Laissez mariner vos morceaux dans un vinaigre de vin mélangé à des herbes, pendant une nuit au réfrigérateur, et vous verrez ! Ça marche aussi pour la viande bouillie, type pot-au-feu : ajoutez simplement à l'eau de cuisson une cuillère à soupe de vinaigre.
Les viandes blanches cuisent à four moyen ou chaud, entre 130° et 250°. Les viandes rouges entre 190° et 280°. Si vous souhaitez conserver une viande très moelleuse, choisissez une basse température et laissez la viande blanche cuire longtemps. On peut ajouter ou pas un peu de matière grasse : huile, beurre ou sauce.
Voilà pourquoi tu devrais plus souvent pocher la viande
Comme elle est cuite avec ménagement, la viande reste juteuse et tendre et conserve sa valeur nutritive. Si tu ne fais pas saisir rapidement la viande après le pochage, tu n'utilises que peu de graisse et la viande reste très digeste.
La viande peu cuite (mal cuite ?) expose à la trichinose (prononcez trikinose), une maladie parasitaire liée à la trichine, un ver (classe des nématodes). Les animaux eux-mêmes contaminés par des larves de ver, sont porteurs de cette grave infection.
Quand l'autre face est colorée, baisser le feu car la viande doit maintenant cuire. Pour obtenir une viande moelleuse avec du goût, ajouter des petits morceaux de beurre et arroser régulièrement la viande pendant la cuisson avec une cuillère. Après quelques minutes, la viande est cuite.
Quand une viande est à point, elle doit avoir la même consistance au toucher que le muscle à la base du pouce quand on joint le pouce et le majeur. Quand une viande est bien cuite, elle doit avoir la même consistance au toucher que le muscle à la base du pouce quand on joint le pouce et l'annulaire.
Pocher le poulet permet de révéler toute sa saveur, avant de le mettre au four. Cette technique consiste à cuire le poulet dans de l'eau chaude, assaisonnée avec des petits légumes printaniers.
Pocher une viande, c'est la plonger entièrement dans un liquide aromatisé et la cuire longuement à petits frémissements. Cette cuisson ne nécessite aucune surveillance. Le plat emblématique de ce mode de cuisson est le pot-au-feu.
a) En cuisine: Répandre un liquide, à l'aide d'une cuillère, sur une pièce de viande pendant la cuisson au four ou à la broche, afin d'en éviter le dessèchement. Le liquide peut être le jus de la pièce de viande, du beurre fondu, de l'eau, etc.
L'eau bouillie fait fondre les graisses, attendrit la viande et il n'y aucune matière grasse ajoutée. Pour une viande de boeuf épaisse comme le collier, le gite ou le jarret, utilisez une cocotte minute. Pour une viande tendre, faites cuire à feux moyen pendant 1H30. La chair se détachera d'elle même en bouche.
C'est le collagène qui est responsable de la « dureté' de la viande. Plus le muscle de l'animal est sollicité et plus il y a de collagène. Ainsi il y en aura davantage dans une partie comme le jarret (le tibia de la bestiole) que dans le rumsteack (la culotte).
Le principe est que la cuisson « stresse » la viande (tu m'étonnes) et concentre tout le jus au centre du morceau. En la laissant reposer, vous lui permettez de se détendre et de se réhydrater – bref, vous lui redonner du goût et de la tendreté.
Vous pouvez utiliser l'eau pétillante dans la marinade d'une viande et même l'arroser durant sa cuisson. Le bicarbonate présent naturellement dans l'eau pétillante aide à faire fondre le collagène (protéine fibreuse contenu dans la viande) et attendrir la viande. La chair sera alors plus tendre et fondera en bouche.
Le lait permet à la viande de se relâcher et d'être moins ferme. Faire mariner les volailles, ou viandes, est une façon très simple de les rendre plus savoureuses, mais aussi de les attendrir et de conserver leur moelleux pendant la cuisson. Cela permet de diminuer, voire de supprimer tout dessèchement à la cuisson.
Comme le bicarbonate permet d'alcaliniser (de rendre moins acide) la surface de la viande. Cela évite que les protéines ne se lient trop facilement et permet ainsi à la viande de garder de sa tendreté à la cuisson.
En cuisine, le pochage est une technique culinaire qui consiste à faire cuire des aliments délicats en les plongeant dans un liquide à frémissement (le plus souvent de l'eau ou un court-bouillon de légumes) entre 70 et 80 °C. Par exemple, on fera « pocher un chou » pour le blanchir.
Le pochage est une cuisson douce qui s'adapte à de nombreux aliments tels que les oeufs, la viande blanche ou rouge, la volaille, les poissons, les fruits, le cervelas. Le départ de cuisson peut se faire à froid ou à chaud selon le résultat attendu.
Lors du pochage, le poisson cuit lentement dans un liquide qui est juste en-dessous de la température d'ébullition. Astuce : portez le liquide à ébullition, puis baissez le feu et attendez quelques minutes ; le liquide devrait ainsi être à 90°C, la température idéale pour pocher du poisson.
Les blancs de poulet bouillis sont une excellente manière d'ajouter des protéines saines à vos repas. Vous pouvez les faire bouillir dans de l'eau claire ou assaisonnée pour leur donner plus de gout.
Les amateurs de viande vous diront le contraire car si vous piquez viande ou autre saucisse, l'aliment perdra son gras pendant la cuisson et la viande deviendra alors sèche. Si vos aliments sont de qualité, les piquer revient à réduire leur saveur.
Nous savons déjà quasiment tous que manger du poulet qui n'est pas assez cuit est susceptible d'entraîner divers problèmes de santé. Les difficultés gastro-intestinales liées à la salmonelle qui survit dans la volaille pas assez cuite incluent des maux d'estomac et des épisodes de diarrhée aiguë.