Plusieurs conditions doivent être remplies pour qu'il soit valide : tout d'abord, les futurs époux doivent exprimer leur volonté de se marier sans aucune contrainte. Ensuite, au moins deux témoins musulmans majeurs doivent être présents lors de la conclusion du contrat.
Pour que le mariage religieux musulman soit valide, il faut suivre 4 règles : consentement, présence du tuteur, présence de témoins, et présence de la dot de mariage. De nombreux hadiths de mariage (recueil d'actes et de paroles de Mahomet et ses compagnons) encadrent les règles du mariage halal.
Q : Comment on fait ? R : Il suffit d'être la femme, l'homme concerné, un représentant de la femme : son père, son frère ou son oncle, un représentant du mec aussi, des témoins et voilà, ils se marient devant Dieu, devant l'imam. Il dit : « Est-ce que tout le monde est d'accord ? » et voilà, tout le monde est d'accord.
Qu'elle soit mineur ou majeure, une femme qui désire se marier pour la première fois doit obtenir l'accord de son tuteur (wali), ce dernier devant forcément être musulman. Si le tuteur refuse ce mariage, la jeune femme pourra alors s'aider d'un juge pour pouvoir se marier.
1200€ en moyenne pour l'alliance de la mariée. Sinon entre 100 à 600€ pour la moyenne basse. Quant au traiteur hallal, comptez entre 25€ (moy. pour 500 invités), 30€ (pour 200 à 300 invités) et 45€ (100 invités) Au mieux, 20 à 100€ par personne ou le restaurant de 40 à 150€ par personne.
Les couples musulmans doivent se marier civilement pour que leur union soit reconnue par la loi française.
Le mariage religieux est appelé Hlel, Nikah ou Fatiha suivant le pays d'origine. Il s'agit d'un contrat moral entre les futurs époux. Le mariage religieux n'est pas officiel, il faudra donc un mariage civil pour officialiser l'union. Pour faire un mariage religieux, il faut avoir le consentement des deux futurs mariés.
Ils privilégiaient plutôt les mariages en milieu de semaine, généralement le mardi ou le jeudi. Jours et mois saints des musulmanes : Pour la communauté musulmane, le vendredi est le jour saint de la prière, ce qui en faisait un choix populaire pour les mariages.
Le mariage en Islam est une institution très importante et sacrée. Le Coran indique clairement que le marié doit payer une dot et les dépenses liées à la célébration du mariage. Les familles des deux parties peuvent contribuer à ces dépenses, mais le marié est le principal responsable.
Dans un autre hadith rapporté par tous les auteurs des Sunân et qualifié d'authentique par al Albâni, le Prophète ( ) a dit : «Toute femme qui se marie sans la permission de son tuteur matrimonial, son mariage est nul, son mariage est nul, son mariage est nul.» Il n'est donc pas permis à la femme de se marier sans la ...
Enfreindre ce qui est du domaine du licite relève du registre de la « zina » terme que l'on traduit généralement en français par « fornication » et qui correspond au langage de la dogmatique chrétienne qui désigne ainsi les relations entre des personnes non mariées et non liées par un vœu religieux.
La masturbation, le fait de se rincer l'œil, les fantasmes et toute autre façon non-naturelle d'assouvir le désir sexuel ne sont pas non plus tolérés. Toutefois, certains oulémas considèrent que ces façons de se procurer du plaisir soi-même sont un moindre mal par rapport à la fornication.
oui tout est interdit haram avant le mariage légal .
Ainsi, dans un registre un peu argotique, hlel désigne désigne une fille à marier, une fille respectable, qui préserve son honneur et celui de sa famille : elle est studieuse et sérieuse, chaste, elle ne sort pas le soir, elle ne fréquente pas de garçons.
« Qu'Allah te bénisse, qu'il mette la bénédiction sur toi et qu'il vous rassemble tous les deux dans le bien.». En phonétique; Baraka Allahou Laka Wa Baraka 'Alayka Wa Jama'a Baynakouma Fi Kheyr!
Sourate Ar-Rum (Les Romains), Verset 21 :
"Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l'affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent."
Qui paie quoi - la famille du marié.
Comme pour la mariée, la famille de l'époux prend en charge les frais pour sa tenue et celle des témoins.
Traditionnellement, c'est la famille de la mariée qui prend en charge les frais du mariage, la famille du marié versant la dot et offrant de nombreux cadeaux. Aujourd'hui, les familles ont tendance à se partager les frais, chacune se chargeant des tenues de leur enfant.
Même si la tradition insiste pour que ce soit le marié qui paie les bagues de mariage, certains couples préfèrent diviser la note et donc partager le prix des bagues de fiançailles entre eux.
Dans l'islam, pas d'âge limite, mais les choses évoluent
Mais il rappelle que l'islam ne fixe pas d'âge légal du mariage. C'est la raison pour laquelle on parle « d'âge autorisé », « cela veut dire que celui qui peut se marier est autorisé à le faire », explique-t-il.
Pourquoi dit-on qu'il ne faut pas se marier au mois de mai ? Le 11 mai 1625, Henriette-Marie de France, se marie par procuration à Charles Ier d'Angleterre. Elle aura une vie «malheureuse» et s'éteindra sans son mari, décapité vingt ans avant sa mort. Le 16 mai 1770, Marie-Antoinette épouse le futur roi Louis XVI.
La cérémonie officielle du mariage musulman
Elle se déroule à la mosquée ou au domicile des parents de la mariée. L'Imam, chef religieux, est le chef d'orchestre des noces, mais pas toujours. Il suffit d'être musulman pour célébrer un mariage. Le rôle du célébrant est d'accueillir le couple dans la religion.
Le mariage dans l'islam
Procéder à un mariage uniquement avec une procédure religieuse, par «la fatiha», sans acte légal écrit devant un maire ou un juge, peut facilement se retourner contre les épouses et les enfants issus de ces unions non-officielles d'un point de vue légal.
Le Coran. Selon la première source scripturaire qu'est le Coran, la sexualité n'est licite qu'au sein d'une union légale. En effet, toute relation sexuelle en dehors du mariage, appelée zina [7] , ou plus rarement sifah, est clairement décrite comme une turpitude (fahicha) et une mauvaise voie (sa'a sabila) [8]
L'annulation du mariage est reconnue par l'islam en cas de non-consommation. Encore aujourd'hui, il arrive que la non-consommation doive être justifiée. L'annulation du mariage est encore utilisée dans certains pays religieux car il permet à la femme de rompre le lien du mariage sans perdre sa dot.