Pour conserver ses meilleures performances, un SSD interne ne doit pas être totalement plein car le contrôleur doit disposer de suffisamment d'espace libre pour enregistrer au mieux les données. Au-delà d'environ 60 % d'occupation, les performances vont commencer à diminuer.
Assurez-vous de vérifier régulièrement les mises à jour disponibles sur le site Web du fabricant et d'installer les dernières versions pour optimiser les performances de votre disque SSD. Évitez les surchauffes : La chaleur excessive peut avoir un impact négatif sur la performance et la durée de vie du SSD.
Conserver un espace libre sur le SSD
Garder un peu d'espace libre sur votre disque SSD permet au système de fonctionner correctement et d'éviter des erreurs de lecture/écriture. De plus, cela permet d'améliorer l'équilibre de l'usure des cellules mémoire du SSD, prolongeant ainsi sa durée de vie.
La défragmentation n'est pas recommandée pour les SSD. Au mieux, elle ne fera rien pour vous aider à obtenir un SSD plus rapide, au pire, elle utilisera inutilement des cycles d'écriture. Ce n'est pas grave si vous avez déjà défragmenté plusieurs fois votre SSD.
Cliquez droit sur le SSD puis sur « Propriétés ». Allez dans l'onglet « Outils » et cliquez sur « Optimiser ». Dans la colonne « État actuel », vérifiez si le Trim est activé. Si non, vous devez cliquer sur le bouton « Optimiser ».
Les inconvénients des disques SSD par rapport aux disques durs sont un coût plus élevé par gigaoctet, une capacité de stockage généralement plus limitée et une perte potentielle de données en cas de défaillance du disque.
L'utilisation du disque à 100% sous Windows 10 peut être causé par de nombreuses raisons. Cela peut être dû à un logiciel antivirus, un bug dans Windows 10, un problème de SuperFetch Service, mémoire virtuelle déraisonnable, le Flash, une combinaison commune de Skype et de Google Chrome, une erreur de disque dur, etc.
Sa durée de vie peut donc se réduire à 1 an, si votre charge moyenne de lecture/écriture quotidienne représente 400 Go et plus. Mais étant donné que la charge moyenne quotidienne se situe plutôt entre 10 et 35 Go pour une utilisation bureautique normale, la durée de vie du disque SSD peut dépasser les 10 années.
Lorsqu'ils sont utilisés de façon normale, les disques SSD ont une durée de vie d'environ dix ans, soit une durée équivalente à celle d'un disque dur classique. Mais il n'en a pas toujours été ainsi, car les cellules des SSD n'acceptent qu'un nombre prédéterminé d'opérations de lecture et d'écriture.
Les accès en écriture à l'hôte peuvent se produire à n'importe quel emplacement qui peut entraîner des points sensibles, ce qui entraîne une usure prématurée dans ces emplacements. Une technique appelée nivellement de l'usure est utilisée pour empêcher les points sensibles.
Apparition d'Erreurs ou de Corruptions de Données : Des erreurs de lecture ou d'écriture fréquentes, des fichiers corrompus ou des écrans bleus de la mort peuvent être des symptômes d'un SSD en fin de vie.
De plus, vous pouvez vérifier les secteurs défectueux de votre SSD en utilisant la fonction « ChkDsk » (check disk) dans Windows. Apres vérification du disque, ChkDsk indiquera le nombre de secteurs défectueux présents sur le disque.
Poussière, chaleur, soleil, humidité
Comme c'est le cas de nombreux appareils électroniques, les disques durs externes supportent mal la poussière et la chaleur. Par conséquent, stockez votre support de stockage dans un endroit à l'abri de l'humidité, de la chaleur, de la poussière, sans oublier le soleil.
Cependant, tout comme la compression des fichiers d'installation, il n'est pas recommandé de suivre cette suggestion car elle pourrait affecter le traitement global de votre système. Idéalement, vous devriez la considérer comme un dernier recours lorsque vous devez effacer immédiatement les données du lecteur C.
La manière dont vous stockez votre disque SSD a elle aussi son importance. En cas de problèmes thermiques (par exemple, si la température ambiante est trop élevée) et de forte humidité, votre support de stockage peut être endommagé ou perdre en longévité.
L'EX100U de Corsair est sans aucun doute l'un des meilleurs SSD portables du moment. Il offre non seulement un design des plus compacts qui permet de facilement le transporter, mais aussi d'excellents débits en écriture et en lecture.
En revanche, un disque dur (HDD) est un meilleur choix si vous devez faire face à des sauvegardes de données, à des archives de données ou à des charges de travail au débit intensif. Les SSD sont plus rentables pour le stockage de gros volumes de données rarement consultés.
Avec de petits ajustements, à la fois avant et après l'installation d'un nouveau SSD SATA, vous pourrez bénéficier de gains de performances pour votre système dépassant ceux de la mise à niveau de votre disque en elle-même.
La plupart des SSD SATA ont une vitesse de lecture d'environ 500 Mo/s, tandis que les SSD NVMe haut de gamme peuvent atteindre environ 7 000 Mo/s.
Notez alors le Pourcentage de durée de vie. Multipliez ce nombre par le nombre d'heures d'utilisation du SSD : 766 x 98 = 75 068 heures ce qui correspond à 8,5 années non stop. Cette valeur est pour une utilisation 7 jours sur 7, 24h sur 24 du SSD. Il convient donc d'affiner avec l'utilisation réelle du SSD.
Une utilisation élevée du processeur est souvent liée à des temps de chargement longs, à des performances lentes et à des blocages inattendus. L'onglet Performance du Gestionnaire des tâches affiche des informations détaillées sur l'utilisation du processeur.
Votre ordinateur est peut-être assailli par des applications gourmandes en ressources qui démarrent automatiquement et s'exécutent en arrière-plan, ou peut-être par un programme que vous avez ouvert et que vous avez oublié de fermer.
Est-ce qu'un SSD de 256 Go est suffisant ? Un SSD interne de 256 Go peut suffire pour un ordinateur destiné à une utilisation courante (bureautique, consultation web) ou dans le cadre de la mise à niveau du stockage d'un ordinateur plus ancien.