Dans un texte, le narrateur peut interrompre le récit pour rapporter les paroles des personnages. On dit alors que les paroles sont rapportées directement. Ces paroles sont placées entre guillemets, la ponctuation est celle des dialogues.
Le discours direct effectué à l'aide des deux-points et des guillemets. On peut aussi isoler des paroles rapportées directement à l'aide de guillemets (« »). On introduit généralement cette forme de discours direct par un verbe de parole (dire, répondre, parler, etc.).
Il existe trois manières de rapporter les paroles des personnages dans un récit : – le discours direct qui reprend les paroles telles qu'elles sont énoncées ; – le discours indirect qui est intégré au récit ; – le discours indirect libre qui emprunte des caractéristiques à l'un et à l'autre des discours.
Les paroles sont mises entre guillemets et sans terme de liaison après le verbe de parole. Exemple : Il a dit : "Nous nous verrons demain." -> Soit indirectement : c'est le style indirect.
Il tient une place important dans les récits. On distingue le discours direct, discours indirect, le discours indirect libre et le discours narrativisé.
dire, déclarer, déblatérer, deviner, discourir, dramatiser, (en) déduire, décider, déclamer, dénier, dicter, demander, décrire, défier… (s')exclamer, (s')écrier, exagérer, évaluer, envoyer, écrire, expliquer, (s')égosiller, (s')étrangler, essayer, (s')enquêter, excuser, (s')excuser, (s')emporter, (s')énerver…
Le verbe introducteur sert à introduire un acte de parole, à rapporter des paroles dans un récit. Il précède ou suit une réplique dans un dialogue. Le verbe « dire » comporte plusieurs significations. Il devient ainsi un verbe dont le sens est vague.
Discours direct : Les paroles sont rapportées telles quelles, sans être modifiées. On remarque la présence des guillemets précédés de 2 points et de verbes introducteurs comme (demander ou répondre, dire…). On peut également trouver des points d'interrogation ou d'exclamation…
Le discours narrativisé
Le texte nous indique qu'il y a eu acte de parole par un locuteur secondaire, mais le contenu n'est pas descriptible ni transposable. Exemple : Elle annonça à ses parents son départ pour le Brésil. → On ne connaît pas le contenu de son annonce – par quelles paroles et de quelle manière.
- Dans un récit, on appelle dialogue les paroles des personnages rapportées au discours direct. Leur présence rend le récit plus vivant. À l'inverse du discours direct, le discours indirect est intégré au récit initial.
On peut rapporter une ou plusieurs phrases d'un personnage en indiquant qui parle, en mettant deux points et en ouvrant les guillemets, qui encadrent la parole du personnage : Il disait à haute voix : « Ne fuyez pas, couardes et viles créatures, car c'est un seul chevalier qui vous attaque. »
On peut rapporter les propos en utilisant des guillemets. Il n'est alors pas nécessaire d'opérer de changements : He said : "I will not tolerate such behaviours". Il a dit : « Je ne tolèrerai pas de tels comportements ».
Discours direct : Stéphane affirme : “Je suis libre.” Discours indirect : Stéphane affirme qu'il est libre. En cas d'impératif avec un verbe introducteur au présent de l'indicatif, la transformation au discours direct peut utiliser la préposition “de” suivie d'un infinitif (voire un subjonctif présent).
Le dialogue est généralement annoncé par un guillemet ouvrant au début de la première réplique. Chaque changement d'interlocuteur est ensuite précédé d'un tiret. Le dialogue se termine par un guillemet fermant après la dernière réplique.
La présentation du dialogue
Un dialogue est nettement séparé du récit par la ponctuation. Selon le cas, l'écrivain emploie : des tirets devant chacune des répliques du dialogue ; des guillemets pour encadrer le dialogue et un tiret à chaque changement d'interlocuteur (voir le dialogue qui suit).
Dans un dialogue, les points de suspension indiquent également que quelqu'un coupe la parole de la personne en train de parler. Les guillemets permettent de signaler le début et la fin d'un dialogue lorsqu'une personne parle. Il introduit également une citation et permet de rapporter les paroles de quelqu'un.
Dans un texte, le narrateur peut interrompre le récit pour rapporter les paroles des personnages. On dit alors que les paroles sont rapportées directement. Ces paroles sont placées entre guillemets, la ponctuation est celle des dialogues.
On appelle discours rapporté tous les propos d'un texte qui sont issus d'une situation de communication différente de celle dans laquelle ils ont été émis. Il est possible de reprendre le discours de manière intégrale ou en le reformulant.
Les quatre moments du discours
L'organisation du discours (la dispositio) comporte quatre étapes : l'exorde (exordium), la narration (narratio), l'argumentation (confirmatio) et la péroraison (peroratio).
À l'écrit, le discours direct est caractérisé par des guillemets. Il est souvent introduit par ":". Elle dit : "Je rentrerai très tard ce soir, ne m'attendez pas pour dîner !" Le discours direct peut être introduit par un verbe de parole (dire, déclarer, murmurer, etc.).
Quand le verbe introducteur est à un temps du passé (n'importe lequel) et que : — le verbe du discours direct est au présent ou à l'imparfait, lors du passage du discours direct au discours indirect le temps du verbe est l'imparfait ; Exemple : Il a dit : « Je voulais boire. » ► Il a dit qu'il voulait boire.
Exemples en français : « courir », « manger », « chanter », « parler », « travailler », « partir », « dormir », « entendre », « tomber », « recevoir », « finir », etc. Du point de vue des fonctions syntaxiques, les verbes d'action sont ceux qui définissent un sujet et éventuellement un ou plusieurs objets.
Aux adverbes de manière correspondent les questions sur des données qualitatives (comment ?). Les adverbes de manière sont : ainsi, bien, calmement, debout, d'habitude, doucement, ensemble, fort, gentiment, mal, mieux, plutôt, surtout, vite, etc. Exemple : Nous sommes rentrés ensemble à la maison.