La lecture de la scène Pour bien préparer une scène de théâtre, commencez par découvrir la scène. Lisez-la à voix basse et décortiquez-la. Regardez les passages qui vous plaisent et ceux qui vous plaisent moins. Travaillez la scène d'instinct.
Avant la rédaction, dresser un portrait rapide des personnages. Insérer la scène dans une action que le lecteur doit comprendre. Pour cela, écrire un paragraphe situant la scène avant de la commencer pour ne pas perdre le dialogue avec des retours en arrière. Garder à l'esprit que la scène est faite pour être jouée.
Les éléments de mise en scène
La musique, la lumière, les costumes, les décors… sont autant d'éléments laissés à la discrétion du metteur en scène. À chaque moment d'une pièce existent donc des choix à faire, qui engagent le sens de l'œuvre.
Les types de comique
On distingue le comique de gestes (gifles, chutes, mimiques, etc.), de mots (jeux de mots, grossièretés, patois, etc.), de situation (ignorance, quiproquo, etc.), de caractère (personnage stupide, jaloux, etc.) et le comique de répétition (une situation ou une phrase qui se répète plusieurs fois).
La scène anglaise, italienne, parisienne; la scène contemporaine; la scène comique, tragique, lyrique; chefs d'œuvre, succès, vedettes de la scène; les arts de la scène; écrire pour la scène.
Une mise en scène n'est correcte que si elle manifeste les tendances des personnages en rapport avec le conflit moteur ».
Préparer la mise en scène
Utilisez des feuilles de format A4 : partagez-les en deux colonnes : une colonne « texte », une colonne « propositions de mise en scène ». Eventuellement faites un schéma de votre espace scénique sur votre document de travail.
seul en scène, seuls en scène
One-man-show. (On écrit aussi seul-en-scène.)
La scène d'exposition est le nom de la première scène d'une pièce de théâtre. Elle vise à plonger le spectateur in medias res, c'est-à-dire directement dans l'action, en lui exposant rapidement les personnages principaux et les enjeux de l'intrigue à venir.
Un scénario reprend généralement l'héritage théâtral avec une structure en trois actes, à savoir : scène d'exposition ; action (à la suite d'un incident déclencheur) ; conclusion (de l'action).
Pimentez vos verbes
Ils doivent être précis et décrire parfaitement l'action. Ne racontez pas, montrez. Et la seule façon d'y parvenir c'est de bien choisir les verbes : éclater, retentir, crier, se déchaîner, gicler, jaillir, s'élancer, chanceler, tituber, s'écrouler, fuser, trébucher, s'échapper, s'enfuir…
Il est important de bien positionner vos doigts sur le stylo et il n'est jamais trop tard pour changer vos habitudes ! Vous devez tenir votre stylo en utilisant votre pouce et la première phalange du majeur en « pince », et non pas avec le pouce/index comme beaucoup d'entre nous l'ont appris.
La respiration avant de monter sur scène est primordiale. Prenez quelques secondes pour vous, en inspirant et surtout en expirant profondément afin d'évacuer tout le stress accumulé dans votre métabolisme.
Un metteur en scène doit être rigoureux et organisé. Il doit savoir être à l'écoute de ses comédiens et de leurs suggestions mais aussi faire preuve d'une certaine autorité pour les diriger. On ne devient pas metteur en scène du jour au lendemain. Il faut se faire connaître et bien connaître le milieu artistique.
Pour Larousse, le réalisateur est « la personne qui réalise ce qu'elle a conçu » tandis que le metteur en scène « dirige une représentation de théâtre, un film ».
Acte (n. m.) : partie de la pièce qui marque les éléments importants de l'action. Une pièce classique est composée de trois ou cinq actes divisés en scènes. Scène (n. f.) : division d'un acte entre l'entrée et la sortie d'un personnage.
Le scénario désigne une version écrite de la production. Les scènes du film y sont décrites, et il comprend également les dialogues des différents personnages.
Une séquence est un passage, une scène d'un film se situant dans un seul et même lieu et reposant sur une action ou un dialogue principal.
Pour faire rire un public, un comédien utilise le comique de mots, de situation, de gestes, de caractère ou le comique de mœurs.
Il utilise les ressources de la langue : répétitions, jeux de mots, calembours, jargon, etc. Il présente des gestes qui font rire: coups, grimaces, chutes, etc. Il présente des rencontres imprévues, des quiproquos, des surprises, des malentendus, etc. Il exagère les défauts, les vices, des personnages.