Dis-le-moi ou dis-moi-le? se demande une lectrice, Marie-France. Il faut employer «dis-le-moi» (dans l'ordre: verbe, complément d'objet direct, complément d'objet indirect) en n'omettant pas les traits d'union entre chaque mot. En effet, on met deux traits d'union quand l'impératif précède deux pronoms.
La règle est simple : on écrit dis-moi avec un s lorsque l'on utilise le verbe "dire" à l'impératif présent de la deuxième personne du pluriel.
– lorsqu'il y a un seul pronom complément conjoint, celui-ci, à la forme affirmative, suit directement l'impératif auquel il est uni par un trait d'union : dis-le, mange-les.
On place un trait d'union entre le verbe et les pronoms « je, moi, tu, toi, nous, vous, il, elle, ils, elles, le, la, les, lui, leur, en, y, ce, on », lorsqu'ils sont le sujet ou le complément du verbe. Exemples : Dites-moi ce que vous en pensez.
Il faut écrire : Dites-moi combien je vous dois, je vous réglerai en espèces. Faux : Il faut écrire : Si vous connaissez le nom de la personne qui vous a appelé, dites-le-moi.
Pour ce verbe, les terminaisons du présent sont -s , -s , -t : je dis et tu dis avec -s , il dit avec -t . Dans tu me dis , le mot me est intercalé entre le sujet et le verbe.
On écrit moi, sans s, le pronom de la 1re personne du singulier (cf. toi, soi). C'est à moi de répondre. écris-moi ce que tu en penses.
Il reste à ne pas confondre tous ces mots qui se prononcent de la même façon. On n'écrit ni je lui ai dis , ni je lui est dit .
« Profite-en bien » ou « profites-en bien » : comment bien l'écrire ? On écrit toujours profites-en bien avec un « s » et un tiret. Profite-en bien !
« Dis », ça vient du verbe dire ; donc, je dis quelque chose, ça veut tout simplement dire que vous utilisez des mots pour faire passer une idée. Et « donc », c'est un mot de liaison qu'on utilise normalement pour donner l'idée d'une conséquence.
Retournes-y dès que possible.
Nous nous amusons => Amusons-nous! Vous vous amusez => Amusez-vous! Le te ou t' est remplacé par toi: Tu t'amuses bien => Amuse-toi bien ... "amusés" c'est un verbe employé sous la forme pronominale comme ...
On écrit, par exemple : « J'ai fait des gâteaux. » On reconnaît l'auxiliaire avoir sous la forme « ai », « fait » reste bien invariable. Mais quand le complément d'objet direct (COD) est placé avant le verbe, le participe passé s'accorde avec ce COD.
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai fais » ? On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ».
Le participe passé du verbe « dire » est : « dit ». Il faut apprendre cette forme par cœur. La confusion vient du fait que « j'ai dit » est la première personne du singulier du verbe dire au passé composé.
On écrit toujours : « si j'avais su ». Exemples : Si j'avais su, je ne serais pas venue. Je me serais levé plus tôt si j'avais su que c'était aussi loin.
« Mois » orthographié avec un « s » final désigne l'une des douze parties de l'année, dont chacun contient trente ou trente un jours consécutifs, à l'exception du mois de février. Il est donc considéré comme un marqueur de temps.
On écrit le mois avec une minuscule initiale, sans l'abréger : Le 7 janvier 2016.
Elle devient de manière plus insistante : "Moi, je le dis". Elle en arrive à la formule la plus forte : "C'est MOI qui le dis". Donc, si "c'est moi qui le dis", vous devez en convenir sans discussion possible.
C'est le cas avec les pronoms « moi » et « toi », qui s'élident devant les pronoms « en » et « y ». Les voyelles de ces pronoms sont remplacées par une apostrophe : « Donne-m'en » et non « donne-moi s'en », avec un « s » ou un « z » qui sortirait d'on ne sait où.
Il faut écrire : Va-t'en dès que possible si tu ne veux pas rater le bus. « Va » n'a pas de sujet exprimé, signe qu'il s'agit de l'impératif, et le « t » présent ici est en fait le pronom « toi » : dans ce cas-là, il est suivi d'une apostrophe. On écrit « va-t'en » et non « va-t-en ».
Un trait d'union lie le verbe au pronom en ou y. Parles‑en à tes collègues. Manges‑en autant que tu en veux. Aies‑en la certitude.
On peut aussi l'utiliser en ajoutant le verbe “passer” à l'impératif: Passe une bonne nuit! Passez une bonne nuit, les enfants!