Interrogée par: Mathilde Hernandez | Dernière mise à
jour: 15. Juni 2023 Notation: 4.3 sur 5
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Pour débrancher son mental et prendre le temps de vivre, la première étape est d'arrêter par moment dans la journée de penser aux « il faut« , aux « je dois« pour se demander : « comment est-ce que je me sens ici et maintenant ? », « Qu'est-ce qui se passe en moi à cet instant lorsque je suis en train de parler ? », et ...
L'ancrage, le secret pour faire taire le brouhaha du mental
Voici les principaux : Dire adieu aux pensées obsédantes, récurrentes, qui tirent vers le bas. Prise de recul, détachement face à des situations délicates.
La méditation de pleine conscience est un bon moyen de reconnecter avec vos pensées et vos émotions. En plus de vous aider à vous concentrer sur l'instant présent, la méditation en pleine conscience est également un moyen efficace d'apaiser le flux de pensées, d'inquiétudes et de jugements.
Avec autant de choses à se rappeler, à planifier et à exécuter tout au long de la journée, ce n'est qu'une question de temps avant que notre esprit commence à craquer. Plutôt que d'essayer de tout prendre pour soi, il est tout à fait normal, par moment, de demander de l'aide pour certaines tâches.
La personne atteinte se sent envahie par des pensées incontrôlées et répétitives, qui lui traversent l'esprit malgré son désir ou sa volonté. La personne est incapable de cesser d'avoir ces pensées, même si elle sait le plus souvent qu'elles n'ont pas de sens. Ces pensées deviennent alors des obsessions.
La méditation vous exerce à libérer votre esprit des idées du passé et des soucis de l'avenir, à vous concentrer sur le moment présent comme sur votre respiration. Elle peut clarifier vos pensées et réduire votre stress. Rire fait toujours du bien : le corps libère de l'endorphine, comme lors de l'activité physique.
Le yoga et la méditation sont des exemples connus de pratiques relaxantes. Les exercices de visualisation positives ou le relâchement musculaire progressif en sont d'autres toutes aussi efficaces.
La pression émotionnelle, cognitive et temporelle induite par une charge mentale importante risque d'entraîner des préjudices sur votre santé physique, sociale et psychologique : épuisement, fatigue. sentiment de culpabilité retard, perte de performance au travail.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
Il est possible de ne pas être l'auteur de ses pensées : des opinions reçues à l'inspiration divine, notre activité mentale est souvent déterminée par ce qui échappe au sujet. Mais dès lors qu'il assume cette extériorité, ce dernier est bien le signataire de ses pensées.
Les penseur·se·s excessif·ve·s n'arrêtent jamais de réfléchir, si bien qu'il·elle·s ne se rendent pas toujours compte de leurs excès. Une psychologue a mis au point une liste de signes qui montrent que l'on se prend trop la tête.
La respiration joue un rôle important sur le corps et l'esprit. Les exercices de respiration permettent de se relaxer, car ils procurent au corps une sensation proche de celle d'un corps déjà détendu. Prendre quelques respirations profondes suffit à réduire les tensions et à soulager le stress, en oxygénant les tissus.
Les benzodiazépines sont les principales substances utilisées pour traiter l'anxiété aiguë (effet dit anxiolytique, voire sédatif). Le médicament agit après une seule prise, en 5 à 15 minutes environ, selon la dose absorbée et la sensibilité du patient.
Acceptez que toutes ces choses continuent sans vous, parce que, que vous l'acceptiez ou non, comme vous n'avez aucune influence sur cet état de fait, elles continueront forcément sans vous. Lâcher prise ne veut pas dire qu'on est un feignant ou un lâche.