كلمة الكتاب المقدس في الواقع يأتي من اللاتينية، وهذا يعني أن الكتب.
L'Injil (en arabe : إنجيل) est un terme arabe qui traduit le grec εὐαγγέλιον / euangélion (qui a parallèlement donné le français « évangile » via le latin euangelium). Il désigne la révélation proclamée par Jésus de Nazareth au premier siècle de l'ère chrétienne.
La traduction en éthiopien fut effectuée à partir des années 500. À la même époque, on rencontre des textes bibliques traduits en géorgien. Dès le IXe siècle, la Bible est traduite en arabe.
Dîn (en arabe : دين, dīn), parfois francisé dine est un mot arabe sans équivalent en français bien que souvent traduit par « religion ».
De l'hébreu, on passa à l'araméen, puis au grec. Ce sont les trois langues que l'on trouve dans la Bible.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.
C'est pourquoi on considère que l'araméen était la langue de Jésus de Nazareth et de ses disciples : si les Évangiles, qui datent du I er siècle, sont rédigés en grec car ayant vocation à toucher des populations hellénophones, il leur arrive de citer le Christ en araméen.
Allah (Allāh, écrit الله) est le mot arabe qui désigne « Dieu », et signifie littéralement, « le Dieu » avec un article défini, faisant référence à un Dieu considéré par principe comme unique, le « dieu unique » des religions monothéistes.
L'islam est apparu dans la péninsule Arabique, territoire qui correspond à peu près à l'Arabie saoudite actuelle. Mohammed, né à la fin du VIe siècle après Jésus-Christ, à La Mecque, est caravanier pour le compte d'une riche veuve appelée Khadija.
26), le Coran est écrit en « langue arabe claire ». La tradition comprend et traduit ce terme mubīn par « clair » ou encore « pur ». À propos du premier terme, « clair », la racine byn du mot mubīn « renvoie au sens d'expliquer, de clarifier.
Ce que le Coran adopte de la Bible. Mais l'islam estime que le Coran se suffit à lui-même et qu'il est seul authentique ; il refuse de reconnaître comme saintes les Écritures juives et chrétiennes car la Torah et l'Évangile primitifs auraient été altérés, comme on le lit par exemple à la sourate 2 du Coran.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Dans l'Ancien Testament, 40 livres ont été écrits en hébreu, avec quelques passages en araméen. Ces deux langues, de même que l'arabe, ne s'écrivent qu'avec les consonnes.
La Bible chrétienne
La Bible hébraïque a été appelée Ancien ou Premier Testament (Première Alliance). Les chrétiens y ajoutent les 27 livres du Nouveau Testament qui relatent la Nouvelle Alliance apportée aux hommes par Jésus. Les catholiques et les orthodoxes ont retenu 46 livres pour l'Ancien Testament.
La Torah ou Loi (Le Pentateuque) : Bereshit (Genèse), Shemot (Exode), Vayiqra (Lévitique), Bamidbar (Nombres) et Devarim (Deutéronome).
La plus ancienne version arabe de la Bible, traduite à partir de la Septante, était celle de Hunayn ibn Ishaq (808-873). Rien, malheureusement, n'en a été conservé. La plus ancienne version connue est celle de Saadiah Gaon (882-942), un juif égyptien, chef (gaon) de l'école rabbinique de Babylone.
Le Coran est le livre sacré de l'islam et des musulmans. Il est composé des révélations faites par Dieu au prophète Mahomet, par l'intermédiaire de l'archange Gabriel, entre 612 et 632. Il est l'acte constitutif de l'islam et sa référence absolue.
Le nom d'Allah vient de al-Ilah, qui signifie le Dieu ; dès avant l'islam, il paraît avoir désigné le dieu suprême à La Mecque. Dans la pensée islamique, Allah est le maître du monde et de la vie, bienfaiteur et miséricordieux mais aussi juge qui rendra au jour du Jugement à chacun selon ses œuvres.
La religion en Arabie préislamique comprenait le polythéisme arabe indigène, les anciennes religions sémitiques, le christianisme, le judaïsme, le mandéisme et le zoroastrisme. Le polythéisme arabe, la forme dominante de religion dans l'Arabie préislamique, était basé sur la vénération des divinités et des esprits.
Le mot « Allah » est construit sur la contrac- tion en l'article Al et le mot ilâh, qui veut dire dieu avec un « d » minuscule, c'est-à-dire le genre dieu. Al-ilâh signifie donc « le dieu » et puis cette contraction a fait sauter le « i », par aphérèse, auraient dit les Grecs.
Wallah signifie ”par dieu” dans la langue arabe, il sous-entend qu'on jure en prenant Dieu à témoin. « Rien n'empêche un chrétien qui s'exprime dans une autre langue que l'arabe de dire “wallah”, poursuit Ghaleb Bencheikh.
«Les noms les plus aimés d'Allah»
«Il est vrai qu'Abdallah et Abd-Rahman sont les noms les plus aimés d'Allah.» Cette citation est tirée des Hadith, recueils de l'ensemble des traditions relevant des actes et des paroles de Mahomet et de ses compagnons.
Jésus parlait donc l'araméen dans la vie de tous les jours, et parce qu'il voulait être compris des foules qui venaient l'écouter, ses enseignements étaient donnés en araméen. Le texte des évangiles en porte d'ailleurs la trace.
S'il est communément admis que Jésus est un Juif galiléen dont la famille est originaire de Nazareth, le lieu et la date de sa naissance ne sont pas connus avec certitude et ne le seront probablement jamais, car les récits des Évangiles de l'enfance relèvent surtout de théologoumènes de la part des auteurs bibliques ...
Le nom « Dieu le Père » est donc considéré par les chrétiens non pas comme l'existence d'un Dieu différent des autres, mais comme l'une des personnes de Dieu. D'ailleurs, l'Évangile nomme Dieu le Père uniquement par « Père » ; c'est la théologie qui, dans un but de simplification, affirme « Dieu le Père ».