Merci Au Moyen Âge, merci signifiait “grâce, pitié” de là les expressions : Crier, demander merci – le chevalier vaincu reconnaissait sa défaite et implorait la pitié du vainqueur.
Jusqu'au XIIIe siècle, bonjour s'écrivait en deux mots, bon jour, et signifiait « jour favorable, temps heureux ». Par la suite, « bon » et « jour » se sont soudés en une formule de salutation. Pensez-y la prochaine fois que vous le lancerez à quelqu'un.
À cette époque, les gens du peuple étaient tous unilingues et parlaient l'un ou l'autre des nombreux dialectes alors en usage en France. Seuls les «lettrés» écrivaient en «latin d'Église» appelé alors le «latin des lettrés», aujourd'hui «latin ecclésiastique», et communiquaient entre eux par cette langue.
Au cours du Moyen Âge, le titre de monsieur (contraction de « monseigneur ») fait partie du lexique religieux, et est notamment utilisé pour référer à des saints : « Monsieur Saint-Jean ». Ce titre est également attribué au pape : « Monsieur Clément, souverain seigneur et gouverneur de l'Église ».
quo vadis. A PROPOS de l'étymologie : « Cette expression provient d'une ancienne coutume romaine qui avait pour but de demander « Comment allez-vous à la selle ? » car on considérait qu'aller régulièrement à la selle était un signe de bonne santé.
( X e siècle) de l'ancien français mercit (881), issu du latin mercēdem , accusatif de merces « salaire, prix, récompense », tardivement « faveur, grâce ». (Vers 980) merci (Vie de Saint Léger).
Beau est ici un terme d'affection qui, se disant très souvent dans le moyen âge quand on s'adressait à des personnes qu'on aimait, bele suer, bele amie, biaus dous fils, etc. s'est attaché, dans la langue nouvelle, aux termes de parenté par alliance.
Au lieu de vous incliner ou de faire une révérence, vous pourriez vous contenter d'un hochement de tête (traditionnellement pour les hommes) ou d'une révérence subtile en fléchissant brièvement les genoux (pour les femmes).
mais aussi morales (bravoure, vaillance, prouesse, courage, etc.).
Au Moyen Âge, on demandait «comment allez-vous?» à une personne lorsqu'on voulait lui demander… à quoi ressemblaient ses selles (son caca) du jour! À l'origine, l'expression était donc «comment allez-vous à la selle?».
Celle-ci serait originaire de la fin du moyen âge avec les débuts de la médecine grand public. A l'époque l'indicateur essentiel de la santé étaient les selles. La question « comment allez vous? » renvoyait directement à la consistance, l'odeur et autres qualificatifs de la défection de l'interlocuteur.
Le verbe "babouiner" relève du registre argotique mais n'est plus vraiment utilisé (registre désuet). Les verbes "becter", "becqueter", "béqueter", "bouffer", "croûter", "damer", "grailler", "jaffer", "mastiguer" (qui nous vient du provençal), "se morfaler" et "tortorer" relèvent du même registre argotique.
Sous le règne des rois Clovis, Charles Martel, Pépin le Bref et Charlemagne, le pays était connu comme le Royaume des Francs, ou, en latin, Francia (« France » conventionnellement écrit « Francie » en histoire mérovingienne et carolingienne).
Tu es dépourvue du fiel de toute infidélité, tu es plus douce que le lait et le miel, tu n'as aucune pareille parmi des milliers, je t'aime plus que n'importe qui. Toi seule est mon amour et mon désir, la douce fraîcheur de mon esprit, nulle joie pour moi là où tu n'es pas.
38Pour souhaiter la bienvenue ou saluer quelqu'un, on se lève et (ou) on s'incline devant lui, ce qui est une marque de respect, on se prosterne, signe de déférence, rarement on lui tend la main, on lui donne un baiser, par quoi on manifeste de l'amour, de l'affection ou de l'amitié.
langoier, v. n., agiter la langue comme pour essayer de parler ‖ parler ‖ v. a., faire parler.
Tu ne fuiras jamais devant l'ennemi. Tu combattras les infidèles avec acharnement. Tu rempliras tes devoirs féodaux, à condition qu'ils ne soient pas contraires à la loi divine. Tu ne mentiras jamais et tu seras fidèle à ta parole.
L'amour courtois n'est ni libertinage, ni passion brutale, il est presque une ascèse pour le chevalier, qui doit, pour mériter la femme qu'il aime, se soumettre entièrement à elle. La dame est suzeraine, le chevalier est son vassal.
En effet, pour devenir chevalier, un homme doit répondre à certaines exigences : fidélité à la parole donnée, défense des faibles, générosité envers tous et s'engager au respect d'un code de l'honneur. Ce code n'est pas réellement écrit, mais il est présent dans tous les esprits.
La courtoisie d'usage veut que l'on salue le Roi et les membres de la Famille Royale en leur serrant la main. Le titre traditionnellement utilisé pour s'adresser à Sa Majesté le Roi, lorsqu'on lui est présenté et dans la conversation, est « Sire ».
Pour les personnes jouissant du titre nobiliaire d' écuyer, chevalier, baron, vicomte, comte, marquis (classés en ordre croissant) et leurs épouses, il est conseillé de s'adresser à eux, de manière orale ou épistolaire, en usant tout simplement du qualificatif Monsieur et Madame.
Par écrit ou durant une conversation, le titre traditionnellement utilisé pour s'adresser : à un membre masculin de la Famille grand-ducale, que ce soit Son Altesse Royale le Grand-Duc, le Grand-Duc héritier ou un des Princes, est « Monseigneur » ou « Altesse Royale ».
Pour parler un langage plus soutenu, la syntaxe est aussi très importante. Voici quelques astuces pour s'améliorer sur ce point. – Inverser le sujet et le verbe. Dans un langage soutenu, on inverse le sujet et le verbe pour poser des questions.
Le terme "Moyen Âge" aurait été proposé pour la première fois par Flavio Biondo de Forli (1388-1463), historien et secrétaire apostolique à Rome, dans son ouvrage "Décades d'histoire depuis l'effondrement de l'Empire romain" dont la première publication eut lieu en 1483.