Prenez vos responsabilités et agissez au présent, sans attendre. Transformez le sentiment de culpabilité en actions concrètes au moment même où il apparait. Une action concrète est par exemple de s'excuser ou de réparer une relation parent/enfant fragilisée par une menace, un cri, une humiliation,…
Reconnaissez vos torts. Il est important d'admettre ses erreurs sans excuse, surtout si vous avez blessé quelqu'un. Pour changer et vous faire pardonner, vous devez reconnaitre qu'en vous comportant de cette façon, vous avez créé des problèmes. Évitez de vous trouver des excuses.
La charge émotionnelle de cette culpabilité est très lourde. La première chose à faire pour vous en libérer est d'accepter et de comprendre vos émotions, et surtout de ne pas les réprimer. Faites l'exercice suivant : écrivez une lettre avec tout ce qui vous préoccupe, sans omettre de détails.
Dites que vous êtes désolé d'avoir blessé cette personne sans faire suivre par une raison qui peut être encore plus blessante pour l'autre. Parlez de votre erreur en termes clairs quand vous vous excusez. De dire que vous êtes désolé(e) sans expliquer pourquoi vous l'êtes va sans doute paraitre peu sincère.
Irresponsabilité personnelle. L'irresponsabilité personnelle est liée à l'immaturité émotionnelle et au manque de compétences sociales. Ainsi, les personnes qui n'admettent pas leurs erreurs sont également celles qui présentent de graves carences.
Le cerveau apprend par essai-erreur. L'erreur est pour notre cerveau une information aussi utile que la réussite. On apprend en procédant par essai-erreur et sa correction. Le faire explicitement et souvent aide l'élève à surmonter progressivement son appréhension.
Plusieurs raisons possibles. 1/ Des personnes qui nous manipulent en nous culpabilisant, ou en se victimisant pour qu'on se culpabilise par effet de balancier. 2/ Un besoin de se rassurer contre l'impuissance.
Donnez-lui un peu d'espace, un peu de temps et de liberté pour exprimer ses plaintes, puis continuez à partir de là. Même si vous avez l'impression que ce qu'il voit de la situation n'est pas correct, vous n'aiderez en rien la discussion en lui disant qu'il n'a aucune raison de se sentir comme il se sent.
L'erreur est humaine et la plupart d'entre nous sommes passés par là à un moment ou à un autre. Notre cerveau traite en permanence des milliers d'informations. Entre ce que nous voyons, ressentons, entendons et pensons chaque jour, il se met en mode automatique pour la plupart des tâches que nous accomplissons.
Une faute (du latin « fallere », tromper, faillir, duper, abuser, manquer à sa promesse), est un manquement à une règle ou à une norme, alors qu'une erreur (du latin « error », qui signifie « action d'errer, détour ») est une méprise, une action inconsidérée, voire regrettable, un défaut de jugement ou d'appréciation.
Certaines études sur le comportement humain suggèrent que les gens sont « programmés » à se venger dès qu'ils sont blessés par une autre personne. Notre fierté et notre amour-propre ont été offensés. Nos attentes et nos rêves ont été déçus.
Après avoir réfléchi aux raisons de votre mensonge, dialoguez avec la personne que vous avez blessée. Soyez le plus honnête possible, car il n'y a rien de pire que d'additionner les mensonges. C'est un cercle vicieux dont il est difficile de se dépêtrer. Expliquez sincèrement et calmement pourquoi vous avez menti.
Dans les deux cas, les excuses ont été visionnées par d'autre volontaires. Résultat ? Dans deux études sur six les volontaires ont jugé les excuses plus sincères lorsque la personne se met à genoux, et dans quatre études sur six lorsqu'elle pleure. Que ce soit en public ou en privé.
S'excuser a un côté plus raisonné et moins émotif que de pardonner. On trouve et expose des motifs qui expliquent et justifient son geste. On essaie d'atténuer les conséquences de l'acte posé.
Pardonner oui, excuser non
"Cela n'implique pas non plus de vouloir relativiser l'agression. Ni même de devoir se réconcilier ou recevoir des excuses, même si les excuses sont souvent très salvatrices. On pardonne pour soi, avant tout, pour se libérer soi-même de la haine et du ressentiment."
Une fois que vous aurez visualisé tout ce que vous souhaitez, demandez-vous si ce n'est pas le stress qui vous pousse à être trop critique envers vous-même. Le perfectionnisme peut nous pousser à développer un sentiment de culpabilité. Accepter le fait que nous avons tous des limites est déjà un pas en avant.
Apprendre à s'aimer, à se pardonner, à être indulgent avec soi et les autres, à être son propre ami, à se respecter, à s'accepter même imparfait, aide à avancer sur le chemin de l'estime de soi. Des techniques comme l'auto-hypnose, le développement personnel, peuvent améliorer l'estime de soi.