La Clusaz (prononcer « la Cluza ») est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Comme Praz qui se prononce Pra ». Ou Avoriaz, qui se prononce donc Avoria, en savoyard comme en français.
Cette prononciation est liée à l'étymologie du nom de cette ville. En effet, au XIVe siècle, la ville se nommait Auceurre . À cette époque, la lettre X était utilisée dans les manuscrits pour abréger ss , mais elle gardait la prononciation [ s ] (c'est d'ailleurs toujours le cas dans les mots six , dix , coccyx …).
La mairie. Wingles [vɛ̃ɡl] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Megève se prononce meugève et non pas mégève.
La prononciation correcte est [ ʃamoni ], où le x ne se prononce pas. C'est la prononciation locale, répandue dans une partie du Sud-Est de la France. C'est la même chose quand on dit le nom entier de la commune, Chamonix-Mont-Blanc : le x est muet.
Dès le XVIe siècle, les imprimeurs français évoquent le « S » sonore de la cité mosellane par un « TZ », qui ressemble vaguement au ß. La ville se prononce donc bien « Mess », et ses habitants sont des MeSSins.
Sa réponse est catégorique : « L e W se prononce à l'anglaise, on dira donc « Ouissant » ou « Ouimereux » et pas « Vissant » ou « Vimereux ».
L'hôtel de ville de Doullens. Doullens (prononcé [d̪ulɑ̃]) (parfois aussi Dourlens dans les documents anciens) est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
La mairie. Quend (IPA : /kɛ̃/) est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Cette prononciation, qui est généralement recommandée par les dictionnaires, est également très répandue en France. De la même façon, bruxellois et bruxelloise se prononcent normalement « bru-ssé-loi » et « bru-ssé-loiz ». Et chou de Bruxelles , « chou-de-bru-ssel ».
Aujourd'hui, le « x » de Bruxelles, se prononce « s », comme dans « soixante ». Il ne faut donc pas le proncer « ks », comme dans « boxe ». On prononce donc « bru-sèl », et non « bruk-sèl ».
Gordes (prononcé [gɔʁd]) est une commune française située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Oyonnax. Comme pour Avoriaz, la lettre finale sert à orienter l'accent tonique : ici, il marque l'oxytonisme, c'est à dire qu'il faut mettre l'accent sur la dernière syllabe. Mais ce « x » ne se prononce pas. On dit donc « OyonnA » avec un « a » bien clair.
Nyons [njɔ̃s] est une commune française, sous-préfecture du département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Alpe d'Huez (prononciation : [al. pə d‿ɥɛz]), encore dénommée L'Alpe d'Huez lors des Jeux olympiques d'hiver de 1968, est une station de sports d'hiver des Alpes située sur les anciens alpages du village d'Huez dans l'Isère à 59 km de Grenoble.
Longwy (/lɔ̃wi/ le g est muet) est une ville lorraine du Nord-Est de la France, du département de Meurthe-et-Moselle et de la région Grand Est, chef-lieu du canton du même nom.
Rodés qu'escrivètz en occitan R-O-D-E accent agut S / vous écrivez Rodés en occitan R-O-D-E accent aigu S (Oui, Rodez avec un S à la fin et pas avec un Z !). D'ailleurs, c'est pour cette raison que les Aveyronnais prononcent en français ''Rodess'' et non ''Rodezz''.
Var : Aups (Opse), Barjols (Barjol), Callas (Calace), Comps (Compce), Cuers (Cuerse), Fayence (Fayance), Rians (Rianse), Saint-Tropez (Tropé), La Seyne (La Seïgne).
On vous explique alors qu'on prononce Gérardmé [ʒeʁaʁme] et pas –mère [mεʁ]. Très bien.
Or ce mot se prononce "Carrouzel", prononciation avec un "Z" : [ka-rou-zèl] Merci de bien vouloir faire rectifier auprès de vos équipes.
On écrit LAGUIOLE et on prononce « LAÏOLE ». On a conservé la prononciation ancienne, en patois, en occitan, c'est la raison pour laquelle on parle de Laïole.
Les Occitans disent "MontPÉllier" tandis que le reste du pays prononce "MontPEllier". Tout le monde a raison puisque les deux prononciations sont admises même si logiquement la séquence "ELL" devrait conduire à prononcer "MontPÉllier" comme le font les "MontPÉlliérains".
À défaut d'un exemple sonore (ou d'un ouvrage encore à trouver), le poète Clément Marot écrivit un poème sur Lyon : il est composé d'octosyllabes, et on constate que, par deux fois, "Lyon" doit se prononcer "Li-ion" pour respecter la rythmique de la poésie.