la moitié du virage.
« Les raisons pour lesquelles un conducteur de Goldwing ne salue pas »-Selon le livre l'instruction de Honda il ne peut lâcher son guidon que lorsque la moto est à l'arrêt, que la clé a été retirée du contact, que la béquille a été sortie et que la radio a été éteinte.
Faire frotter un slider ne sert pas d'appui, mais uniquement de repère sur l'angle pris. Un déhanché, c'est l'inverse de ça. Pour parfaire le déhancher, il faut engager l'avant du corps et chercher à rejoindre son poignet avec son menton. Les bras ne doivent pas être tendus et accablés par l'effort de maintien.
En théorie, c'est simple : laisse-toi tomber. Dans la mesure du possible, évite de mettre les mains en avant pour limiter l'impact au sol. Mieux vaut se mettre en boule et compter sur la protection de ses vêtements.
Même si certains usagers de la route ont passé leur permis il y a des années, voire des dizaines d'années, et n'ont que très rarement touché à la conduite, cela ne s'oublie pas totalement. En effet, lors de leur formation au permis de conduire, tous les automobilistes mettent en place des automatismes.