Interrogée par: Richard Camus | Dernière mise à
jour: 13. Oktober 2022 Notation: 4.8 sur 5
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Modifiez le dialogue dans votre tête. Par exemple, au lieu de penser : « Je ne suis plus capable! », dites-vous plutôt : « Je vais me calmer avant de réagir. » Comptez jusqu'à 10, respirez profondément ou buvez un verre d'eau. Rappelez-vous un moment de bonheur ou de tendresse vécu avec votre enfant.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
L'irritabilité chronique peut être le symptôme de problèmes plus graves, comme la dépression, l'anxiété, la toxicomanie ou un déséquilibre thyroïdien. Si le fait de modifier votre mode de vie ne résout pas le problème, prenez un rendez-vous avec un professionnel de santé.
Traitez-les équitablement et ne les comparez jamais les uns aux autres. Pour être un bon parent, essayez surtout d'apprécier le temps que vous passez avec vos enfants et de bien gérer les moments difficiles particulièrement quand vous êtes fatigué et stressé et que votre enfant vous pousse à bout.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
Méditer 20 minutes peut considérablement vous aider. Essayez de sortir respirer l'air frais. Planifiez de vous coucher plus tôt avec un bon livre et laissez certaines tâches en suspens ou levez-vous plus tôt, avant les enfants pour prendre un temps pour vous sans être dérangée.
Accordez aussi de l'importance à vos petits loisirs et donnez-leur un créneau dans votre organisation. Loin de vous faire perdre du temps, ces petits moments de plaisir et de déconnexion vous ressourcent et vous donnent la force de mieux reprendre par la suite.
Être une “bonne mère”, c'est laisser une place au père
Au père ensuite de se montrer suffisamment présent avec ses enfants pour, à la fois les protéger avec affection (poser des limites, des interdits), mais également les “ouvrir” au monde extérieur...
La belle-mère est une matriarche : elle peut être celle qui réunit tous les membres de la famille et endosser un rôle de gardienne de clan quand ça se passe bien, mais parfois elle n'est pas autorisée à rassembler, à se mêler, ça dépend des cas", explique l'experte. "Elle peut aussi les désunir si ça se passe mal."
Pour trouver sa place de belle-mère ou de beau-père, le conjoint est un allié. Il connaît ses enfants et surtout les éventuelles difficultés à l'origine de la séparation. Il peut donc aider les différents membres de la famille recomposée à s'apprécier mais aussi à vivre ensemble.
“Son rôle va aussi dépendre de la place que lui donne le père dans la vie des enfants : simple aide auprès du père pour faire respecter les rituels déjà mis en place ou bien implication plus ou moins importante dans l'éducation des enfants”, ajoute-t-elle.