Près de la ville, proche de la côte, pour s'y installer ou pour passer des vacances, Crac'h est une commune où il fait bon vivre et travailler. Pour information, l'usage actuellement en pratique pour prononcer Crac'h est "CRACK".
Armel Le Cléac'h [prononciation correcte : le-klerh, comme dans : Leclerc] est le troisième d'une fratrie de quatre enfants, de Jean-Gabriel et Annie Le Cléac'h.
Le « C apostrophe H » est une lettre de l'alphabet breton qui se prononce comme la jota [ro-ta] en langue espagnole ou le CH en langue allemande.
Port de Trévignon. Trégunc [tʁegœ̃] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Ainsi : Plougoumelen, Baden, Erdeven, Pont-Aven, Trébeurden, Goulven… Tous les autres situés au-delà de la côte, « dans les terres » comme on dit, se prononcent [ain] comme dans « pain » ou « matin ». Ainsi : Elven, Lesneven, Pleyben, Ploeren, Plougonven, Tréméven, Rosporden et donc bien sûr Rostrenen…
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan ! Me zo sod ganit ! (expression privilégiée spontanément par les bretonnants)
Aujourd'hui, en Centre Bretagne, le doryphore, c'est le Parisien.
D'ailleurs, si son nom vous a donné du fil à retordre tout au long de la lecture de ce texte, sachez que Xhekaj se prononce « Jack-aille ».
Ploumanac'h (prononcé en français [plumanak] ou [plumana], et en breton [pluˈmãːnax]) est un bourg de la commune de Perros-Guirec du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.
Si vous tombez sur une terminaison en «-eek», très courante en Belgique (Molenbeek, Schaerbeek, Maelbeek, Dilbeek, Linkebeek), cela se prononce -ék et non -èck. Répétons ensemble: Molenbék, Skarbék, Malbék... De même pour Forest, qui bien que son nom se termine en -st, se prononce comme la forêt.
Une nuance tout de même, en fin de mot, comme dans tous les prénoms bien connus Annaig, Fañchig, Soazig, Lenaig et autres, il se prononce [k], il faut donc prononcer Annaig de cette manière : [Annaik].
Alors comment bien saluer un bretonnant ? En allant souvent à l'essentiel : mont a ra ? / mat ar jeu ? / mat an traoù ? / mat ac'h a ? / penaos emañ ?… autant d'expressions qui correspondent à notre « comment ça va ? » en français.
Ici, trouvez le gentilé des habitants de Douarnenez ! Bonne réponse : Douarneniste !
Ou bien, à prononcer «créache», le lieu-dit «Creac'h gwenn» à Quimper.
En Bretagne, un chat se dit donc ur c'hazh (au féminin ur gazhez et au pluriel ar c'hizhier).
Hchouquoi ? « Hchouma » (à prononcer avec le h au fond de la gorge comme dans « Ahmed ») est une expression culturelle répandue en Afrique du Nord et aussi très ancrée chez les Belges d'ascendance maghrébine.
La seule explication vient de l'étymologie. Le « h muet » vient du latin et se retrouve souvent dans les langues d'origine latine. Le « h aspiré » provient de mots empruntés à d'autres langues, comme l'anglais (le hall), l'ancien francique (le haricot), l'arabe (le hasard), le néerlandais (le hareng)...
ھ appelé le ha.Il s'écrit "h". Ce "h" se prononce en arabe par une légère expiration, de la même façon qu'en anglais (home...). ﺡ appelé le ḥa. Il s'écrit avec un "7".
En Turquie, il s'agit de « sucuk » que l'on prononce « soudjouk » ou « soudjour ».
On y apprend que ces petits animaux, des cochons d'Inde, sont d'une espèce bien particulière des Andes, et qu'ils se nomment des «cuys». Un mot dont la prononciation rime avec «ouille».
Ensuite, si la graphie hummus est ainsi prononcée « umus », lorsque vient le moment d'antéposer l'article partitif du, on obtient du hummus prononcé « duumus », avec une suite de deux voyelles identiques, une forme d'hiatus que le français cherche généralement à éviter.
A savoir le ar breton correspond à la particule française le ; de plus certains suffixes sont propres à la Bretagne et permet de repérer les noms made in breizh comme -ec, -ic, -ou, -an, -en, -egan, -egen, -ès, -ez.
− Qui est propre à Paris, caractéristique de ses habitants, généralement de ceux qui vivent dans un quartier populaire. Synon. faubourien. Esprit parigot.