Faire du sport. Courir ou même simplement marcher rapidement peut aider à se détacher de pensées parasites qui, à terme, ont un effet dévastateur sur le moral. L'activité physique permet de se concentrer sur son corps en oubliant un peu le mental.
Notre tête n'arrivera pas à lâcher prise sans stopper ce bavardage intérieur. L'astuce est de déposer nos préoccupations à côté de soi en les écrivant sur un bout de papier. Notre esprit pourra alors s'abandonner à la détente et dormir d'un sommeil réparateur, propice à trouver des solutions à nos problèmes.
Pour le psychologue Boris Charpentier, le fait de cogiter en permanence permet également d'éviter les dangers. "Dans la nature, on cherche le prédateur. En l'absence de prédateur ou de problèmes extérieurs, le cerveau continue de chercher d'autres menaces", explique-t-il.
Le « Haut Potentiel » est souvent détecté (quand le terme « diagnostiqué » n'est pas utilisé) à travers un test de QI, qui dit tellement peu ce que la personne peut vivre. Le mental qui n'arrête jamais ou peu souvent, une capacité accrue d'analyser et de voir les choses sous un autre oeil …
Si tu ressens que tu as des difficultés à lâcher prise, c'est que tu as de la peine à accepter les choses telles qu'elles sont. Autrement dit, la situation génère chez toi des émotions désagréables que tu n'as pas envie ou que tu n'es pas en mesure d'accueillir. Ton ressenti peut t'effrayer pour plusieurs raisons.
La thérapie EMDR peut vous aider à chasser vos pensées obsessionnelles et à redéfinir vos priorités. En combinant des exercices de visualisation et des séries de mouvements oculaires avec l'encadrement de votre praticienne EMDR à Nice, vous parviendrez petit à petit à lâcher prise.
# Forme. La forme physique repose sur une alimentation équilibrée, de l'exercice régulier mais aussi un sommeil suffisant. Pour ceux qui ont des difficultés à s'endormir, ménagez-vous plusieurs petites pauses dans la journée. Six mini breaks de moins d'une minute par jour (méditation, exercice sur le souffle ….)
Non. Chaque maladie – physique ou mentale – laisse des traces dans l'organisme. Mais elle a parfois des conséquences positives. Le terme de guérison est toujours difficile à définir dans la mesure où l'idéal qu'il représente n'est que rarement, voire jamais, atteint.
Il s'agit de commencer par développer une vision claire de ses objectifs en dressant un bilan personnel et en prenant conscience de ses forces et ses faiblesses. La posture mentale du gagnant va commencer à prendre forme avec l'imagerie mentale et l'ancrage de la confiance.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Quoi qu'il se passe, surtout quand il ne se passe rien, on réfléchit, on rumine, on juge, on analyse, on se demande si. Bref, on pense trop. Ça s'appelle l'overthinking. Bonne nouvelle : quelque part dans notre cerveau, il existe un bouton "Stop", adapté à chaque manière de "trop penser".
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Si vous avez besoin de pleurer pendant un cours, vous pouvez tourner votre visage vers le bureau ou le couvrir avec un livre. Ne faites pas de bruit et ne sanglotez pas. Essayez de ne pas renifler non plus. Gardez un mouchoir dans votre main et essuyez rapidement vos larmes dès qu'elles se mettent à couler.
Respirez pour faire le vide dans votre tête
D'abord elle accompagne notre vie jour et nuit, heure après heure, sans que vous en ayez conscience. En l'amenant à votre conscience, en focalisant vos pensées sur elle seule, elle vous permet d'évacuer les situations stressantes en vous focalisant sur le « moment présent ».
En effet, l'un des exercices les plus puissants pour faire le vide dans sa tête est d'écrire toutes nos pensées, même si elles sont négatives, même si elles nous semblent ridicules, puériles, égoïstes, même si nous en avons honte ou qu'elles nous mettent en colère.