Dans le cimetière choisi, le défunt est inhumé dans une concession funéraire. En l'absence de concession, il est inhumé gratuitement en terrain communal, dans un emplacement individuel. La sépulture est aménagée selon les souhaits du défunt ou de ses proches et dans le respect du règlement du cimetière communal.
Lors d'obsèques musulmanes, le défunt doit être inhumé. Pour un enterrement musulman, le passage à la mosquée n'est pas obligatoire. La cérémonie religieuse est organisée selon les volontés du défunt et de sa famille. Un dernier hommage est rendu à l'être cher avant le départ pour le cimetière.
Mise en bière et recueillement de la famille avant la fermeture du cercueil ; Fermeture du cercueil par les pompes funèbres puis levée du corps ; Convoi mortuaire vers le lieu de cérémonie ; Arrivée du cercueil et transport jusqu'au lieu d'inhumation par les porteurs.
L'ensemble des participants sont invités à suivre le convoi jusqu'au cimetière ou au crématorium. Les compositions florales sont emmenées par le personnel funéraire dans le corbillard. Un dernier geste d'adieu peut être rendu au défunt au cimetière ou au crématorium.
Au domicile du défunt
La famille peut choisir de garder le corps du défunt à son domicile ou chez un proche, pour se recueillir et lui rendre hommage jusqu'au jour de l'inhumation ou de la crémation. La veillée du corps à domicile est tout à fait autorisée.
Le lieu et l'organisation des obsèques sont déterminés par la personne ayant qualité à pourvoir aux funérailles du défunt : conjoint, parents, enfants majeurs, frères et sœurs, etc. Il est préférable d'obtenir, dans tous les cas, un consensus familial.
Dans le cimetière choisi, le défunt est inhumé dans une concession funéraire. En l'absence de concession, il est inhumé gratuitement en terrain communal, dans un emplacement individuel. La sépulture est aménagée selon les souhaits du défunt ou de ses proches et dans le respect du règlement du cimetière communal.
Sans un enterrement qui reconnaît la mort de nos proches, les défunts peuvent trop facilement devenir des fantômes psychologiques. Les funérailles sont une transition pour le défunt de la vie à la mort, et nous aident sur la voie de l'acceptation de la mort d'un être cher.
Ce délai de 3 jours permet également à chacun de mieux préparer le deuil, en allant se recueillir auprès du défunt, en saluant sa dépouille ou en allumant une bougie en son honneur. Même si vous ne souhaitez pas vous rendre au chevet de l'être cher disparu, ce délai est nécessaire pour prendre conscience de sa perte.
Aucune invitation officielle n'est envoyée pour des funérailles, ce qui peut être parfois difficile de savoir si vous devez être présent ou non. En règle générale, si vous voulez assister aux obsèques, vous pouvez y aller car elles sont ouvertes à tout le monde.
Quand présenter ses condoléances à un musulman ? Dans la religion musulmane, le deuil dure 3 jours. Pendant ces 3 jours, des prières sont récitées pour accompagner le défunt et c'est également pendant cette période que la famille reçoit les condoléances de la part de ses proches et des proches du défunt.
Quel est le délai légal maximum entre le décès et l'enterrement ? Selon la législation funéraire, l'organisation complète des obsèques doit avoir lieu au plus tard dans les 6 jours ouvrables suivant le décès.
Quelles sont les obligations de la mairie ? Si la famille du défunt n'a pas des ressources suffisantes, la commune du lieu de décès doit prendre en charge les frais d'obsèques. Dans ce cas, c'est la mairie qui choisit l'organisme de pompes funèbres.
Les premières sépultures reconnues par les chercheurs appartiennent aux populations « moustériennes » du Paléolithique moyen : Homo sapiens et Néandertaliens enterrent leurs morts, au moins en certaines occasions, sur l'ensemble du pourtour nord et est de la Méditerranée.
Il y a environ 100 000 ans, Homo sapiens (l'homme moderne) et Homo Neanderthalensis (l'homme de Neandertal) enterraient déjà leurs morts. En témoignent les premières traces d'inhumation retrouvées par les archéologues au Proche-Orient (en Israël et en Égypte).
La tombe de Jacques-Isaac Barbier, près de Thymlaurier. L'une des tombes les plus originales à visiter dans le Civraisien est la tombe de Jacques-Isaac Barbier, dont l'histoire est… à dormir debout.
L'inhumation, souvent appelée enterrement, consiste à déposer le cercueil d'un défunt au cimetière. L'inhumation peut aussi concerner les cendres du défunt : il s'agit alors d'inhumer une urne cinéraire dans un cimetière. L'inhumation en terrain privé est également possible sur autorisation préfectorale.
– Littéraire : ensevelir. Contraire : déterrer, exhumer.
La tombe en pleine terre
Ce choix est tout à fait envisageable. La loi ne l'interdit pas, pourvu qu'il n'aille pas à l'encontre des directives du cimetière en termes de sécurité et d'hygiène. On ne creusera pas ce type de tombe dans une surface où pullulent les infiltrations par exemple.
Si vous avez des souhaits sur la manière dont vos obsèques doivent être organisées (exemples : cérémonie civile ou religieuse, lieu d'enterrement, inhumation ou crémation), il est essentiel d'en parler à vos proches. Ce sont les membres de votre famille qui auront la charge, le moment venu, de respecter vos décisions.
Lors d'une cérémonie civile, c'est la famille décide de ce qui se passe et dans quel ordre. Pour une cérémonie religieuse en revanche, c'est le pasteur ou le prêtre qui définit cet ordre, mais la famille est évidemment consultée pour le (ou les) moment(s) consacré(s) à un discours d'adieu.
1er conseil : contacter un proche en commun
Dans un premier temps, vous pourrez prendre contact avec un de ses proches (un ami, un membre de sa famille) ou une personne de votre entourage que vous avez en commun et vous renseigner sur la date et le lieu de la cérémonie.
Une fois la personne décédée, le corps se transformera. Ces transformations peuvent être pénibles si l'on ne s'y attend pas, mais rassurez-vous, elles font partie du cours naturel des choses. Puisque les muscles du corps sont détendus, il se peut que le corps du défunt expulse des selles, de l'urine ou de la salive.