Marcher en forêt, aller à un repas de famille, aller au cinéma, etc. permet de libérer son esprit des pensées négatives et allège l'esprit. Faire une sieste courte le dimanche (entre 10 à 20 min) permet une bonne récupération.
La déprime peut être due à un déséquilibre de la chimie du cerveau lorsque la fabrication de certains neurotransmetteurs jouant sur la régulation de l'humeur comme la sérotonine ou la dopamine diminue. Des facteurs émotionnels, financiers, économiques, professionnels peuvent être en cause.
Le surmenage, la solitude, des événements difficiles ou traumatisants (problèmes financiers ou professionnels) peuvent favoriser une dépression. Souvent, son apparition suit la perte d'une personne, lors d'un deuil, d'une séparation, du départ d'un enfant du domicile des parents, par exemple.
Quand le quotidien s'enlise, que les objectifs deviennent flous et que l'on manque d'entrain, comment retrouver l'envie d'avancer ? En se fixant des objectifs qui nous enthousiasment. Et pour cela, il faut commencer par savoir vraiment ce qui nous motive, au plus profond de nous.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Le cafard qui survient le dimanche après-midi n'est pas seulement lié à la perspective de la reprise du travail ou de l'école, mais à une période d'inactivité qui pousse à l'introspection, selon le professeur de philosophie Gilles Vervisch.
Le changement de rythme le week-end : On peut retrouver le blues du dimanche chez des personnes sensibles aux changements de rythme, à la chrono-biologie. Nous n'adoptons pas toujours les mêmes habitudes ce jour-là par rapport au reste de la semaine.
Le blues du dimanche soir, un symptôme dû au changement de rythme. Plusieurs explications à ce blues de fin de semaine : “certaines personnes s'organisent mal au début du week-end, et réservent au dimanche les choses contraignantes”. Ce qui rend la perspective du dimanche soir pas très réjouissante.
Être déprimé n'entraîne pas de dévalorisation de soi sur le long terme. C'est à l'inverse le cas dans la dépression, qui en plus de créer des sentiments de honte et de culpabilité va fragiliser, voire détruire, amour-propre et confiance chez la personne.
Plusieurs causes peuvent être à l'origine des larmes : déprime, dépression, baby-blues… Si l'écriture ne vous suffit pas pour exprimer vos sentiments, une consultation chez un spécialiste peut vous aider.
On peut décider d'aller marcher en nature, lire un bon livre, ou toute autre activité qui nous aide à nous sentir bien. L'objectif, ultimement, est de rester en bonne santé physique et mentale pour pouvoir en profiter lorsque sera venu le moment de revoir nos proches.
Les causes sont nombreuses, c'est pourquoi cette baisse de moral peut être récurrente. Le mauvais temps, la séparation avec les proches, des difficultés au travail, une déception sentimentale sont autant de causes possibles. Mais le coup de blues le plus connu est sans doute celui du dimanche soir.
L'insomnie du dimanche soir est particulièrement présente chez les personnes ayant des emplois éprouvants, frustrants ou lorsque les rapports avec les collègues ou supérieurs sont mauvais. Ainsi, le stress de reprendre une semaine bien chargée peut expliquer le mauvais sommeil.
Il est tout à fait normal d'avoir des petits coups de blues de temps en temps. Ces baisses d'humeur passagères ne doivent être pas confondues avec un véritable dépression et peuvent donc se régler spontanément en adoptant ces quelques astuces.
Déprime ou dépression, comment savoir ? Certains symptômes de la déprime et de la dépression sont identiques : fatigue, perte de concentration, troubles du sommeil, tristesse par exemple. Mais ceux de la déprime sont plus modérés et tendent à disparaître spontanément avec le temps et les activités sociales.
Proposez-lui de faire des activités seul (e) ensemble, sans insister. Écoutez-le, même si son discours est toujours le même. Offrez-lui de petites attentions. Valorisez ses efforts même si cela vous paraît minime et soulignez les améliorations de son état.
L'individu qui en souffre perd contact avec ses désirs, ses goûts, ses affinités. Il se sent vidé de son énergie et a l'impression de mener une vie routinière, monotone et solitaire. L'envie de rien, le manque d'appétit, la sensation désagréable de perdre le sens de son existence, tout cela traduit un mal de l'être.
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.