Placé en fin de mot, s ne se prononce pas, sauf dans quelques mots comme as, oasis. À l'initiale, dans le corps d'un mot, lorsqu'il est soit redoublé, soit précédé ou suivi d'une consonne, ou encore à la fin d'un mot lorsqu'il se fait entendre, s se prononce « ss », comme dans sang, cession, rester, autobus.
La lettre s se prononce généralement quand elle est entre deux voyelles. Remarques : abasourdi et aseptisé sont des exceptions. en fin de mot, en général, on ne prononce pas le s mais il y a des exceptions.
Règle. Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
Tous se prononce lorsqu'il n'est pas suivi d'un nom. Tous signifie alors tout le monde. Ils sont tous venus.
La règle : - Entre une voyelle et une consonne, la lettre « s » se prononce [s]. Exemples : un escargot, une veste, …………………………………………………………………..……………… - Entre 2 voyelles, la lettre « s » se prononce [z]. - Entre 2 voyelles, il faut mettre 2 s (« ss ») pour obtenir le son [s].
Pour obtenir le son (ce), on écrit « SS » entre deux voyelles. Mais il y a quelques exceptions qu'il vous faudra découvrir peu à peu, comme : parasol, tournesol, entresol, contresens, contresigné, vraisemblablement, ... Pour obtenir le son (ze), on écrit « S » entre deux voyelles.
On double la consonne avec les mots ayant le préfixe « re » devant un mot commençant par un « s ». La règle veut que l'on double la consonne 's' entre deux voyelles pour donner le son [s]. Exemple : ressortir, ressaisir, ressembler, etc.
« Cours » avec un « S » vient du verbe « courir » dans « je cours, tu cours ».
Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif. Avec les verbes en "ir" comme "bondir", ou en "re" comme "descendre", il y a encore un "s" avec "tu". Et "voir" prend lui aussi un "s" au présent et devient "tu vois".
Lorsqu'un mot se termine par une consonne muette il arrive, quand on parle, que cette consonne soit liée à la voyelle ou à l'h muet qui débute le mot suivant. On dit que l'on fait une liaison. Paul joue avec ses_amis. Michel est un enfant intelligent.
Le -s final de moins ne se fait jamais entendre devant un mot commençant par une consonne ni quand ce mot est en fin de phrase. Dans ces cas, moins se prononce toujours comme la deuxième syllabe de témoin.
En conclusion, les consonnes finales muettes ont pour but de conserver le souvenir d'une racine latine et, de manière plus pragmatique, de distinguer des homonymes (exemples : poids et pois, puits et puis, corps et cor…).
ż est aussi un [j], mais plus dur. ś est un [ch] mouillé, tandis que sz est plus proche du [ch] français. u se prononce toujours [ou], sensiblement comme ó qui est toutefois plus dur. w est toujours prononcé [v].
Si la lettre s est en début de mot ou entre deux consonnes ou entre une voyelle et une consonne, on entend le son [s]. Pour obtenir le son [s] entre deux voyelles, il faut doubler le s. Quand la lettre s est entre deux voyelles, on entend le son [z].
Règle : on écrit toujours « bon anniversaire » car « anniversaire » est un substantif masculin. Puisque « anniversaire » est au masculin, l'adjectif s'accordant en genre et en nombre, on écrira « bon ».
Le nom masculin s'écrit avec un t final quand il désigne le terrain de tennis. Le court central de Roland-Garros. On écrit également avec t l'adjectif court, courte, contraire de long.
On doit prononcer le “s” quand “plus” signifie davantage ou avantage. Lorsque “plus” signifie davantage et qu'il est utilisé comme un comparatif ou un superlatif, la prononciation du “s” dépend de la nature du mot qu'il détermine. Un nom, un adjectif, un adverbe ou un verbe ?
I) Hiatus & euphonie : ? L'hiatus est la succession de deux voyelles prononcées dans deux syllabes différentes, soit à l'intérieur d'un mot (oasis, déhanché, coordination...), soit à la limite de deux mots, c'est-à-dire à la fin d'un mot et au début du suivant.
En général, quand une voyelle commence un mot composé, on double la consonne qui suit lorsqu'après cette consonne il y a une voyelle. Enfin, on doit doubler la consonne dans la formation des temps des verbes, quand ce doublement a lieu à leur racine, qui est l'infinitif.
- deux 's' entre deux voyelles se prononcent 's'; - 'c' suivi de 'a, o, u' se prononce 'k'; - 'c' suivi de 'e, i, y' se prononce 's'; - 'ç' suivi de 'a, o, u' se prononce 's'.
La lettre c peut faire [k] ou [s]. Si elle est placée devant les voyelles a, o et u, elle produit le son [k] (exemples : canard, confiture, curieux). Devant ces mêmes voyelles, il faut mettre une cédille pour obtenir le son [s] (exemples : agaçant, garçon, déçu).
Graphies g et gu
La graphie g représente le son [g] devant un a, un o ou un u : gare, gomme, guttural… La graphie gu représente le son [g] devant un e, un i ou un y : fatigue, guirlande, Guy…