En 2050, 30% les déplacements s'effectueront avec des véhicules partagés, 20% avec des véhicules individuels, 25% en transports collectifs, 15% à vélo et 10% en deux roues motorisés.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
En 2100, nous vivrons toujours sur la planète Terre. Nous mangerons des légumes, des fruits et de la viande, un peu de tout ce qu'on mande aujourd'hui : en 2020. Nous nous déplacerons à pied, en bus, en voiture etc... Les voitures pourront voler.
Le rythme d'augmentation se ralentit certes, mais le chiffre de 8 milliards devrait être dépassé en 2030 et celui de 9 milliards en 2050. Cette population vivra à 80 % dans les villes (contre 50 % aujourd'hui en moyenne) ; comme le proclame Abdou Diouf « le xxi e siècle sera urbain ».
EN CHIFFRES
En 2050, 30% les déplacements s'effectueront avec des véhicules partagés, 20% avec des véhicules individuels, 25% en transports collectifs, 15% à vélo et 10% en deux roues motorisés.
En ville, priorité aux bus, métros et tramways. Pour les longs déplacements, vous laisserez votre voiture et opterez pour les trains ou les avions. Les déplacements en bateaux seront peut-être privilégiés dans quelques années pour passer d'un continent à l'autre.
La maison du futur sera connectée
De la même manière que la maison connectée d'aujourd'hui, tout sera géré par des écrans ou même smartphones : éclairage, chauffage, consommation d'énergie, sécurité, caméras, appareils électroniques et électroménagers…
Les villes devront être autonomes en matière d'énergie. Des immeubles pourront être capables de générer de l'électricité grâce à des éoliennes et des panneaux solaires intégrés. Des architectes imaginent même des espaces verts sur les toits comme des jardins ou même des fermes.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
Nous essaierons de rendre nos villes plus intelligentes et plus communicantes, avec quelques capteurs et une dose de nouvelles technologies. Elles devront être plus sobres en énergie et en CO2. Les transports seront plus fluides, moins individuels et, peut-être, moins stressants.
En effet, les futurs parents vont être capables de sélectionner des embryons pour éliminer les maladies et affections héréditaires. Mais d'ici 2050, ils pourraient payer pour choisir non seulement pour une bonne santé, mais pour des traits tels que l'intelligence, l'attrait ou les capacités physiques.
En 2100 nous vivrons tous heureux parce qu'il n'y aura plus de maladies. En 2100, nous ne mangerons que des bonnes choses : burger, frites, glaces, gâteaux. Nous nous déplacerons avec des voitures volantes. A l'école, nous aurons tous des ordinateurs pour travailler.
En 2050 la moitié des forêts de France sera soumise à un risque fort d'incendie en période estivale. Quand aux nuits tropicales (température minimale supérieure ou égale à 20°) il faudra s'attendre à en affronter plus d'une centaine par an dans le quart Sud-Est (contre seulement 2 nuits tropicales en 1960).
Pour connaître le climat du futur, les scientifiques développent des modèles climatiques. Ce sont des constructions numériques du système climatique qui mobilisent des outils mathématiques, physiques, chimiques et biologiques.
Évolutif et connecté En 2050, les logements sont modulables, conçus pour se transformer au gré des besoins, à géométrie variable, de leurs occupants. Ainsi, on peut regrouper ou diviser des pièces, grâce à des cloisons amovibles ; les maisons sont faciles à rehausser et on y crée des studios indépendants…
Le bâtiment du futur intègrera par ailleurs une autre dimension clé : il sera connecté. Tout comme la transition énergétique apparaît comme une nécessité écologique, la filière du bâtiment ne saurait échapper à la transition numérique globale, déjà nettement perceptible sur l'économie.
L'architecture réversible ou évolutive
En effet, dans l'architecture réversible, l'évolution future du bâtiment est pensée en amont avec par exemple une absence de murs de refond, ce qui permet de transformer aisément et sans coût écologique (ou presque) le bâtiment.
Rapide et efficace : le roller !
Le roller est un moyen efficace et très rapide. En 8 ou 6 roues, cela reste une alternative très sportive pour se déplacer dans les rues encombrées d'une capitale. Les 3 roues vont plus vite et les 4 roues sont, eux, plus maniables. À vous de faire votre choix !
Dans la plupart des villes françaises, les transports en commun sont généralement assurés par bus et tramway. Les réseaux sont généralement denses en centre-ville et faciles à emprunter. N'hésitez pas à vous renseigner auprès d'autres étudiants sur les horaires ou pour trouver un arrêt.
Pour se déplacer en ville,il existe plusieurs moyens de transports. Selon les distances à parcourir , on peut se déplacer :à pied ou en bicyclette ,en transports en commun ( métro , tramway ou bus), ou en transport individuel en voiture ou en moto.
Quelle ambition ? Face à l'urgence climatique, le Gouvernement s'engage à inscrire dans la loi l'objectif ambitieux de neutralité carbone, soit zéro émission nette à l'horizon 2050. C'est la feuille de route pour atteindre la neutralité carbone et pour réduire l'empreinte carbone.
Quatre ans plus tard, en 2050, les véhicules autonomes seront capables de conduire n'importe qui, n'importe où sur la planète. On évalue à "moins d'un accident par an", la probabilité d'avoir un accident en 2050 en passager de ces voitures.
En outre, selon le rapport publié récemment par l'organisation EPM, 96% des nouveaux véhicules dans le monde seront dotés d'une connectivité intégrée, soit une multiplication par deux en 10 ans. La voiture de 2030 permettra la multiplication des interactions entre l'écosystème digital du véhicule et le vôtre.