Une fois qu'une tête a été jouée, il est possible d'ouvrir avec n'importe quelle carte. Chaque joueur reçoit un point par coeur ramassé dans un pli et 13 points pour la dame de pique. Les autres cartes n'ont aucune valeur et ne sont pas comptabilisées dans le score.
La dame se déplace sur une même diagonale d'autant de cases qu'elle le désire, en avant et en arrière. Un pion peut en prendre un autre en sautant par dessus le pion adverse pour se rendre sur la case vide située derrière celui-ci. Le pion sauté est retiré du jeu. La prise peut également s'effectuer en arrière.
Les prises sont obligatoires. En un mot, aux Dames, si vous pouvez manger des Pions (ou des Dames), vous êtes obligés de le faire ! Les prises qu'elles soient exécutées par des Pions ou des Dames se font devant, mais aussi derrière. En gros, un Pion peut reculer en mangeant !
Un pion peut prendre une dame comme n'importe quelle autre pièce. Pour rappel : les pions ne peuvent prendre que vers l'avant, sur une case adjacente ET en diagonal… Ce qui leur laisse en tout deux possibilités (si on met de côté la “prise en passant”).
La prise. La prise des pièces adverse est obligatoire et s'effectue aussi bien en avant qu'en arrière. Lorsqu'un pion se trouve en présence, diagonalement, d'une pièce adverse derrière laquelle se trouve une case libre, il doit obligatoirement sauter par-dessus cette pièce et occuper la case libre.
Le règlement avant l'abolition précisait bien : "On est libre de souffler ou de forcer à prendre".
Le pion peut avancer d'une case en diagonale à la seule condition d'y capturer n'importe quelle pièce adverse qui s'y trouverait. La prise n'est pas obligatoire. Le pion ne peut prendre une pièce vers l'arrière ou vers le côté.
– Cette prise de pion est possible pour plusieurs pions, à condition que les pions soient « collés » en diagonale et que la case d'après soit libre. Obtenir une dame : – Une dame correspond à deux pions empilés. – Pour l'obtenir, un pion d'un joueur doit arriver sur une des cases de la dernière rangée de l'adversaire.
L'ordre de force des cartes est le suivant : 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, valet, dame, roi, as, l'as étant le plus fort. Les couleurs n'ont pas d'importance dans ce jeu.
Il est appelé Ogier pour les cartes française ; il pourrait s'agit d'un hallebardier (Homme d'armes portant la hallebarde) ou encore d'une référence à l'un des douze pairs de Charlemagne. Mais Valet de pique c'est aussi une marque de maroquinerie française.
La seule dame représentée de profil est Pallas, la Reine de Pique : sous ce nom étrange se cache en réalité la déesse grecque Athéna, parfois nommée ainsi.
➢ Au jeu : tous les piques sont prioritaires en commençant par le 4 de pique, les deux jokers (le plus fort des deux est identifié sur la carte), l'As jusqu'au 2. Ensuite, de l'As jusqu'au 8 dans le cœur, carreau et trèfle. ➢ L'atout est le pique. ➢ Une partie se termine lorsqu'un total de 300 points est atteint.
Vous devez fournir la sorte qui est demandé, sinon vous pouvez couper avec un atout. Si vous ne pouvez pas couper, vous devez jeter une carte de votre choix. L'ordre des atouts est : coeur, carreau, pique, trèfle puis sans atout. Vous avez besoin de 4 levées pour rester sans bouger.
Le Roi peut-il manger aux échecs ? Oui, comme toutes les autres pièces le Roi peut prendre une pièce adverse, mais à condition de ne pas se mettre en échec en jouant ce coup. Un Roi ne peut donc jamais prendre une pièce adverse qui est protégée.
Le roi prend comme il se déplace ; il peut donc prendre toute pièce adverse non protégée (par une autre pièce adverse) en se déplaçant sur la case qu'elle occupe, et la pièce prise est retirée de l'échiquier.
Peut-on manger le Roi aux échecs ? On ne peut pas manger (prendre) le Roi aux échecs car, lorsque le Roi d'un joueur est attaqué (c'est-à-dire lorsqu'il est en échec), ce joueur doit obligatoirement parer l'échec. S'il n'a aucun coup pour parer l'échec, on dit qu'il est échec et mat et la partie est perdue.
Remarque : la vieille règle de « souffler n'est pas jouer », c'est-à-dire de prendre la pièce adverse qui avait négligé de faire une prise possible, est abolie. L'adversaire oblige simplement le joueur distrait à faire la prise dans les règles.
Une dame peut se déplacer librement (en avant et en arrière), franchir plusieurs cases vides et changer de direction tant qu'elle trouve une case vide derrière le pion adverse. Elle peut donc supprimer plusieurs pions adverses d'un seul coup.
A l'article "dama", le grand lexicographe espagnol écrit : "Le jeu de dames, avec le tablier des échecs, tout le monde le connaît; on le nomme ainsi parce qu'il est facile ou à cause de la façon de jouer les pions avec la liberté de la dame". Aux Pays-Bas, la première référence au jeu de dames date de 1552.
Chaque joueur place ses pions sur les cases de couleur foncée. Avant le début d'une partie, il y a donc deux rangées au milieu du damier qui sont vides et séparent les deux camps. Ce sont les Blancs qui commencent la partie.
La reine se déplace de façon combinée comme un tour et un fou. Sauf si elle doit prendre, la reine peut se déplacer sur n'importe quelle case vide. Elle ne peut passer au dessus des pièces.