C'est comme le respect, si tu ne te respecte pas alors peu de gens le feront. Il faut s'aimer suffisamment pour se faire passer en premier, apprendre à reconnaître ses besoins pour y répondre et arrêter de faire passer les autres avant soi.
Quand vous faites passer les besoins des autres avant les vôtres, vous vous mettez en danger psychique. Parce que vos besoins restent en arrière-plan, ne sont jamais satisfaits et que cela vous empêche d'être heureux… 2 - La peur de ne pas être aimé(e)...
Penser à soi, c'est d'abord s'écouter, se connaître. On feint trop souvent d'être quelqu'un, tellement qu'on finit par y croire. Par penser à soi, je veux donc dire se reconnecter à soi pour mieux comprendre ses envies, ses ambitions, ses peurs, ses limites et les appliquer au quotidien dans ses choix et ses actions.
Si vous avez tendance à toujours vouloir faire plaisir aux autres, cela provient peut-être d'un manque de confiance en vous.
L'égocentrique monopolise toujours la conversation et n'écoute pas ce que les autres ont à dire car trop centré sur sa personne. L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc. L'égocentrique ne s'intéresse pas aux autres sauf pour savoir ce qu'ils pensent de lui.
On peut admettre que l'homme, d'un point de vue biologique, peut vivre sans penser. Comme l'animal, l'homme a des besoins physiologiques qu'il doit satisfaire s'il veut se maintenir en vie. Pour vivre, l'homme doit s'alimenter, se vêtir, se loger ou trouver un abri. Cela ne le distingue pas de l'animal.
Exercez-vous à parler devant un miroir.
Prenez le temps de rassembler vos pensées. Écrivez ce que vous voulez dire. Exercez-vous avec un ami en qui vous avez confiance. Simulez une situation réelle avec un professionnel, comme un psychologue, capable de vous donner une opinion honnête et objective.
Pour arrêter de ruminer, il faut les accueillir pleinement. On essaye d'abord de comprendre laquelle de ces émotions se cache derrière sa pensée négative. Dans un second temps, on s'efforce de ne pas culpabiliser mais plutôt de l'accepter telle qu'elle nous apparaît, de lâcher-prise.
PSYCHO - Prendre de la distance avec ses pensées négatives, se remettre dans l'action et favoriser les émotions positives sont autant de conseils qui peuvent aider à arrêter de ruminer.
Le fait de se laisser envahir vient d'un souci d'étanchéité à l'intérieur de soi, d'une posture intérieure où on laisse l'autre nous impacter (d'où le travail sur la confiance en soi).
On les appelle « idées noires », « obsessions » ou encore « ruminations ». Elles surviennent souvent après un choc émotionnel. Elles hantent l'esprit pendant des jours ou des mois.
Être égocentrique est une caractéristique de la personnalité d'une personne, tandis que le trouble de la personnalité narcissique (NPD) est une entité clinique qui nécessite un traitement, englobé dans le modèle dimensionnel des troubles de la personnalité.
L'individu égocentrique est également très attaché à ses croyances. En d'autres termes, sa capacité à changer est très limitée, principalement parce qu'il ne voit aucun défaut en lui-même. Cette forme de pensée stagne votre développement et vous empêche de vous améliorer.
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Ce qui peut aussi causer une perte de joie de vivre c'est que vous passez beaucoup de temps à ruminer des évènements passés ou à vous inquiéter de ce qui pourrait arriver dans le futur. Pourtant, le passé n'existe plus et le futur n'existe pas encore.
3 – Commencez le plus tôt possible, n'attendez pas ! 4 – Planifiez vous un bilan et des situations intermédiaire à court terme et moyen terme, avec une place pour les breaks et les récompenses. 5 – Réfléchissez au meilleur moyen d'y arriver, parfois avec un peu d'astuces il est possible de se simplifier la vie !
Proposez-lui de faire des activités seul (e) ensemble, sans insister. Écoutez-le, même si son discours est toujours le même. Offrez-lui de petites attentions. Valorisez ses efforts même si cela vous paraît minime et soulignez les améliorations de son état.