La procédure de freinage consiste alors, une fois que l'avion est au sol, à déployer les inverseurs, puis à augmenter le régime du moteur après le toucher des roues pour recréer de la poussée (le moteur étant pratiquement au ralenti lors de la phase d'atterrissage).
Une roue et un frein n'est pas spécifique à un avion, plusieurs types d'avions peuvent avoir les mêmes roues et freins (par exemple les A320 , 319 et 318). À noter que le frein est toujours homologué dans un ensemble roue-frein-pneu.
Ce sont les grands panneaux qui se déploient sur les ailes après le toucher. Certains avions permettent leur déploiement automatique après l'atterrissage. En effet, il existe une commande qui permet de les armer lors de l'approche, pour que les pilotes aient une action de moins à faire lors du toucher.
Que ça soit pour rouler au sol ou voler, un avion utilise la même source de poussée : ses moteurs. Certes, le régime des moteurs au sol est très faible mais c'est bien lui qui permet d'avancer, et non une quelconque motorisation située dans les roues, d'où la problématique de la marche arrière.
L'avion s'élance sur la piste pour atteindre les 200 à 250 km/h. C'est la vitesse de décollage dite V1. Au-delà de cette vitesse, un pilote est obligé de décoller quoi qu'il arrive car il ne serait plus possible d'arrêter l'avion dans les limites de sécurité prévues.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
La procédure de freinage consiste alors, une fois que l'avion est au sol, à déployer les inverseurs, puis à augmenter le régime du moteur après le toucher des roues pour recréer de la poussée (le moteur étant pratiquement au ralenti lors de la phase d'atterrissage).
Comme les voitures, certains avions ont des klaxons. Il ne s'agit bien sûr pas de klaxonner un avion qui refuserait en vol la priorité à droite mais d'avertir le personnel au sol que l'on cherche à le contacter. Le son est similaire à celui d'un klaxon de camion ou de bus.
Bien que la marche arrière soit possible pour les avions équipés d'inverseurs de poussée, celle-ci est rarement effectuée près des installations au sol, et cela pour des raisons de sécurité !
Un destructeur de portance, ou spoiler, est un dispositif mobile rectangulaire située sur l'extrados de l'aile d'un avion (notamment des avions de ligne). Avec les volets hypersustentateurs, les becs de bord d'attaque et les compensateurs, les spoilers font partie des commandes de vol secondaires.
En aéronautique, le palonnier est l'une des principales commandes de vol située dans le poste de pilotage d'un avion ou d'un hélicoptère. Il est constitué de deux pédales permettant au pilote d'actionner la gouverne de direction d'un avion, d'un planeur, ou le rotor anticouple d'un hélicoptère.
Amortisseurs à lames
Au toucher des roues, sous l'influence du poids de l'avion et de la vitesse verticale, la jambe commence à se plier pour absorber l'énergie de l'atterrissage. Comme pour le système élastique (shandow), l'énergie absorbée est ensuite dissipée dans la structure du fuselage à un débit contrôlé.
Comme la manche à air et les capots moteurs les inverseurs de poussée ou Reverses (en anglais) composent la nacelle. Le rôle d'un inverseur de poussée lors de l'atterrissage d'un avion est de diminuer la distance de freinage en redirigeant vers l'avant au moins une partie de la poussée générée par le turboréacteur.
Le train d'atterrissage sert à assurer les évolutions d'un avion au sol jusqu'à son décollage, mais aussi l'amortissement lors de l'impact d'atterrissage. Il comporte un système de freinage permettant l'arrêt de l'avion sur une distance déterminée.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Poussée + Portance > Poids + Traînée
Lorsque la poussée est supérieure à la traînée, le déséquilibre des forces permet à l'avion d'accélérer. De plus, alors que la vélocité de l'avion augmente, la force de portance augmente. Ceci crée le déséquilibre de la force qui fait décoller l'avion du sol.
La queue est attirée vers le bas, le nez se lève. L'angle d'attaque des ailes a une amplitude de plus en plus grande, créant une portance de plus en plus importante. Dès que la force de portance est supérieure au poids de l'avion, l'appareil décolle.
Fort heureusement, l'avion est passé en pilotage automatique et n'a pas connu d'incident majeur. Une mésaventure qui renforce les craintes sur l'épuisement des pilotes. Y a-t-il des pilotes dans l'avion ? Oui, mais ils dorment.
On diminue les lumières pour des raisons de sécurité
La conséquence d'un accident lors de ces phases du vol est souvent une évacuation de l'avion dans des conditions qui peuvent être plus ou moins compliquées, laquelle évacuation doit prendre moins de 90 secondes.
Les feux. Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol.
Les suspensions pilotées, aussi nommées suspensions actives, sont un type d'amortisseurs spécifiquement conçus pour s'adapter à la vitesse du véhicule, et ainsi permettre de proposer un réglage optimal de l'amortissement en fonction des différentes situations de conduite rencontrées par l'automobiliste.
Sur une automobile, il est important de distinguer les amortisseurs des suspensions : La suspension améliore la tenue de route en plaquant les roues sur le sol. Elle est souvent constituée de ressort. Les amortisseurs ralentissent les effets de rebond provoqués par les ressorts de suspension.
Les passagers ne les voient pas, mais les pneus d'avion sont une grosse affaire : chacun des 12 pneus du train principal d'un Boeing 777 (le plus gros appareil d'Air Canada) fait plus de 1,3 m de diamètre et pèse 120 kg.