Trois facteurs nutritionnels sont impliqués de façon convaincante dans la survenue d'un cancer colorectal : la consommation d'alcool, le surpoids, l'obésité et la consommation de viandes et de charcuteries. Le tabac est classé groupe 1 par le CIRC avec des preuves convaincantes pour les cancers colorectaux.
Pratiquer une activité physique régulière, avoir une alimentation riche en légumes, limiter la consommation de viande rouge et de charcuterie et les apports excessifs en calories sont des facteurs protecteurs.
Il est recommandé de ne pas fumer, de modérer sa consommation d'alcool, d'avoir une alimentation diversifiée et équilibrée, de surveiller son poids, de pratiquer une activité physique régulière et d'éviter l'exposition aux rayonnements UV.
Pour le cancer du côlon :
Cette répartition varie avec l'âge : les cancers diagnostiqués à un stade précoce sont plus fréquents chez les 40-74 ans (48 %) alors que ceux de stade avancé le sont davantage chez les moins de 40 ans (38 %) et les plus de 74 ans (37 %). Tous ces résultats sont similaires pour chaque sexe.
Le cancer du poumon est la cause la plus fréquente de décès liés au cancer.
En cas de suspicion de cancer du côlon et du rectum après un dépistage ou en présence de symptômes, une coloscopie est effectuée. Elle permet de visualiser les lésions et d'effectuer des biopsies. L'analyse anatomopathologique de ces prélèvements confirme le diagnostic.
Le stress peut être à l'origine de comportements individuels qui contribuent à l'augmentation du risque de cancer : alimentation défavorable à la santé, consommation de tabac, d'alcool, etc.
Le Fonds Mondial de Recherche sur le Cancer recommande de consommer 25 g de fibres alimentaires par jour pour prévenir le cancer. En consommant à chaque repas des céréales entières ou des légumineuses, en plus des 5 portions de fruits et légumes, il est relativement simple d'atteindre 25 g de fibres par jour.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
L'eau salée est largement utilisée pour nettoyer le côlon, traiter la constipation de façon naturelle, et détoxifier le corps. La boisson ci-dessous peut aider à éliminer les toxines, les déchets et les micro-organismes nuisibles du côlon. Comment boire : Ajoutez une cuillère à café de sel non iodé à un litre d'eau.
Il est parfois aussi appelé cancer primitif occulte ou cancer d'origine primitive inconnue. Les médecins tentent de déterminer le siège primitif à l'aide d'examens et, souvent, ils réussissent à le trouver. Dans la plupart des cas, il s'agit du poumon ou du pancréas.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Le sucre, ennemi numéro 1, serait donc accusé de nourrir le cancer. Régulièrement, de nouvelles études alertent le grand public.
En Asie, le curcuma est utilisé en médecine depuis de nombreux siècles. Il posséderait des propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes, anti-cancer et anti-infectieuses.
Le cancer colorectal, un cancer silencieux
Bien souvent, le cancer colorectal se développe de manière silencieuse, sans symptôme. C'est principalement le cas des cancers localisés au niveau du côlon droit et transverse.
L'étude « Face », menée en partenariat avec la Société Française de Psycho-Oncologie (SFPO), confirme le rôle essentiel de l'entourage : 82 % des patientes atteintes d'un cancer du sein peuvent compter sur le soutien moral de leur noyau familial qui fait bloc contre la maladie.
Des douleurs abdominales et des crampes.
Ce symptôme n'est pas spécifique à la présence d'une tumeur du côlon et peut compliquer la prise en charge. On associe en effet souvent une femme qui souffre de crampes ou de douleurs abdominales avec les cycles menstruels ou un trouble gynécologique.
Cancer du côlon : de bonnes chances de guérison en cas de diagnostic précoce. Un cancer fréquent et de plus en plus guéri.
Est-ce que le cancer du côlon est mortel ? Le cancer du côlon peut être mortel selon son stade d'avancement : le taux de guérison est de 90 % au stade 0, de 70 % au stade 3 et 13 % au stade 4. Les chances de survie à 5 ans atteignent 60 %, tous stades confondus.
Les personnes âgées de 50 à 74 ans sont invitées à réaliser une fois tous les deux ans un test de dépistage du cancer colorectal. Le test et son analyse sont pris en charge à 100 % par l'Assurance Maladie. Le test est à faire chez soi, puis à envoyer au laboratoire pour être analysé.