Le diagnostic d'un cancer nécessite la réalisation de plusieurs examens cliniques, biologiques et d'imagerie. L'ensemble de ces examens permet de proposer au patient la stratégie thérapeutique la plus adaptée à son cas. peuvent être pratiqués : examens cliniques, biologiques ou d'imagerie.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Les examens de radiologie diagnostique et de médecine nucléaire sont particulièrement utiles pour dépister les cancers, déterminer leur stade (c'est-à-dire leur étendue, par exemple la taille des tumeurs et leur éventuelle propagation au-delà du site primaire), et assurer le suivi, la planification thérapeutique, l' ...
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
- des examens d'imagerie : radios, échographies, scanners, Imagerie par Résonance Magnétique (IRM), scintigraphie. Ces tests et examens peuvent aider au diagnostic. Ils aideront surtout à localiser la tumeur, à évaluer son étendue et à savoir si elle est opérable ou non par un chirurgien.
L'échographie est très intéressante dans le cadre du cancer, car non seulement elle n'entraîne aucune douleur, mais en plus elle permet de détecter d'éventuelles tumeurs ou métastases, de les localiser avec précision et d'en évaluer le volume.
antigène tumoral 15-3 (CA 15-3) antigène carbohydrate 19-9 (CA 19-9) antigène carcinoembryonnaire (ACE) gonadotrophine chorionique humaine (HCG ou BHCG)
"On ne peut pas détecter un cancer par une prise de sang. La CRP est un marqueur de l'inflammation qui peut s'élever pour beaucoup de maladies, notamment des infections.
Les tumeurs ayant une densité particulière par rapport aux tissus voisins normaux, le scanner sert à les détecter et à les localiser avec une grande précision.
Voici une liste des signes et les symptômes les plus communément associés aux tumeurs cérébrales malignes ou non malignes: Maux de tête fréquents. Étourdissements ou vertiges. Troubles de la vision comme une vision floue ou double.
Par la radiothérapie, en particulier en cas d'irradiation du cerveau, de l'estomac ou de l'abdomen. Par le cancer lui-même, notamment les cancers du tube digestif (œsophage, estomac, côlon, rectum), du foie, des voies biliaires ou encore du pancréas.
L'IRM est un examen courant, de plus en plus utilisé dans le diagnostic et le suivi des cancers. L'IRM permet, si nécessaire, d'explorer les vaisseaux sanguins (angio-IRM). La spectro-IRM (ou spectroscopie par résonance magnétique) permet quant à elle une analyse physico-chimique des cellules cancéreuses.
Des douleurs pendant la miction, des difficultés à uriner, la présence de sang dans les urines, ou encore une douleur dans le bas-ventre lors des rapports sexuels sont des signes qui ne doivent pas être pris à la légère. Ces symptômes, souvent bénins, peuvent révéler dans les cas les plus graves, un cancer de l'utérus.
Numération de formule sanguine ou hémogramme. C'est l'examen le plus demandé par les médecins. Il est utilisé comme un test général de dépistage de l'état de santé général. Il a pour but de rechercher des troubles aussi variés qu'une anémie, une infection, un cancer du sang…
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Parmi les principaux citons l'alimentation (consommation de pesticides, ingestion de parabènes, etc.), la consommation d'alcool et de tabac (a fortiori avec la prise d'une pilule contraceptive), l'exposition à des toxiques, l'hérédité (cancer du sein et du côlon notamment), certaines pathologies susceptibles d'évoluer ...
Nous en avons désormais la certitude, tous les êtres multicellulaires animaux et végétaux sont porteurs de cancers.
La probabilité pour un individu d'avoir un cancer au cours de sa vie est actuellement évaluée, sur la base de l'incidence 1988-1992, à 46,9 % pour les hommes (soit près d'un homme sur 2), et 36,6 % pour les femmes (soit plus d'une femme sur 3) (Ménégoz et Chérié-Challine, 1998).
De tout temps, une odeur spécifique a été associée au diagnostic de certaines maladies, notamment du foie, mais notre odorat est inexistant à côté de celui du chien, d'où l'idée d'utiliser leurs capacités olfactives exceptionnelles pour détecter des cancers débutants.