«Pense à moi».
L'impératif se conjugue de manière très simple
Parce que ces verbes, penser, profiter, sont à l'impératif. L'impératif, ce mode des ordres, injonctions, conseils (mouche ton nez, fais un bisou à Mémé, pense à moi…)
Je pense à mon travail.
penses-tu — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Avec un s à la fin du verbe ou non ? Écrit-on penses ou pense ? La bonne forme est tu penses , avec un s .
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
Je crois vraiment que (foi) Je suis persuadé que (conviction)
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Pour exprimer son opinion, on utilise : Les verbes croire que, penser que, trouver que, être sûr(e) que, être certain (que), douter que, sembler que, etc. Je crois qu'il va pleuvoir demain. Il me semble qu'il va faire beau cet après-midi.
Si l'on peut remplacer le « ce/se » par « me » ou « te », il faut écrire « se » (ou « s' »). Sinon, il faut écrire « ce » (ou « c' »), qu'on peut souvent remplacer par « cela » : Il s'est donné des objectifs.
Les verbes conjugués à la 2e personne du singulier (TU) se terminent par -s à l'indicatif (présent, futur, imparfait, etc.). Tu manges, tu finiras, tu vas, tu es, tu as, tu dormais, tu viens, tu prends, tu offres, etc.
Sur ce même principe, on écrit donne-m'en. C'est cette forme qu'il faut employer, même si la tentation peut être forte d'utiliser, par analogie avec donne-nous-en, les formes donne-moi-s-en ou donnes-en-moi.
La pensée représente donc une forme de communication entre les âmes, lorsque les corps sont éloignés. Autrement dit, il s'agit d'une énergie que deux personnes qui s'aiment, se renvoient l'une à l'autre. Ainsi, quand vous pensez beaucoup à quelqu'un, il est fort probable que lui aussi pense à vous.
Je voulais vous remercier pour votre pensée et votre attention. Je suis touché par votre geste et je vous suis très reconnaissant. Votre pensée m'a été d'un grand réconfort et j'ai apprécié votre message de soutien. Je suis heureux que vous ayez pris le temps de penser à moi et de m'envoyer cette jolie carte.
Merci d'avoir pensé à moi. Remarques : "avoir pensé" est un infinitif passé construit avec l'auxiliaire avoir + participe passé d'où la terminaison du verbe penser. Ta phrase simple, introduite par "Comme", est exclamative, elle doit donc se terminer par un point d'exclamation.
On écrit toujours « quant à » avec un t final, lorsqu'il est suivi de : à, au, aux. Il signifie : en ce qui concerne, pour ce qui est de, au sujet de. Dans cette situation, le t final se prononce systématiquement à l'oral. De plus, « quand à » n'est pas une formulation courante dans la langue française.
Les homophones quand et quant. La conjonction quand, qui signifie « lorsque », s'écrit avec un d à la finale; la forme quant, que l'on ne trouve que dans la préposition composée quant à, au sens de « en ce qui concerne », et dans le nom quant‑à‑soi, s'écrit avec un t à la finale.
QUAND -> Introduction d'une question sur une durée/un moment/en rapport avec le temps, ou pour introduire une subordonnée de temps. Exemples : Quand va-t-elle sortir son prochain album ? - Il sait que je dors quand je ne lui réponds plus.
NARCISSISTE : Définition de NARCISSISTE.
méditer, raisonner, réfléchir. – Familier : cogiter, faire marcher sa matière grise, phosphorer, se pressurer le cerveau, se pressurer les méninges, se triturer la cervelle, se triturer les méninges. – Littéraire : songer, spéculer.
Être doté d'un esprit pénétrant et réfléchi, qui comprend rapidement et avec clairvoyance. Exemple : Sherlock Holmes était très perspicace. Étymologie : du latin "perspicax" lui même dérivé de "perspicere" qui signifie : voir à travers, percevoir.
– Mais pourquoi donc écrit-on à l'impératif « mange » et tous ces verbes, sans -s final ? P. - Cela s'explique par l'histoire de la langue. En latin, l'impératif présent de tous les verbes ne prenait pas de -s final : « ama » (aime), « lege » (lis), « audi » (écoute), ...
- Va te coucher! - Allons-y!
On lie le tout par un trait d'union. On écrit donc « profite bien » et « profites-en bien ». Attention – cas particulier du cas particulier, c'est le comble ! – si les pronoms « en » ou « y » dépendent d'un infinitif et non directement du verbe à l'impératif, il n'y a ni « s » ni trait d'union.