Selon une étude de l'Inserm en 2017, la méditation ralentit le processus de vieillissement cérébral. En cause, une activité plus importante dans deux régions du cortex frontal qui sont mieux préservées car plus stimulées. Les mêmes mécanismes sont observés avec le yoga.
Concentrez-vous sur les bonnes choses
Il faut juste s'entraîner à changer d'angle, mettre les bonnes choses en lumière pour une fois, et apprendre à s'en contenter. Et si vous avez du mal à les visualiser, il y a toujours l'option de la liste, qui fonctionne très bien !
Si le cerveau est sur-sollicité, il risque de saturer, comme le disque dur de son ordinateur lorsque ce dernier est trop plein : il « rame » ! On parle également de surcharge cognitive ou d'épuisement par saturation.
Un exercice de relaxation vous détendra sur le moment. Une pratique régulière contribuera à créer puis renforcer l'apprentissage de la relaxation par le cerveau. Plus on pratique la relaxation, plus on apprend au cerveau à se relaxer, plus l'exercice est facile et bénéfique !
Un cerveau qui ne se met jamais en pause
Si vous pensiez être fou/folle de ne pas pouvoir arrêter ce phénomène, sachez qu'il s'agit en fait de connexions neuronales qui se font par milliers indépendamment de votre volonté.
Les benzodiazépines sont les principales substances utilisées pour traiter l'anxiété aiguë (effet dit anxiolytique, voire sédatif). Le médicament agit après une seule prise, en 5 à 15 minutes environ, selon la dose absorbée et la sensibilité du patient.
Vous pouvez déjà simplement vous concentrer sur les bruits environnants, sur tous les éléments d'une couleur donnée qui sont dans votre environnement. En effet, la connexion à tout ce qui est sensoriel ne peut se passer que dans le temps présent. La méditation est un autre moyen de calmer le mental.
Grâce à la méditation, on peut observer et interroger nos inquiétudes au lieu de les croire sur parole. Elles s'affaibliront et ressembleront à des simples problèmes, avec lesquels on peut cohabiter. Il est possible de coexister avec son cerveau anxieux, et de lui parler doucement à l'oreille.
Les penseur·se·s excessif·ve·s n'arrêtent jamais de réfléchir, si bien qu'il·elle·s ne se rendent pas toujours compte de leurs excès. Une psychologue a mis au point une liste de signes qui montrent que l'on se prend trop la tête.
La personne atteinte se sent envahie par des pensées incontrôlées et répétitives, qui lui traversent l'esprit malgré son désir ou sa volonté. La personne est incapable de cesser d'avoir ces pensées, même si elle sait le plus souvent qu'elles n'ont pas de sens. Ces pensées deviennent alors des obsessions.
Il s'agit de faire appel à des pensées positives tant que possible et d'essayer de penser à ce qui vous arrive de bien en ce moment afin de changer d'humeur. Si le sujet revient vous serez alors dans un autre état d'esprit et vous pourrez alors sûrement mieux le laisser passer sans lui accorder trop d'importance.
Les sombres pensées sont habituellement un signe d'anxiété, et non de désirs secrets. Lorsque nous craignons quelque chose, il est normal d'imaginer cette chose. C'est de cette façon que le cerveau réagit à la peur. C'est un moyen de nous assurer que nous n'agissons pas d'une manière dangereuse.
La méditation est LA solution anti-stress la plus efficace si vous y consacrez au moins quelques minutes par jour. Même si vous êtes néophyte en la matière, pas d'inquiétude. Cette discipline s'acquiert avec le temps, mais peut être bénéfique dès les premiers exercices.
Le Kava Kawa, l'anxiolytique naturel le plus fort
Cet anxiolytique naturel et surement le plus fort, réduit l'insomnie et le stress, c'est un tranquillisant musculaire.
Parmi ces médicaments, soulignons la fluoxétine (Prozac), le citalopram (Celexa), la sertraline (Zoloft) et l'escitalopram (Cipralex). Les ISRS agissent sur certains produits chimiques naturels (les neurotransmetteurs) du cerveau qui sont utilisés pour communiquer entre les cellules cérébrales, et ils gèrent l'humeur.
Signes qui indiquent que l'on pense trop :
Les pensées ne s'arrêtent même pas pendant un instant, ou les soucis ne peuvent pas être mis de côté. On imagine que le pire va arriver. On passe en revue ses problèmes, en réfléchissant trop aux situations. Par ailleurs, on revit fréquemment les conversations dans notre tête.
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire. Lorsqu'on parle de démence, on pense aussitôt à la maladie d'Alzheimer.