Autre mesure phare de la loi, il sera désormais nécessaire d'avoir un permis pour ouvrir un bordel, et prouver que des conditions minimales de sécurité, d'hygiène et de santé sont respectées. Ainsi, il sera obligatoire qu'il y ait une salle de repos…et il ne pourra être demandé à la personne d'exercer là où elle dort.
Pour ouvrir une maison close, il est cependant nécessaire d'obtenir un permis et de respecter le règlement municipal. Avec cette légalisation, le pays espérait réussir à assainir l'industrie du sexe et permettre aux prostitué(e)s de gagner leur vie sans avoir à dépendre d'un proxénète.
C'est le cas de l'Allemagne, de l'Autriche, de la Grèce, de la Lettonie, des Pays-Bas et de la Suisse. La profession de prostitué(e) est ici reconnue par la loi, donnant ainsi droit aux personnes qui l'exercent à une protection sociale. Dans le cas de l'Allemagne, ce système est en vigueur depuis 2002.
Le gigantesque Pascha de Cologne met ainsi la clé sous la porte. Apparemment exsangue après des mois de fermeture, la si renommée usine à sexe allemande fière de se présenter comme le plus grand bordel d'Europe, a déposé le bilan le 1er septembre 2020.
La Villa Tinto accueille quelque 260 prostitué(e)s au centre d'Anvers. Ce concept unique en Belgique leur offre de meilleures conditions de travail. Il séduit aussi certains de nos politiciens wallons et bruxellois…
En fait, les maisons closes fonctionnent avec des jetons. Elles font frapper des pièces de métal avec leur nom et leur adresse (ça fait de la pub au passage), et ce sont ces jetons que les clients vont acheter auprès de la tenancière ou de la personne qui les accueille à l'entrée.
Les bordels allemands rouvrent peu à peu. Mais pas partout, et non sans débat. Heureusement. Depuis début juin 2021, la prostitution est à nouveau autorisée dans les Länder de Saxe-Anhalt et de Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
Construit sous l'empire britannique, Dautladia est l'un des plus grands bordels du monde. Près de 2 000 prostituées y vivent, la plupart sont de jeunes filles forcées de se prostituer.
Péripatéticienne : Définition simple et facile du dictionnaire.
Définition "tenancière de maison close"
C'est en 1890 aux États-Unis que red light (qui signifie en anglais « lumière rouge » ou « lanterne rouge »), est utilisé pour signifier une zone de commerce de la prostitution. Il dérive de la pratique qu'ont les maisons closes de s'annoncer en allumant une lanterne rouge sur le devant de la maison.
La loi du 13 avril 1946 tendant à la fermeture des maisons de tolérance et au renforcement de la lutte contre le proxénétisme, dite loi Marthe-Richard, abolit le régime de la prostitution réglementée en France depuis 1804. Elle impose la fermeture des maisons closes (« maisons de tolérance »).
prostituer (v.) prostituer (v. pron.) prostituée (n.f.)
(Vieilli) Prostituée.
La rue de la Girafe, qui abrite une quarantaine de maisons closes, est dédiée à la prostitution, activité légale en Turquie. Mais le maire d'Istanbul, Kadir Topbas, a d'autres projets.
Le 13 avril 1946, la loi Marthe Richard abolissait une institution : le bordel. C'est la fin d'un système datant de 1804 qui donnait une existence légale aux maisons closes, cachant les prostituées pour préserver la morale, à l'ère de la bourgeoisie triomphante.
Longtemps connu pour son alcool, son tabac et son carburant bon marché, le village de La Jonquera, situé à 6 km de la France, attire jusqu'à 25 000 visiteurs par jour. Il est l'un des principaux points de passage des routiers et des camionneurs européens et nord-africains.
Le concept est simple: les prostituées, qui travaillent pour leur compte, payent 70 euros par jour au Club Paradise, soit le prix d'une passe. Elles sont logées, nourries sur place. Dès la deuxième passe, l'argent récolté est pour elles.
Étymologie. (Nom 1) Attesté, en ancien français, sous la forme maquerel. Le mot se rattacherait à la famille de maquer, mascher, macher (« frapper, contusionner », d'où « tacher »), le maquereau étant un animal tacheté → voir mascheure, « tache » en ancien français.
Définitions de « gigolo »
Le Club Paradise de la Jonquera, non loin de la frontière française, refroisse les draps de ses lits, avec port du masque obligatoire. Il y a plus d'une centaine de maisons closes dans la zone. Le gouvernement de Catalogne leur avait appliqué le même régime que les discothèques : fermeture forcée.
Étienne Jeaurat, Le transport des filles de joie de l'Hôpital, 1755, musée Carnavalet. À l'époque, ils doivent être signalés par une lanterne rouge et les volets doivent être clos… d'où le nom de maison « close » !