Une activité physique régulière d'endurance augmente la fabrication des facteurs trophiques qui aident les neurones à mieux conserver leurs synapses ainsi que leurs prolongements.
Notre cerveau est globalement dépourvu de capacités régénératives pour remplacer les neurones endommagés ou perdus. L'objectif de la médecine régénérative est de remplacer les cellules perdues afin de corriger les troubles fonctionnels associés à la perte de ces cellules.
La vitamine D et les aliments anti-oxydants des polyphénols que l'on trouve dans les légumes, le café, le thé, les fruits et le vin rouge améliorent la circulation sanguine dans le cerveau et la transmission des signaux entre les neurones.
Quoi qu'il en soit, l'accident vasculaire cérébral étant pour le cerveau ce que l'angine de poitrine est pour le cœur, ses facteurs de risque sont bien connus, les principaux étant le tabac, l'hypertension, l'excès de cholestérol, l'obésité et le diabète de type 2.
Une règle simple à retenir : ce qui est bon pour le corps est bon pour le cerveau. Pas trop de sucres, de graisses saturées ou d'alcool, de l'exercice quotidien et de bonnes nuits de sommeil. Mais d'autres activités sont préconisées pour éviter que les facultés du cerveau ne diminuent avec l'âge.
Pratiquer un exercice physique
A chacun sa méthode mais l'essentiel est d'oxygéner son cerveau grâce à l'exercice physique. En modifiant l'activité du cerveau, le sport permet de pomper le flux sanguin et l'oxygène vers les différentes zones cérébrales nécessaires pendant la journée.
L'homme commencerait à perdre ses premiers neurones à partir de 25 ans, à raison de 10 000 par jour ! Le vieillissement cérébral est confirmé par une diminution du volume et du poids du cerveau à partir de cet âge-là ; à l'origine il représente 2 % du poids total du corps humain et consomme 20 % de l'énergie produite.
Le stress, la musique écoutée trop fort, l'absence de vie sociale, la consommation de psychotropes, ou le fait de ne pas faire travailler son cerveau sont autant de facteurs pouvant accélérer le phénomène.
Les neurones ont besoin d'oxygène et de glucose pour fonctionner. Il est recommandé de les nourrir en acides gras et en glucides complexes, de boire beaucoup, mais aussi de pratiquer trois fois par semaine un exercice physique d'intensité moyenne (vélo, jogging, marche...), à raison de trente minutes par séance.
Prévenir la démence dégénérative cognitive et les lésions du cerveau. Pour prévenir la dégénérescence du cerveau, il convient que la personne âgée pratique une activité physique régulière pour augmenter l'apport de sang et d'oxygène dans le cerveau.
Le cerveau est essentiel : sans lui, tu ne pourrais pas vivre. Comme il est très fragile, il doit être bien protégé, à l'intérieur de ta boîte crânienne. Il est relié au reste de ton corps grâce à tes nerfs, des sortes de longs fils qui permettent aux informations de passer.
Quel est le meilleur sport pour le cerveau ? En fonction des effets souhaités, certains sports sont plus recommandés que d'autres. Pour améliorer nos capacités d'apprentissage, il est par exemple conseillé de faire un sport d'intensité modérée comme le vélo, la marche ou la course à pied.
1 – L'alimentation bénéfique à la santé cérébrale
Les oméga 3 sont reconnus pour fluidifier le sang ; sans nécessairement recourir à des compléments alimentaires, vous pouvez consommer deux à trois fois par semaine des poissons gras (thon, maquereaux, sardines…) et de bonnes huiles végétales (colza, cameline,etc.).
Les apports nutritionnels bénéfiques au cerveau peuvent aussi être apportés par des compléments alimentaires enrichis en DHA, en vitamine du groupe B, en magnésium et en extraits de plantes connues pour leurs bienfaits sur les fonctions cognitives (guarana, sauge).
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée.
Dire non aux tâches multiples. C'est l'un des pires ennemis modernes de la mémoire: la tentation de faire plusieurs choses en même temps. La mémorisation demande un effort pour lequel le cerveau doit être disponible.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau. Le corps humain ne produisant pas d'antioxydants, il est impératif de les lui apporter par l'alimentation.
Ces lésions peuvent susciter des troubles passagers de mémoire, de concentration, du sommeil. » Tout dépend du cerveau, de la violence de l'impact et des antécédents. Dans l'extrême majorité des cas, les lésions axonales sont réversibles… mais cela peut prendre de quelques heures à quelques mois.
Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Contrairement à toutes les autres cellules somatiques (exception faite de celles du coeur), les neurones ne se renouvellent pas par divisions successives. Ils compensent cette faiblesse par une grande robustesse : on estime leur espérance de vie théorique à 140-150 ans !