Les blancs lors d'une conversation sont également une excellente occasion de réfléchir sur votre thérapie : parlez de ce que vous aimez (ou n'aimez pas) lors des séances. Reconnaissez les progrès que vous avez accomplis. Discutez d'expériences passées que vous voudriez approfondir un peu plus.
-le titulaire d'un doctorat universitaire quel qu'il soit. -le titulaire d'un diplôme d'Etat de docteur en médecine (le plus souvent médecine psychiatrique dans ce corps de métier). Si votre thérapeute ne remplit aucune de ces deux conditions, du “Monsieur” ou de la “Madame” feront très bien l'affaire.
Un massage de pieds, une séance de sport, une promenade en forêt, chacun a ses petits trucs pour terminer sa journée de travail et laisser les tranches de vie dans leur cabinet.
Il répond le moins possible aux questions que vous vous posez et n'est pas centré sur la résolution de problèmes spécifiques. Ce genre de psy ne donne donc que rarement des conseils. Selon son approche, c'est en parlant que vous allez prendre conscience (progressivement) de votre propre fonctionnement (inconscient).
Parler avec son psy, c'est réussir à parler de soi
La parole est à vous lors d'une consultation chez le psy. L'objectif est de vous libérer de vos problèmes, de vos questionnements et de vos doutes. La neutralité du cadre vous permet de verbaliser, et exprimer tout ce que vous souhaitez, sans aucune peur de jugement.
Les psychologues cliniciens et les psychothérapeutes détenteurs d'un permis sont également qualifiés pour établir un diagnostic de dépression. La méthode la plus efficace est d'allier psychothérapie et médication. Vous, votre médecin et votre psychothérapeute peuvent contribuer à votre plan de traitement.
La première séance consiste à cerner ce qui vous amène. Ainsi, le psychologue vous posera diverses questions afin de comprendre vos difficultés, mais aussi l'état global de votre situation actuelle (sur le plan professionnel, familial, relationnel…) et d'avoir une première idée de votre histoire de vie.
L'exacte réponse à la question « qui suis-je ? » consisterait donc en une affirmation de la permanence de ma personne que symbolise, par exemple, mon nom. Il faut en outre ajouter que cette question « qui suis-je ? » apparaît comme fondamentalement première.
Mais quand on se doit de changer de psy en cours de thérapie, il faut le faire de la bonne façon, appeler votre thérapeute ou son secrétariat et dites-lui que vous avez trouver un autre psy. Cela évitera à votre thérapeute de se faire du soucis pour vous.
Une fois le diagnostic posé, le psychiatre peut traiter lui-même la maladie mentale ou coordonner le traitement pour son patient. Dans son coffre à outils, il dispose de différentes psychothérapies, d'un éventail de médicaments, des techniques de neurostimulation et des interventions sociales.
S'il n'y a pas de bonne manière de procéder, l'idéal c'est d'en parler : "le simple fait de dire à son thérapeute 'j'ai envie qu'on arrête de se voir, mais j'ai peur de vous le dire' est un bon moyen de sauter le pas", confie la psychologue clinicienne.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…
Petit chagrin, problème familial, baisse de moral ou profonde dépression… nombreuses sont les raisons qui vont vous pousser à demander de l'aide à un psychologue ou un psychiatre, pour vous ou vos proches. Ne pas rester seul avec son mal-être est primordial pour éviter qu'une situation ne dégénère.
Différence entre psychologue et psychiatre n°1 : leur formation, l'un est diplômé d'un master en psychologie, l'autre d'un doctorat en médecine. Différence entre psychologue et psychiatre n°2 : en tant que médecin, le psychiatre peut prescrire des médicaments, ce que ne peut pas faire un psychologue.
Parler à un psychologue peut soulager. Pas besoin d'être dans un piètre état, l'écoute du psychologue se veut sans jugement et vise à apaiser votre souffrance, vous faire tourner la page sur un évènement, vous guider lors d'une réflexion profonde, vous aider à vous découvrir, et bien plus encore !
Tout dépend de la méthode de travail mais en général 01 heure. Il peut y avoir des séance de 30 minutes, d'autres d'01h30. Souvent les rendez-vous ont lieu une fois par semaine mais il peut aussi y avoir des séances tous les quinze jours ou deux séances par semaine parfois trois.
« Un psy, quelle que soit sa pratique, doit respecter un code de déontologie, ajoute-t-il. Il a des devoirs envers son patient. » Citons entre autres celui de réserve, le secret professionnel ou l'interdiction d'avoir des relations sexuelles avec ce dernier.