On peut également répondre : ya fohi !, ou ya likéfi !, juste pour dire que tout va bien. Littéralement, c'est deux expressions, inspirées du Dioula et du Baoulé (ethnies de Côte d'voire) veulent dire : ya rien ! Comme pour dire : « Tout est OK ! » autrement dit : « Ça va ! ».
Le Sénoufo dit:" Fo gnin nann a kpaa man?"
Goualô ! bonjour en koulango, et... - Côte d'Ivoire Tourisme | Facebook.
Djandjou-là tu fais quoi ici ? (Coureur de jupons, prostitué(e)).
Les langues locales
Parmi les bété, baoulé, soninké, sénoufo, dan, agni, attié et nombreuses autres langues locales, le baoulé est la plus parlée, y compris par des Ivoiriens n'appartenant pas à cette ethnie.
yako — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Agni = Moh. Attié = Nancin.
À l'origine, en dioula, le mot mougou signifie « farine, poudre », mais il figure aussi dans une expression qui veut dire « faire l'amour » et c'est de là qu'il est passé en nouchi, avant de se répandre dans le français de plusieurs pays d'Afrique ainsi qu'en français de France.
Autour d'un poulet sauce ou d'un poisson braisé, d'alloco (bananes frites) et d'attiéké (semoule de manioc), tout le monde sirote des bières : la 66 (en référence au nombre de centilitres) est l'une des plus prisées, mais les grands buveurs s'arrachent la Drogba, du nom de la superstar du football ivoirienne, qui est ...
Les critères que l'on va regarder pour valider la mission sont : que les missions relèvent de la formation ModIA (modélisation en intelligence artificielle , voir le syllabus pour le contenu précis), et qu'elles tendent à donner des compétences ingénieur.
Mais losque /kɤ̍ ɾɤ̄/ détermine le nom /ju̍ / bébé ou enfant, le syntagme [jú kɤ̄ɾɤ̄] désigne plutôt un bébé ou un enfant potelet et plaisant voire un chérubin.
Le mot "Akwaba"
Cette expression est communément utilisée pour souhaiter la bienvenue et exprimer son hospitalité aux visiteurs. Au fil du temps, l'expression Akwaba se généralise et tout Ivoirien l'utilise désormais pour souhaiter chaleureusement à ses convives venus d'ailleurs la bonne arrivée.
La langue sénoufo (276 000 locuteurs) est une langue parle au nord le malinké communément appelé le dioula reste la langue la plus parle dans le pays après le français avec (6 000 000 locuteurs), tandis que le baoulé (300 000 locuteurs) et le bété (250 000 locuteurs) sont des langues parlées dans le centre et l ouest.
On peut les remplacer par d'autres: “En pleine forme!”, “Impeccable!”, “Nickel!”, etc. Retiens aussi cette autre expression familière qu'on entend souvent: “Ça roule!”, qui signifie que tout va bien. Dans le même genre, on peut dire “Je ne me plains pas.” ou “Tout va bien.”
Une traduction approximative en français serait « Je compatis ». On dit « yako » à un enfant quand il s'est fait mal en tombant par exemple, et qu'on veut le consoler. On dit « yako » à une amie quand il lui est arrivé un coup dur ou un grand malheur. On dit « yako » à une famille à la suite d'un décès.
Les citoyens de la Côte d'Ivoire devraient s'appeler "Ivoirois" pour les hommes et "Ivoireines" pour les femmes, selon un projet de loi déposé à l'Assemblée nationale.
L'attiéké est l'une des recettes les plus populaires en Côte d'Ivoire, et plus particulièrement à Abidjan. Il s'accompagne de poisson braisé ou de viande, de bananes plantain, de couscous et de manioc.
- Le foutou : le plat national. Deux versions : banane ou igname. Boules compactes avec une sauce délicieuse aux « graines » et servies avec du poisson ou de la viande. - L'aloko : grosses bananes coupées en tranches frites dans de l'huile.
Les Ivoiriens l'aiment pour sa simplicité et son goût, le croustillant du poisson frit associé au moelleux de l'attiéké, le gras de l'huile de palme et le sel du cube Maggi – il faut bien le reconnaître, le garba est le cauchemar des nutritionnistes.
La Côte d'Ivoire est un pays pluriconfessionnel, avec 42,9 % de musulmans, 33,9 % de chrétiens, toutes Églises confondues, et une proportion non négligeable de fidèles des religions traditionnelles ou « animistes » (RGPH, 2014). 72 % des non nationaux, représentant 24,2 % de la population résidente, sont musulmans.
Dans ce contexte, les femmes ivoiriennes sont confrontées à de nombreuses formes de violence physique. Une grande partie de la violence, comme la violence sexuelle ou la violence physique comme le fait de traîner, de donner des coups de pied, etc., est mise en œuvre par des partenaires intimes et des non-partenaires.
Nom commun
(Côte d'Ivoire) (Vulgaire) (Injurieux) Insulte utilisée envers quelqu'un que l'on méprise.
La Côte d'Ivoire est un pays classé parmi les pays à forte hétérogénéité linguistique et on dénombre une langue officielle, le français, et environ une soixantaine de langues locales dont les plus importantes sont le dioula, le baoulé, le sénoufo et le bété.
On parle de mots comme “brouteur” (un peu comme un arnaqueur), “s'enjailler” (s'amuser à fond), “boucantier” (un genre de fêtard) et plein d'autres encore. En Côte d'Ivoire, de la rue à la maison en passant par les bureaux, partout on parle nouchi.
Pour preuve, Les Sofas suivi de l'œil (1983) de Zadi Zaourou est un creuset d'expressions nouchi où l'écrivain n'hésite pas à employer les termes tels que « le gnon » pour désigner l'argent et « les balles » pour signifier le franc Cfa.