Pour ne pas se prendre la tête, il faut parfois fuir les conflits. Au travail, lors des réunions de famille ou à un diner entre copines, si la situation dégénère, mettez-vous à l'écart. Ainsi vous vous protégez ! Lorsque l'ambiance est tendue et que la prise de tête est proche, isolez-vous et calmez-vous en respirant.
Notre premier réflexe est donc de vouloir la faire taire… Mais lorsque l'on examine les choses avec attention, on constate que vouloir que sa pensée s'arrête est un non-sens absolu. On aborde alors la vie intérieure d'une toute autre manière. Acceptation, lâcher-prise et amour de soi prennent enfin tout leur sens.
Un management devient toxique dès lors qu'il place une personne dans l'incapacité de réaliser ses missions et qu'il la soumet à une pression émotionnelle supplémentaire.
Le mot ergophobie se décompose en ergo, du grec « ergon » qui signifie travail, et phobie, du grec « phobos » qui signifie « peur panique ». L'ergophobie est caractérisée par la crainte irrationnelle et exagérée du travail.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Si votre chef vous stresse, attention à ne pas vous laisser déstabiliser. La méthode Coué peut opérer des merveilles : répétez-vous que votre travail a de la valeur, que vous avez le droit de dire non. Si vous n'êtes pas d'accord, en revanche, préparez votre argumentaire avec soin.
Lâcher prise, c'est accepter ses limites, cesser de vouloir tout contrôler, ne pas lutter inutilement contre les personnes, les situations ou les évènements. Cela nécessite de prendre du recul avec soi-même, avec ce qu'il se passe, et avec le comportement des autres.
Le salarié qui souhaite contester l'inégalité de traitement ou la mesure discriminatoire dont il s'estime victime peut saisir le conseil des prud'hommes afin d'obtenir, le cas échéant, un rappel de salaire ou la réparation du préjudice subi.
Pour se libérer du stress du bureau, une certaine discipline s'impose. A l'heure de la sortie du bureau, il faut savoir dégonfler ses soucis professionnels. D'abord pour ne pas noyer ses proches en rentrant. ...
Enfin, un appel au secours, preuves à l'appui, en direction de la hiérarchie reste un moyen efficace pour neutraliser un chefaillon. Attention cependant, un petit chef en cache parfois un autre. «Si l'entreprise ne fonctionne pas sur ce mode de la menace, le patron va réagir.
Comment sortir d'un environnement de travail toxique ?
ne le prenez pas personnellement
Cela peut être difficile, en particulier lorsque le collègue toxique vous a dans sa mire. Vous pouvez vous terrer sous votre bureau ou réaliser que c'est lui qui a un problème et non vous. Détachez-vous sur le plan émotif. Évitez de réagir et concentrez-vous sur votre travail.
Dabney, psychothérapeute exerçant à Virginia Beach (Virginie), fait savoir qu'il est “tout à fait normal de se parler à soi-même”. Il ne s'agit pas nécessairement d'une habitude vouée à disparaître en grandissant ou d'un signe de maladie mentale mais d'une pratique bien plus courante qu'on ne pourrait le penser.
Essayez de dire ce que vous avez à dire en 20 secondes et donnez l'occasion à la personne qui vous écoute de partager aussi des informations. En général, essayez de ne pas parler plus de 40 secondes d'affilée. Si vous parliez plus longtemps, l'individu qui vous écoute pourrait se sentir irrité ou s'ennuyer.