Ail. Régionalisme utilisé dans quelque villages à cause de la ressemblance : « As-tu de l'ail ? » se dit « Ai ai ? ».
Inversion des sujet et verbe : ai se prononce [ɛ]
Lorsqu'on inverse le sujet et le verbe, les lettres ai doivent plutôt se prononcer [ɛ], comme un è.
dans pays et ses dérivés : AY se prononce \ɛ. i\ (ou \e.i\) : pays, paysan, paysannerie, arrière-pays… sinon : AY se prononce \ɛ\ ou \e\ : Aytré…
Le son /ɛ/ (« è ») est plus relâché que le /i/. La bouche et le corps sont détendus. La langue reste en avant. Il faut faire un sourire, mais avec la bouche ouverte.
Vous avez raison : la terminaison -ai à la premiere personne du singulier est un [e] fermé, comme le é (un bel été, en bon état) et celle du conditionnel ou de l'imparfait de l'indicatif -ais est ouverte comme le è (la mère, le père) et correspond au caractère [ɛ] en alphabet phonétique.
"Ai" : avoir au présent de l'indicatif (1e personne) et auxiliaire. C'est le verbe "avoir" conjugué à la première personne (je) de l'indicatif présent. Exemple : "J'ai un chien."
La forme « l'ai » est le verbe avoir à la première personne du singulier au présent (ou auxiliaire si le verbe est au passé composé), précédé du pronom personnel COD « l' ». Ex. : Cette poésie, je l'ai déjà apprise.
Dans la langue relâchée, on ne prononce pas toujours le [ə]. Ainsi cheminée se prononce [ʃəmine] ou [ʃmine]. Dans la langue soutenue, le [ə] est toujours prononcé.
En français, ce graphème se prononce [e] (é) ou [ɛ] (è) et se retrouve, entre autres exemples, dans des mots et locutions empruntés au latin, comme æschne, cæcum, nævus, præsidium (forme utilisée concurremment à présidium), tænia (forme utilisée concurremment à ténia), novæ et supernovæ (pluriels possibles de nova et ...
Le E caduc est aussi appelé E muet car souvent il n'est pas prononcé. Le E caduc ou E muet correspond à l'oral au son [ə], comme dans le mot fenêtre.
La prononciation du "Y" en "i" trouve son origine dans l'évolution de la langue latine. Le "Y" emprunté à l'alphabet grec était initialement utilisé pour noter un son absent du latin, le "u". Cependant, avec le temps, cette lettre commença à être employée pour transcrire le son "i".
La lettre « y » fait le son [j] lorsqu'elle est placée entre deux voyelles, comme dans « crayon ». Mais attention, dans ce cas-là, elle se comporte comme deux « i » : le premier « i » se lit [i] ou bien s'associe à la voyelle précédente pour former un autre son.
Difficultés. Lorsque y est complément d'un verbe à l'impératif, il s'y joint par un trait d'union, et le verbe prend toujours un s : penses-y bien, regardes-y à deux fois, vas-y.
Les lettres ai font le son [ɛ].
avec la lettre ê comme dans « fenêtre » ; avec la lettre è comme dans « mère » ; avec les lettres ai comme dans « balai » ; avec les lettres ei comme dans « reine ».
Il est appelé en français o-e entrelacé, o e-dans-le-o, o e-dans-l'o, ou par simplification, « e-dans-l'o ». D'autres noms plus informels sont : o-e lié, o-e collé. Dans le contexte anglophone, on l'appelle ethel ou œthel (du vieil anglais éðel, terme aussi utilisé pour la rune ōthalan).
Les spécificités du slovène
Ainsi le /č/ se prononcera /tch/, le /š/ sera /sh/ et le /ž/ sera /j/. De même le /h/ se prononcera comme le son /ch/ dans le mot "Loch" en anglais, même si rien ne l'indique dans l'orthographe.
Il s'agit habituellement de syllabes faibles ou de mots qui ne comportent pas d'accent tonique, comme, par exemple, des conjonctions. L'anglais britannique utilise souvent un schwa dans les mots qui se terminent par « er », tandis que l'anglais américain préfère prononcer ce dernier « r ».
Comment écrire le mot vu dans une phrase qui contient cette formule ? Que faut-il mettre à la fin : un e , un s ou rien du tout ? Dans la plupart des cas, on écrit j'ai vu sans rien au bout, et parfois j'ai vue avec un e et j'ai vus avec un s (ou les deux).
Pas de doute, on écrit toujours « qu'il ait » ou « qu'elle ait ». La forme conjuguée du verbe avoir « aie » existe, mais correspond ou bien au mode subjonctif à la première personne du singulier du subjonctif (« que j'aie »), ou bien au mode impératif à la deuxième personne du singulier (« aie ! »).
On distingue donc la vue, nom féminin qui prend un e final, et vu, sans e final, préposition qui équivaut à étant donné. Ici on pourrait dire : « Étant donné les circonstances, je ne partirai pas en vacances. », c'est donc vu sans e qu'il faut utiliser.
Au passé composé, on écrit je vous ai aimés ou je vous ai aimées, car le participe passé conjugué avec l'auxiliaire avoir s'accorde avec le COD (« vous », féminin ou masculin pluriel) lorsque celui-ci est placé avant le verbe.