Dans la phrase «c'est moi qui fait la vaisselle» on note par exemple le pronom personnel «moi». Donc, la première personne du singulier. Pour être correct, il faudra alors écrire: «c'est moi qui fais la vaisselle».
Prenons la phrase "C'est moi qui ai appelé ce client". Ici, "qui" reprend le pronom personnel "moi", qui s'emploie à la place du pronom sujet "je". Par conséquent, le verbe avoir doit se conjuguer à la 1re personne du singulier du présent de l'indicatif, ce qui donne "ai".
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
On écrit « c'est » avec un -c quand... : On écrit « c'est » lorsqu'on peut remplacer par « cela est ». Il est alors suivi d'un groupe nominal, d'un pronom ou d'un adjectif qualificatif. Tout comme "ces" et "ses", « c'est » est utilisé pour montrer ou désigner quelque chose.
Le verbe s'accorde normalement avec son sujet, pour le trouver on pose la question « Qui est-ce qui a(s) raison ? » : toi. On accorde donc à la deuxième personne du singulier : C'est toi qui as raison.
On écrit : c'est toi qui vois. On accorde le verbe « voir » à la deuxième personne du singulier (« vois »), parce que le sujet de la phrase, « toi » (un pronom tonique), est la deuxième personne du singulier (il remplace « tu »).
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
- « c'est » remplace « cela est, ceci est ». Il s'utilise lorsqu'on annonce ou présente quelque chose. Exemple : C'est bien dommage. (Cela est bien dommage.)
Quand on écrit "s'est" devant un verbe, on conjugue un verbe pronominal à un temps composé. ➡️ On peut alors remplacer s' par me, te ou m', t'. Exemple : Je me suis cogné, tu t'es cogné, l'enfant s'est cogné. ➡️ On écrit "c'est", quand on peut le remplacer par "cela".
➡️ CES est un adjectif démonstratif (pluriel de : "ce", "cet", "cette"). ➡️ SES est un adjectif possessif (pluriel de "son", "sa"). On peut dire : les siens / les siennes. ➡️ C'EST (verbe être) contraction de "CELA EST".
On écrit « s'est » devant un verbe.
Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose. « C'est » et « s'est » se prononcent de la même manière, mais on les utilise différemment car chacun a sa propre signification. Ce sont donc des homophones.
La réponse simple. On écrit toujours « ça s'est bien passé ».
Dans notre phrase, on a le verbe se passer (comme dans les phrases voilà comment ça se passe , qu'est-ce qui se passe ? ), donc accompagné du mot se . Quand on utilise se passer avec l'auxiliaire être , se devient s' et on écrit s'est passé .
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait » « C'est moi qui fais » ou « c'est moi qui fait » ? On écrit « c'est moi qui fais » avec un « s » à la fin du verbe et non pas « t » puisque celui-ci s'accorde avec l'antécédent du pronom relatif « qui ».
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Le mot « c'est » : -il peut être remplacé par « ceci est ». C'est de la bouillie. Ceci est de la bouillie.
5. C'est, ce devait être, ce pouvait être, etc., s'emploient pour désigner quelqu'un, quelque chose, pour mettre un mot en relief : Tout cela, c'est faux. C'est nous les gagnants.
« C'est » + adjectif masculin ou c'est + adverbe.
Vous devez accorder c'est, quand il est suivi d'un nom ou d'un pronom au pluriel : Ce sont Paul et Marie. Ce sont eux. quand le verbe est suivi de nous ou vous : C'est nous qui avons raison.
C'EST-À-DIRE (QUE), loc. adv. ou conj. Placée en construction d'apposition ou d'incise dans un énoncé, après un mot ou une séquence de mots sur le sens desquels elle introduit une information complémentaire ou rectificative (restrictive).
Méfiance, par conséquent, quand « qui » représente un mot qui relève de la 1re ou de la 2e personne du singulier : n'écrivez pas « moi qui va, toi qui va », mais « moi qui vais, toi qui vas » !
Cette expression est un raccourci de "un de ces quatre matins", apparue dans la seconde moitié du XIXe siècle. Elle désigne un temps à priori court, mais indéterminé, et avec plus ou moins de certitude.
Les mots ces, ses, c'est et sait se prononcent pareil mais n'ont pas la même orthographe, et surtout ils n'ont pas le même sens. C'est est utilisé devant un nom, un pronom ou un adjectif pour présenter, indiquer, montrer (contraction de cela + est). C'est une belle voiture !