La bonne réponse est évidemment « C'est parti ! ». Le participe passé employé avec l'auxiliaire être s'accorde toujours avec le sujet. Dans ce cas-ci, le sujet est le pronom c' (cela), un pronom démonstratif masculin singulier.
PARTI se prononce comme PARTIE. En revanche, PARTI est un nom masculin alors que PARTIE est un nom féminin.
On écrit « faire partie » ou « faire parti » ? Règle : On écrit toujours « faire partie ». En effet, dans cette expression française, on est une partie de quelque chose (faire partie d'un groupe, faire partie d'un ensemble etc.). Que le sujet soit masculin ou féminin, on écrit toujours « partie » avec un -e.
Sa forme de base est parti , mais il peut aussi s'accorder au féminin et au pluriel et donc recevoir un e et/ou un s . Ainsi, on écrit je suis parti ou je suis partie , selon que c'est un homme ou une femme qui dit je , ils sont partis en accordant au masculin pluriel et elles sont parties au féminin pluriel.
1. Qui ne prend pas parti. Synonyme : désintéressé, impartial, indifférent, objectif.
Partie ou parti ? Oui, on écrit elle est partie avec le mot partie au féminin.
Le sujet du verbe, c'est le mot tu , qui correspond à la personne à qui on s'adresse. Si c'est un homme, parti s'accorde au masculin et on écrit tu es parti . Si c'est une femme, on le met au féminin : tu es partie , avec un e à la fin.
Le participe passé du verbe partir est parti , avec un i à la fin. Quand on conjugue ce verbe aux temps composés, par exemple au passé composé, parti peut s'accorder et recevoir un e de féminin, un s de pluriel, ou les deux.
Il s'agit en fait de l'expression faire partie (de quelque chose) , qui veut dire « être un élément constitutif, être un membre (de quelque chose) ». Elle est fabriquée à partir du nom féminin une partie (« un morceau, une portion, une certaine quantité »).
On n'ajoute pas non plus de e de féminin ou de s de pluriel à la fin, car parti reste au masculin singulier. Les orthographes il est partie et il est partis sont incorrectes.
Utiliser quelque chose à son avantage.
En totalité ou en partie, sans que cela soit défini précisément.
On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu.
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
L'imparfait est principalement le temps de l'inachevé, de l'action qui dure dans le passé. Ses terminaisons sont les suivantes : ais, ais, ait, ions, iez, aient. Quand utiliser l'imparfait ? L'imparfait de l'indicatif présente une action réelle qui dure dans le passé.
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée.
Le plus-que-parfait est un temps du passé. Il précise qu'une action s'est déroulée avant une autre qui a déjà eu lieu dans le passé. Cette action peut être exprimée avec un passé composé, un imparfait ou un passé simple.
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.