La tradition veut qu'on emploie « deuxième » lorsque l'énumération peut aller au-delà de deux, et « second » lorsque l'énumération s'arrête à deux. Cette distinction n'est pas toujours observée et certains écrivent indifféremment « deuxième » ou « second ».
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
On peut, par souci de précision et d'élégance, réserver l'emploi de second aux énoncés où l'on ne considère que deux éléments, et n'employer deuxième que lorsque l'énumération va au-delà de deux. Cette distinction n'est pas obligatoire.
Le mot second est issu du latin classique secundus, prononcé avec le son "C", qui signifie "suivant". Le français descend en grande partie du latin, comme chacun le sait, mais les mots ont bien sûr été déformés, se sont modifiés progressivement, mijotés aux diverses sauces gauloises locales.
Ces abréviations sont parfois allongées, sans doute par volonté de bien faire et par souci de lisibilité, plus qu'il n'est nécessaire. Rappelons donc que premier et première s'abrègent en 1er et 1re, que second et seconde s'abrègent en 2d et 2de, et que toutes les autres formes s'abrègent en e : 3e, 5e, 100e, etc.
En revanche, tous les autres numéros s'abrègent toujours en «e», sans rien d'autre derrière. Exemple: «3e», «4e», «5e», «100e», etc. Il en est de même pour les régimes politiques. L'usage est d'écrire:la «Ire»et la «IIde» République, et non «Ière» «IInde».
La tradition veut qu'on emploie « deuxième » lorsque l'énumération peut aller au-delà de deux, et « second » lorsque l'énumération s'arrête à deux. Cette distinction n'est pas toujours observée et certains écrivent indifféremment « deuxième » ou « second ». Même l'Académie française la juge infondée.
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
On met la majuscule au mot guerre, de même qu'à l'adjectif qui précède, uniquement lorsqu'il entre dans le nom d'un conflit mondial, et que la date n'est pas indiquée : la Première Guerre mondiale. la Grande Guerre. la Seconde Guerre mondiale.
Deuxième s'emploie lorsque l'énumération peut aller au-delà de deux ; alors que second s'emploie lorsqu'il n'y a pas de troisième. C'est donc le dernier. C'est pour cela qu'on parle de la Seconde Guerre mondiale parce qu'on espère qu il n'y en aura pas de troisième !
La lettre t se prononce t sauf dans certains cas. Le digramme th e tle digramme tz sont observés dans des pages distinctes. Cela se produit devant un i suivi d'une voyelle où t note généralement [s] : initiation, confidentiel, ambitieux, inertie. Il s'agit du t interne et non du t initial (tien, tienne).
La lettre 'c' se prononce comme un 's' devant les voyelles 'e, i, y' et les doublons 'ae, oe', mais comme un 'k' devant les voyelles 'a, o, u'. Lorsque la lettre 'c' doit se prononcer comme 's' devant ces voyelles 'a, o, u', il est nécessaire de placer une cédille sous la lettre 'c'.
Des exemples
Exemple : prendre, il prend, avec un d, prend-il, avec une liaison prononcée [t], bien que prend s'écrive avec un d. Autre exemple : entendre, elle entend, entend-elle. C'est pour cette raison qu'on n'ajoute pas de t entre deux traits d'union comme dans y a-t-il, neige-t-il. Le d prononcé [t] suffit !
La seconde est la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyperfins de l'état fondamental de l'atome de césium 133, la définition de la seconde, fondée sur une propriété de la matière, relève désormais du domaine de la physique.
1. Qui vient après le premier dans une succession, un ensemble ordonné, une classification : Le second volume paraîtra dans six mois.
Mais on notera toutefois que si le pluriel a une forme phonétique particulière, le singulier est choisi sans hésitation. Personnes ayant répondu : Tony le 9 février 2019. Donc, les 1re, 2e, et 3e années, s'il s'agit de durées.
Pour savoir quand mettre le verbe à l'infinitif dans une phrase, il faut retenir ces deux petites règles : Quand deux verbes se suivent, le second se met à l'infinitif. Exemple : je vais partir. Le verbe se met à l'infinitif après les prépositions « de », « à », « pour » et « sans ». Exemple : je parle sans mentir.
Un adjectif de couleur utilisé seul s'accorde avec le nom qu'il qualifie. Si l'adjectif est composé il reste invariable.
On n'écrit pas « 1ere » ou « 1ère » même si l'on rencontre souvent ces formes fautives sur internet (ou même dans la traduction du titre d'un célèbre film). En français, l'abréviation de l'adjectif ordinal féminin « première » est 1re (un adjectif ordinal indique un ordre, un rang, dans un ensemble).