Suivi d'un infinitif, le participe passé fait reste invariable. Exemple : Je les ai fait rechercher en raison des soupçons qu'ils ont fait naître.
Il faut écrire : Si tu envisages d'être absent, aie la courtoisie de prévenir tes collègues. « Aies » n'a pas de sujet exprimé, signe qu'il s'agit de l'impératif. Or, à la 2e personne du singulier de l'impératif, « avoir » fait « aie » et non « aies ». Phrase correcte (il s'agit du subjonctif).
Le participe passé employé avec « avoir » s'accorde avec le COD placé avant (« je les ai trouvées délicieuses »).
Le participe passé conjugué avec "avoir" et suivi d'un infinitif, s'accorde si l'objet direct qui précède se rapporte au participe. Je les ai vus manger. Si l'objet direct se rapporte à l'infinitif le participe passé reste invariable. Les élèves que j'ai envoyé chercher.
Voici des constructions dans lesquelles on fait cet accord : je vous les ai envoyés ou envoyées (accord avec les , qui peut être masculin ou féminin), la demande que je vous ai envoyée (accord avec demande ), les photos que je vous ai envoyées (accord avec photos ), les fichiers que je vous ai envoyés (accord avec ...
Placé devant un verbe, "les" est un pronom personnel. Il remplace un nom au pluriel. Exemple : Elle les mange. "L'ai" est composé du pronom personnel "le" élidé et de la forme conjuguée "ai", auxiliaire avoir à la 1ère personne du présent de l'indicatif.
La règle est la suivante : quand un participe passé est employé avec l'auxiliaire avoir, il ne s'accorde pas. On écrit, par exemple : « J'ai fait des gâteaux. » On reconnaît l'auxiliaire avoir sous la forme « ai », « fait » reste bien invariable.
Comment écrire le mot vu dans une phrase qui contient cette formule ? Que faut-il mettre à la fin : un e , un s ou rien du tout ? Dans la plupart des cas, on écrit j'ai vu sans rien au bout, et parfois j'ai vue avec un e et j'ai vus avec un s (ou les deux).
Mais comment savoir si l'on a affaire à un participe ou un adjectif ? Le participe garde une valeur verbale ; il peut avoir des compléments (complément d'objet, compléments circonstanciels...) ; en revanche, il n'est pas gradable. L'adjectif n'a plus de compléments ; en revanche il est gradable.
Le complément d'objet direct (COD) est le terme sur lequel le verbe agit directement. Il répond à la question "qui ?" ou "quoi ?". Exemple : "J'ai trouvé ce livre intéressant. Je l'ai acheté hier."
C'est la même chose quand on écrit les fleurs que j'ai cueillies , les fruits que j'ai mangés et autres formules avec le/la/les + un nom + que j'ai + un participe passé : ce participe passé s'accorde avec le nom qui précède.
Eh bien, la réponse est simple: puisqu'il y a une idée de mouvement, de déplacement, il vaut mieux employer le verbe ALLER et dire: Je suis allé à Paris. Bien sûr, il faudra accorder le participe passé au féminin si le sujet est une femme: Je suis allée à Paris.
La forme "aie" correspond à : la première personne du singulier (je) du subjonctif présent (que j'aie). Exemple : "Il faut que j'aie mon examen, cette fois-ci !" ; la deuxième personne du singulier (tu) de l'impératif présent : "N'aie pas peur, aie confiance en toi."
J'espère que tu vas bien. Aussi, j'espère que tu ailles bien. Les deux sont correctes.
Cette formule s'emploie principalement dans des formules comme je suis content que cela vous ait plu , nous sommes ravies que ça vous ait plu . Dans ces phrases, la conjugaison ait avec un t correspond au verbe avoir conjugué au subjonctif présent.
Il faut écrire : Quelle que soit la raison de son retard, nous ne pouvons l'accepter. Le terme qui fait problème est, dans notre phrase, suivi d'un verbe (« soit »). C'est là le signe qu'il doit s'écrire en deux mots.
La virgule permet de séparer des groupes de mots, des pronoms, des subordonnées ou des phrases, qui sont coordonnés. En effet, on place généralement une virgule avant les coordonnants mais, car, or, puis, c'est-à-dire, autrement dit, soit, voire, à savoir, etc.
Je te fais de gros bisous, à bientôt.
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai fais » ? On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ».
« Pleins de bisous » : comment ne plus se tromper
Synonyme de beaucoup de, cette expression ne prend jamais de « s » : on écrira donc l'expression plein de bisous ou encore plein de gros bisous. Je t'envoie plein de gros bisous ! = Je t'envoie beaucoup de gros bisous !
On mettra donc un « e » à la fin de « ai » : aie. Et pour vérifier, tu te dis, si c'était la première personne du pluriel, est-ce que je dirais « il faut que nous avons une bonne note » ou « il faut que nous ayons une bonne note » ? À l'oreille, on entend qu'il faut dire « il faut que nous ayons une bonne note ».
Pour vérifier, on peut mettre la phrase à l'imparfait. Notez que le verbe « ai » écrit « a, i » a toujours pour sujet le pronom « j' »… ou « je ». Dans la seconde phrase, le verbe se prononce également [e] mais s'écrit « e, s, t ».
Ne confondons pas : la, les, pronom COD PRONOMS COD + verbe. Tu la manges. Il la mange.