La respiration c'est la base : bien respirer pour bien parler. Je ne le répéterai jamais assez. Savoir respirer c'est vous donner toutes les chances de bien parler en public et maîtriser votre débit. Alors si vous voulez parler moins vite, commencez par vous entrainer à bien respirer !
Il s'agit tout simplement de prendre des respirations très profondes : vous faites entrer le maximum d'air dans vos poumons et vous le relâchez très, très lentement. Pendant que vous le faites, concentrez vous sur ce que vous ressentez : l'air qui entre dans votre corps, le trajet qu'il fait, comment il ressort.
Respirez fréquemment. Quelquefois, les gens parlent rapidement ou retiennent un peu trop leur souffle dans le but de dire plusieurs mots en une seule fois. Si vous voulez vous exprimer beaucoup plus lentement, faites l'effort de respirer plus souvent lorsque vous communiquez X Source de recherche .
COMMENT BIEN GÉRER SON DÉBIT DE PAROLE ? Évaluez votre débit de parole en vous enregistrant lors de vos prises de parole en public pour avoir une idée du nombre de mots que vous énoncez par minute. Étirez votre débit de parole habituel de 20 % pour vous permettre d'être le plus compréhensible possible.
Essayez de dire ce que vous avez à dire en 20 secondes et donnez l'occasion à la personne qui vous écoute de partager aussi des informations. En général, essayez de ne pas parler plus de 40 secondes d'affilée. Si vous parliez plus longtemps, l'individu qui vous écoute pourrait se sentir irrité ou s'ennuyer.
Parler vite c'est souvent un mécanisme lié au stress, c'est aussi une mauvaise habitude que l'on prend lorsque l'on vit à un rythme effréné ou lorsque l'on n'aime pas parler en public (manque de confiance en soi, peur d'être « coupé »…).
Une personne volubile, du latin volubilis, « qui tourne », s'exprime avec facilité et rapidité, ce qui est plutôt une qualité. Exception faite pour Littré qui considère qu'on est volubile quand on parle trop et trop vite (ex. : un enfant volubile).
Il y a parfois des raisons de parler vite volontairement et ainsi d'impressionner son auditoire. Cela peut se justifier à l'occasion d'une présentation commerciale où le communicant recherche l'effet de surprise plus que la raison.
Maîtriser sa respiration
Pour bien parler, il est important de bien respirer. Vous pourrez plus facilement projeter votre voix, éviter qu'elle ne tremble et parler plus longtemps sans finir essoufflé. Il faut pour cela effectuer des respirations abdominales: inspirez calmement avec le ventre et expirez avec la bouche.
La « difficulté à parler » peut avoir des origines diverses. Il peut s'agir de situations bénignes comme celle d'une personne qui a « perdu sa voix » dans le cadre d'une infection des voies respiratoires ou de situations graves comme celle d'une personne victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC).
1 – Dire la phrase à haute voix une première fois. Lentement en n'énonçant que les voyelles, façon opéra, avec des variations de hauteur en faisant durer les sons (en rouge) le plus longtemps possible. 2 – Dire une deuxième fois la phrase à haute voix en n'énonçant que les consonnes, façon bruit sec.
Observez le langage corporel de votre interlocuteur.
Ou est-ce que votre interlocuteur vous ignore simplement et initie une conversation avec une autre personne ? Il s'agit de signes évidents que vous avez tendance à trop parler et que cette situation soit frustrante ou ennuyante pour votre interlocuteur.
Inspirez profondément. Avant de commencer à parler, calmez-vous afin que vos poumons ne manquent pas d'air. Distillez vos pensées, ne les crachez pas toutes en même temps. Si vous prenez la parole avant de prendre le temps de vous poser, vous risquerez de parler trop vite et de mal articuler vos mots.
La dysarthrie est une incapacité à articuler les mots de façon normale. L'élocution peut être saccadée, hachée, chuchotante, irrégulière, imprécise ou monotone, mais les personnes peuvent comprendre le langage et l'utiliser correctement.
Ce malaise s'explique principalement par un manque de confiance en soi que l'on peut toutefois résorber. Yasmina Hardi, coach chez Ha. Y. Coaching Carrière à Lyon, recommande ainsi d'identifier des situations positives et de les exploiter.
Boule au ventre, sueurs froides, nausées, tremblements, cœur qui bat à toute allure… Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie.
"La vitesse de la parole est le seul facteur qui apparait lié à l'intelligence, confirme Sébastien Bohler. Un débit important indique une personnalité qui n'hésite pas, compétente et dotée d'un cerveau qui va vite."
Pour "traiter" la logorrhée, il faut prendre la symptomatologie dans son contexte. Le traitement va différer selon que l'on se trouve face à un malade souffrant de trouble bipolaire, de schizophrénique, d'une intoxication à l'alcool ou d'une maladie neurologique comme une démence ou la maladie de Parkinson.